Liste des résultats
Il y a 163 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
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Marco Bellocchio, Marx può aspettare (2021)
par Aline Rambert,
publié le 08/04/2024
- Chronique cinéma du film de Marco Bellocchio ((Marx può aspettare)). Le film est sorti en 2021 et a obtenu le Nastro d'Argento 2022.
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Marco Risi, Il muro di gomma (1991)
par Maurizia Morini,
publié le 05/03/2024
- Presentazione del film Il muro di gomma di Marco Risi (1991), in occasione del Cineforum dell'Istituto Italiano di Cultura di Lione del 20 marzo 2024.
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Paolo Virzì, La Pazza Gioia (2016)
par Aline Rambert,
publié le 08/02/2024
- Chronique cinéma du film La Pazza Gioia de Paolo Virzì, avec Valeria Bruni Tedeschi et Micaela Ramazzotti.
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Master class de Marisa Paredes
par Marisa Paredes, Carlos Gomez,
publié le 18/01/2024
- Dans le cadre du Festival Lumière, Marisa Paredes, actrice espagnole, qui a reçu de nombreux prix prestigieux, a donné une masterclass au cinéma Pathé Bellecour à Lyon le octobre 2023. La présentation, animée par le journaliste Carlos Gomez, s'est faite en français et en espagnol, l'actrice alternant les deux langues.
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Le mythe de Médée entre média et intermédialité, de la pièce From Medea de Grazia Verasani au film Maternity Blues de Fabrizio Cattani
par Francesca Chiara Guglielmino,
publié le 21/10/2022
- Cette communication analyse les réécritures du mythe de Médée, en particulier dans la pièce From Medea de Grazia Verasani et dans l'adaptation cinématographique de cette pièce portée à l’écran par Fabrizio Cattani, dont le scénario a été écrit en collaboration avec Grazia Verasani elle-même. Il s'agit d'analyser l’opération de transfert de ce récit d’un médium à l’autre.
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Récit et faits divers : l'impossible netteté dans Tutto è vero de Giacomo Nanni
par Alberto Pellegrini,
publié le 21/10/2022
- Au centre du récit de Tutto è vero de Giacomo Nanni, publié par Rizzoli en 2021, nous trouvons l’attentat terroriste à la rédaction de Charlie Hebdo. La communication s’interroge sur le choix de raconter cet événement mais surtout sur les formes du récit : l’auteur y convoque, mélange et détourne plusieurs éléments issus de différents médias et traditions (le cinéma narratif et documentaire, la télévision, la photographie, les journaux).
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Nudité et intermédialité. La noia d'Alberto Moravia et de Damiano Damiani
par Diego Pellizzari,
publié le 21/10/2022
- Dans cette communication, Diego Pellizzari étudie le traitement littéraire du nu dans le roman de Moravia ainsi que son traitement cinématographique dans l'adaptation de La noia par Damiani.
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L'art de dire la ville : Barcelone fait son cinéma
par Laura Grifol-Isely,
publié le 14/09/2022
- L’espace, et plus concrètement, l’espace urbain, n’est pas seulement le cadre dans lequel se déroule l’action d’un film. La ville de Barcelone constitue un exemple de l’intérêt qu’elle suscite chez les cinéastes au point de se voir adjuger le rôle de protagoniste dans de nombreux films. Cadre et personnage, agie et agissante, elle est le résultat des processus de construction qui ont contribué à façonner ses images, à la façonner – de manière incomplète et fragmentaire, certes – comme speculum d’un/de plusieurs imaginaire(s) urbain(s). Le cinéma nous propose des lectures de l’architexte complexe qui la (re)configure incessamment, alliant transformations et permanences.
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Images du politique et politique de la critique : le cas de la réception médiatique de Loro de Paolo Sorrentino, en France et aux États-Unis
par Léonie Soula,
publié le 09/06/2022
- Comment des thématiques liées à des environnements politiques spécifiques peuvent-elles trouver des échos dans des contextes étrangers ? Le "cas Berlusconi" renvoie-t-il à une situation d’exception italienne ou peut-on l’inscrire dans une réflexion plus globale sur les déviances politico-médiatiques ? En outre, la mise en scène de ces "déviances" au cinéma n'ouvre-t-elle pas la voie (et la voix) à une mise en perspective internationale ? Dans une dynamique pluridisciplinaire mêlant sociologie des médias et de la réception, sciences politiques et sciences de la communication, cet article se donne pour objectif de proposer une analyse des différentes "situations d’énonciation" dans lesquelles s’inscrivent les critiques parues sur Loro, en France et aux États-Unis.
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Images du politique et politique de la critique : le cas de la réception médiatique de Loro de Paolo Sorrentino, en France et aux États-Unis
par Léonie Soula,
publié le 09/06/2022
- Comment des thématiques liées à des environnements politiques spécifiques peuvent-elles trouver des échos dans des contextes étrangers ? Le "cas Berlusconi" renvoie-t-il à une situation d’exception italienne ou peut-on l’inscrire dans une réflexion plus globale sur les déviances politico-médiatiques ? En outre, la mise en scène de ces "déviances" au cinéma n'ouvre-t-elle pas la voie (et la voix) à une mise en perspective internationale ? Dans une dynamique pluridisciplinaire mêlant sociologie des médias et de la réception, sciences politiques et sciences de la communication, cet article se donne pour objectif de proposer une analyse des différentes "situations d’énonciation" dans lesquelles s’inscrivent les critiques parues sur Loro, en France et aux États-Unis.
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Paolo Sorrentino, Loro (2018)
par Léonie Soula,
publié le 31/03/2022
- Chronique Cinéma du film Loro, le biopic sur Silvio Berlusconi réalisé par Paolo Sorrentino en 2018, avec Toni Servillo et Riccardo Scamarcio.
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Rompiendo los muros. Narrativas cinematográficas de la emergencia de la juventud colombiana contemporánea
par Sonia Sánchez-Rivera,
publié le 15/02/2022
- Podcast d'une communication sur la jeunesse dans le cinéma colombien contemporain. En s'appuyant sur un corpus de quatre films Sonia Sánchez-Rivera présente l'apparition de nouvelles techniques narratives et analyse les pratiques créatives actuelles.
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Ettore Scola, Passione d'amore (1981)
par Philippe Brunel,
publié le 20/01/2022
- A l'occasion de la projection le 14 octobre 2021 de Passione d'amore d'Ettore Scola au cinéma UGC Confluence de Lyon dans le cadre du Festival Lumière, Philippe Brunel a présenté le réalisateur et son film au public. Ce podcast est une captation de cette présentation.
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Ferocità, atrocità e malinconie: il racconto della contemporaneità secondo gli scrittori Cannibali
par Irene Cacopardi,
publié le 06/12/2021
- Dans cette communication, Irene Cacopardi propose une analyse du phénomène littéraire-éditorial des auteurs Cannibali. Né au milieu des années 1990 en Italie, ce groupe d’écrivains se distingue pour un style typiquement cinématographique, fait d’une violence extrême, d’un langage cru et d’histoires cruelles. Ils décrivent la folie humaine et sociétale sans filtres et font de la rupture des tabous, de la provocation, de la remise en question des conventions le rempart de leur parole littéraire, la marque de fabrique de leur production. Ils brisent ainsi la tradition italienne du roman qui semble avoir privilégié la clé interprétative du réalisme plutôt qu’une narration purement déviante. S'il est certain que ces auteurs écrivent au delà des conventions littéraires, qu’ils bouleversent les règles et les codes d’écriture, aussi bien langagiers que de contenu, arrivent-il vraiment à remettre en question les stéréotypes qu’ils décrivent ? Cette représentation de l’obscénité reste-t-elle une fin en soi stérile ? Joue-t-elle le jeu d’une culture du scandale ou devient-elle une expérience cathartique, un moteur pour une réflexion sur la contemporanéité ? En prenant en considération aussi bien l’usage non conventionnel de la langue que la représentation de la réalité contemporaine de la péninsule, le but de sa réflexion est de comprendre les finalités de cette écriture littéraire. L'intervention a été enregistrée à l'occasion du colloque "Esclandre" qui s'est tenu du 15 au 17 avril 2021, organisé par l'Université Clermont Auvergne et l'IHRIM.
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Dossier sur Luca (2021), le film d'animation des studios Disney Pixar inspiré par les Cinque Terre
par Alison Carton-Kozak,
publié le 16/09/2021
- La Clé vous propose une sélection de ressources autour du film Luca, dont l'action se passe à Portorosso, un village imaginaire inspiré des Cinque Terre en Ligurie.
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The American Wilderness: an Ambivalent Image of Self-regeneration and Psychological Disintegration. From Dead Man (1995) to Into the Wild (2007).
par Martin Berny,
publié le 03/06/2021
- This presentation deals with the wilderness motif in contemporary American literature and American cinema. Going back to the origins of this ambivalent image, it aims at explaining the underlying ideology that actively contributes to the endless process of mythogenesis of the American nation. On the individual level, it is through a journey of self-reinvention or reconstruction of the self that the wilderness appears as either a path to a metaphorical rebirth or as a dangerous place where one has to face the perils of psychological disintegration. Focusing on historical notions and topics such as Turner’s Frontier thesis, the Transcendentalist movement, or the representation of Native Americans in popular culture, this article deals with the limits of the American dream of self-transcendence. It explores works such as Jim Jarmusch’s Dead Man (1995) and both Jon Krakauer’s non-fiction bestseller Into the Wild (1996) and its film adaptation directed by Sean Penn (2007).
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Il rapporto tra letteratura e cinema oggi. Riflessioni sull’intermedialità delle scritture di Giancarlo De Cataldo e Roberto Saviano
par Ketty Zanforlini,
publié le 01/03/2021
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Il rapporto tra letteratura e cinema oggi. Riflessioni sull’intermedialità delle scritture di Giancarlo De Cataldo e Roberto Saviano
Par Alison Carton-Kozak Dernière modification 05/03/2021 14:30 Historique
Par Ketty Zanforlini : Professeure agrégée d’italien, doctorante - Université Sorbonne Nouvelle
Publié par Alison Carton-Kozak le 01/03/2021
Se la letteratura oggi sembra essere stata soppiantata dalle produzioni cinematografiche, il cinema italiano è stato, negli ultimi dieci anni, decisamente rilanciato non da due cineasti ma da due scrittori, Giancarlo De Cataldo e Roberto Saviano. Come la loro scrittura si adatta alle modalità narrative cinematografiche? Come leggere la loro produzione non solo come una serie di prodotti derivati interscambiabili? La cultura visuale, l’intermedialità e la transmedialità saranno concetti utili da interrogare per analizzare le loro opere letterarie e per, a partire da queste, misurarne la distanza dalle loro trasposizioni filmiche. Questo saggio è la versione redatta di una relazione orale tenuta durante la giornata "Rapporto tra letteratura e cinema" organizzata all’Istituto Italiano di Cultura di Parigi il 9 aprile 2018.
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Une lecture des proses frioulanes de Pier Paolo Pasolini
par Sara De Benedictis,
publié le 28/01/2021
- Cet article propose une lecture des proses frioulanes à caractère autobiographique de Pier Paolo Pasolini sous le prisme de la douleur entendue comme catégorie anthropologique. Si l’auteur-cinéaste met en scène ses pensées les plus intimes et les tourments de sa conscience en proie à des désirs considérés, du moins pour l’époque, "hors norme", il transfigure sa souffrance et crée des fragments romanesques où la douleur se mêle à la joy, la souffrance à l’extase.
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Dossier sur Pinocchio (2022), le film d'animation de Guillermo del Toro
par Alison Carton-Kozak,
publié le 30/12/2020
- La Clé vous propose une sélection de ressources autour du film Pinocchio, de Guillermo del Toro et Mark Gustafson, sorti le 9 décembre 2022 sur Netflix. Il s'agit d'une adaptation du roman de Carlo Collodi Le avventure di Pinocchio. Storia di un burattino, dont l'histoire est transposée sous le fascisme.
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French Toast, Fatherhood and Fallibility in Kramer vs Kramer (1979)
par Elsa Benamouzig,
publié le 30/12/2020
- [Fiche] In 1979, Robert Benton’s film Kramer vs Kramer set a new path for family dramas in Hollywood. The acclaimed movie follows the journey of Ted Kramer from absent to great father as a single dad, including a portrayal of his failures and vulnerabilities. His divorce and unusual position as the main care-taker of his child changed the perception of father’s roles not only in the movies, but also in American households.
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Giancarlo de Cataldo, Io sono il castigo (2020)
par Sarah Vandamme,
publié le 02/12/2020
- Fiche de lecture du roman Io sono il castigo de Giancarlo de Cataldo, publié par Einaudi en 2020.
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3 amigos de Jean-Pierre Lavoignat, Christophe D'Yvoire et Cyril Bron (2018)
par Jean-Pierre Lavoignat, Christophe D'Yvoire, Cyril Bron,
publié le 12/10/2020
- Présentation du documentaire en 3 volets de Jean-Pierre Lavoignat, Christophe d'Yvoire et Cyril Bron, consacré aux trois réalisateurs mexicains Guillermo del Toro, Alejandro Iñarritu et Alfonso Cuaron.
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Dossier sur Pinocchio de Matteo Garrone (2020)
par Serena Mercuri,
publié le 27/05/2020
- Sorti en décembre 2019 en Italie et en mai 2020 en France, Pinocchio de Matteo Garrone est une adaptation de l'oeuvre de Carlo Collodi Le avventure di Pinocchio. Storia di un burattino. La Clé des langues propose une chronique ciné du film ainsi qu'un dossier répertoriant les principales ressources pour travailler sur Pinocchio en classe.
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Masterclass de Gael García Bernal
par Gael García Bernal, Didier Allouch,
publié le 12/05/2020
- Dans le cadre du Festival Lumière, Gael García Bernal, acteur, réalisateur et producteur mexicain qui a reçu de nombreux prix prestigieux, a donné une masterclass à la Comédie Odéon le 18 octobre 2019.
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Évolution du métier de cinéaste à Cuba des années 60 à nos jours
par Magali Kabous,
publié le 27/03/2020
- Conférence sur l'évolution du métier de cinéaste à Cuba des années 1960 à nos jours.
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War, Catharsis, Peace: Ancient Greek Visions and 21st Century Violence
par Christine Froula,
publié le 12/03/2020
- This presentation brings together an American play and an American film inspired by Greek plays: Aeschylus’s Suppliants and Aristophanes’s Lysistrata. Charles Mee’s gripping drama Big Love (2000) animates the plot of The Suppliants to explore the violence of the American socio-economic sex/gender system, moving from male violence to female violence to catharsis to peace. The title of Spike Lee’s brilliant, urgent, visionary utopian film Chi-Raq (2015) names Chicago’s horrific neighborhood gang wars and America’s imperial violence in one angry word and empowers its heroine, Lysistrata, to organize the neighborhood women to seize arms, treasure and the power of language in order to stop the gang warfare that, in real life as in the film, destroys children and young men in our city every day.
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Rome, ville ouverte ? Errance urbaine et condition féminine dans le cinéma d’Antonio Pietrangeli
par Esther Hallé-Saito,
publié le 23/01/2020
- Antonio Pietrangeli (1919-1968), critique engagé dans le combat réaliste tout au long des années 1940, puis réalisateur à partir de 1953, a proposé une filmographie caractérisée par un regard particulièrement inquiet porté sur la condition féminine dans l’Italie d’après-guerre. Rome, où se situe la majorité de ses films, est le lieu privilégié de ce que nous pourrions qualifier de réalisme moral : le rapport des personnages féminins à l’espace romain dessine une phénoménologie sceptique d’après laquelle le réel, devenu objet de doute, est placé sous le signe de la perte et de l’inachèvement.
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Lina Wertmüller, Mimì metallurgico ferito nell'onore (1972)
par Margot Rossi,
publié le 14/11/2019
- Dans le cadre de la rétrospective consacrée à Lina Wertmüller lors du Festival Lumière 2019, Margot Rossi a présenté le film Mimì metallurgico ferito nell'onore (1972) au cinéma Opéra de Lyon le jeudi 17 octobre 2019. Ce texte est une retranscription de sa présentation, qui a été par endroits modifiée pour l'adapter au format écrit.
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Dossier sur La Fameuse invasion des ours en Sicile
par Alison Carton-Vincent,
publié le 10/10/2019
- Sorti en octobre 2019, ce film d'animation est une adaptation par Lorenzo Mattotti de l’œuvre originale de l'écrivain Dino Buzzati, La famosa invasione degli orsi in Sicilia, un roman jeunesse publié pour la première fois en 1945.
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Genre et images dans les aires ibériques et latino-américaines - colloque international
par Paula Halperin, Isabelle Mornat, María Isabel Menéndez Menéndez, Alba Gómez García, Martine Heredia, Rocío Negrete Peña,
publié le 06/09/2019
- Podcast d'un colloque international organisé à l'ENS de Lyon sur la notion de genre dans les arts et les médias de l'aire hispanique.
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Masterclass d'Alfonso Cuarón
par Alfonso Cuarón,
publié le 14/06/2019
- Dans le cadre du Festival Lumière, Alfonso Cuarón, réalisateur mexicain récompensé de nombreuses fois par des prix prestigieux comme l'Oscar ou encore le Prix du meilleur scénario de la Mostra de Venise, a donné une masterclass à la Comédie Odéon le 16 octobre 2018. La rencontre était animée par le directeur de l'Institut Lumière de Lyon Thierry Frémaux.
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Masterclass de Javier Bardem
par Javier Bardem, Carlos Gomez,
publié le 10/05/2019
- Dans le cadre du Festival Lumière, Javier Bardem, acteur espagnol récompensé de nombreuses fois par des prix prestigieux comme le Goya, l'Oscar ou encore le prix de l'interprétation masculine du Festival de Cannes, a donné une masterclass à la Comédie Odéon le 15 octobre 2018. La rencontre était animée par le journaliste et critique de cinéma Carlos Gomez.
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Matteo Garrone, Dogman (2018)
par Elena Paroli,
publié le 29/04/2019
- Chronique Cinéma du film Dogman, réalisé par Matteo Garrone, sorti en 2018, avec Marcello Fonte, Gianluca Gobbi et Francesco Acquaroli.
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Some Like It Hot (1959), Billy Wilder
par James Thierrée, Nathalie De Biasi,
publié le 11/02/2019
- James Thierrée est comédien, metteur en scène, acrobate, danseur et musicien, petit-fils de Charlie Chaplin à l’honneur en 2018 au festival à travers une exposition photographique. Il est venu présenter le film Certains l’aiment chaud de Billy Wilder le 17 octobre 2018 au Cinéma Gérard Philipe de Vénissieux dans le cadre du Festival Lumière et du cycle Nouvelles Restaurations, une programmation de films restaurés récemment pour une nouvelle sortie en salles [meilleure qualité que les restaurations pour une diffusion en DVD, nda]. Ce texte est une retranscription de sa présentation, qui a été par endroits modifiée pour l'adapter au format écrit.
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Muriel Box, entre théâtre et cinéma
par Lorenzo Codelli, Jean Ollé-Laprune, Nathalie De Biasi,
publié le 31/01/2019
- Lorenzo Codelli et Jean Ollé-Laprune sont venus présenter deux films de la réalisatrice britannique Muriel Box au Festival Lumière 2018, dans le cadre du cycle Histoire permanente des femmes cinéastes. Ces textes sont des retranscriptions de leurs présentations, qui ont été éditées pour convenir au format écrit.
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F.T.A. (Francine Parker, 1972) : Jane Fonda, militante anti-guerre du Vietnam
par Lucien Logette, Nathalie De Biasi,
publié le 31/01/2019
- Lucien Logette, directeur de la revue Jeune Cinéma et lauréat du Prix Bernard-Chardère 2018, est un des quelques dizaines de français seulement à avoir vu le documentaire F.T.A. lors de sa sortie en France à l’automne 1972. Il est venu présenter le film, réalisé par Francine Parker, le 16 octobre 2018, à l’Institut Lumière, dans le cadre du festival Lumière et de la programmation consacrée à Jane Fonda, Prix Lumière 2018. Ce texte est une retranscription de sa présentation, qui a été éditée pour convenir au format écrit.
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Alessio Cremonini, Sulla mia pelle (2018)
par Elena Paroli,
publié le 10/01/2019
- Chronique Cinéma du film Sulla mia pelle, réalisé par Alessio Cremonini, sorti en 2018, avec Alessandro Borghi et Jasmine Trinca.
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Le cycle de la maladie des sentiments d'Antonioni : le jeu comme utopie moderne ?
par Eva Chaussinand,
publié le 26/09/2018
- A travers cet article, Eva Chaussinand propose d’interroger le statut du jeu – essentiel et pourtant occulté par la critique – dans la trilogie de la « maladie des sentiments » d’Antonioni. Le jeu fait-il signe vers la possibilité de « faire monde » à nouveau, à travers l’espoir et la joie retrouvés, ou bien n’est-il que divertissement illusoire, au sens pascalien du terme, moment utopique et irréel constamment interrompu par la menace de désintégration et de mort qui pèse sur les films d’Antonioni ?
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Intervista a Pietro Bartolo
par Rosanna Maggiore,
publié le 29/03/2018
- En lien avec notre dossier sur l'immigration, Rosanna Maggiore a rencontré Pietro Bartolo, médecin à Lampedusa, qui était à Lyon pour présenter la traduction française de son livre Lacrime di sale (Larmes de sel, traduit de l'italien par Marc Lesage, JC Lattès, 2017) et le film de Gianfranco Rosi, Fuocoammare (2016). Ces événements ont été organisés par l'Institut Culturel Italien, en collaboration avec la Mairie de Sainte-Foy-lès-Lyon, la Mairie du 7ème arrondissement et le cinéma Mourguet les 13 et 14 novembre 2017. L'interview a été modifiée par endroit pour être adaptée au format écrit.
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Masterclass de Guillermo del Toro
par Guillermo del Toro,
publié le 23/03/2018
- Dans le cadre du Festival Lumière, Guillermo del Toro, cinéaste mexicain qui a réalisé plusieurs long-métrages récompensés aux Oscars et au Festival du Film de Venise, a donné une masterclass à la Comédie Odéon le 16 octobre 2017. La présentation s'est faite en anglais, la traduction française étant assurée par le journaliste Didier Allouch.
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L'ordine delle cose, Andrea Segre (2017)
par Rosanna Maggiore, Giovanni Gafà,
publié le 15/03/2018
- En lien avec notre dossier sur le thème de l'immigration, Giovanni Gafà et Rosanna Maggiore ont consacré une Chronique cinéma au film L'ordine delle cose réalisé en 2017 par Andrea Segre, dans lequel Corrado Rinaldi, un haut fonctionnaire du Ministère de l'Intérieur italien incarné par Paolo Pierobon, est chargé de gérer les flux migratoires de la Lybie vers l'Italie.
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Intervista a Marco Pettenello
par Rosanna Maggiore, Marco Pettenello,
publié le 15/03/2018
- In occasione della rassegna "Le cinéma italien d'aujourd'hui", Rosanna Maggiore ha intervistato Marco Pettenello, sceneggiatore del film L’ordine delle cose, presentato a Lione il primo febbraio 2018. Marco Pettenello risponde alle sue domande sulla genesi e le fonti del film, sul rapporto tra cinema e realtà, sul cinema di impegno civile e sulla questione migranti in Italia e in Europa.
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Gianfranco Rosi, Fuocoammare (2016)
par Giovanni Gafà,
publié le 06/03/2018
- En lien avec notre dossier sur le thème de l'immigration, Gianfranco Gafà propose une introduction au film-documentaire de Giovanni Rosi consacré aux migrants de Lampedusa.
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Masterclass de Guillermo del Toro - Festival Lumière 2017
par Guillermo del Toro, Didier Allouch,
publié le 06/03/2018
- À l'occasion du Festival Lumière de 2017, Guillermo del Toro est venu à Lyon présenter en avant-première son dernier film, The Shape of Water, qui vient de remporter l'Oscar du Meilleur Film. Il a rencontré le journaliste Didier Allouch lors d'une Masterclass donnée à la Comédie Odéon, dans laquelle il évoque l'impact que son éducation catholique a eu sur son art et la relation qu'entretient notre société avec le cinéma et les images. Ce texte est une retranscription éditée de l'entretien.
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Pier Paolo Pasolini, La rage à l'oeuvre
par Marie Fabre,
publié le 09/02/2018
- Ce texte est une transcription d'une présentation proposée par Marie Fabre à la Quinzaine du Cinéma Italien de Chambéry le 19 novembre 2016 à l'occasion de la projection du film La macchinazione de David Grieco, retraçant la vie de Pier Paolo Pasolini. Intellectuel éclectique et engagé, Pasolini a marqué profondément la culture italienne de l’après- guerre, et ce, jusqu’à sa mort survenue en 1975 dans des conditions mystérieuses.
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À la recherche du Pays de Nulle-Part. L’œuvre de Pier Paolo Pasolini au prisme de l’utopie
par Daria Bardellotto,
publié le 07/02/2018
- Cet article se propose d’explorer les principaux tournants de l’œuvre littéraire et cinématographique de Pier Paolo Pasolini au prisme de l’utopie interprétée à la fois comme catégorie littéraire et historique. Cette approche permettra de cerner trois moments de son œuvre à travers lesquels le mythe d’un paradis perdu (subtopie) se transforme en quête utopique pour ensuite se retourner en dystopie.
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Chronique ciné : Io la conoscevo bene, Antonio Pietrangeli (1965)
par Esther Hallé,
publié le 05/02/2018
- Esther Hallé propose une chronique cinéma consacrée au film le plus célèbre d'Antonio Pietrangeli, Io la conoscevo bene. Elle propose une lecture qui met en regard le dernier film du réalisateur romain avec le reste de sa production, notamment autour de la question de la représentation de la condition féminine.
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Antonio Pietrangeli, Adua e le compagne
par Esther Hallé,
publié le 25/01/2018
- Adua e le compagne est un film d'Antonio Pietrangeli de 1960. Alors que la Loi Merlin impose la fermeture de toutes les maisons closes d’Italie, quatre prostituées tentent de s’établir à leur compte en ouvrant ce qui s’appparenterait à un simple restaurant. Mais pour mener à bien leur projet, elles doivent solliciter l’aide d’un ancien homme du milieu qui menace leur tentative d’émancipation…
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Alfonso Cuarón présente Le Labyrinthe de Pan (Guillermo del Toro - 2006)
par Alfonso Cuarón,
publié le 16/11/2017
- Alfonso Cuarón est un cinéaste mexicain qui a réalisé plusieurs long-métrages récompensés aux Oscars et au Festival du Film de Venise. Le 15 octobre 2017 il est venu présenter Le Labyrinthe de Pan de Guillermo del Toro au cinéma Comoedia à Lyon dans le cadre du Festival Lumière. La présentation s'est faite en anglais, la traduction française étant assurée par le journaliste Didier Allouche.
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Jean-Claude Raspiengeas présente "Le mystère Picasso" (Henri-Georges Clouzot - 1956)
par Jean-Claude Raspiengeas,
publié le 06/11/2017
- Présentation du film d'Henri-Georges Clouzot consacré à Picasso lors du Festival Lumière 2017.
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Elephant* (Alan Clarke - 1989 / Gus Van Sant - 2003)
par Lionel Gerin,
publié le 15/06/2017
- Au début des années 2000, on propose à Gus Van Sant, metteur en scène américain, de réaliser un long-métrage à partir de la tuerie de Columbine, alors le dernier "school shooting" qui a choqué l'Amérique.
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Paolo Sorrentino, Il divo
par Raphaëlle Meuge-Monville, Héloïse Faucherre-Buresi,
publié le 01/06/2017
- Cette page propose une critique du film Il divo, réalisé par Paolo Sorrentino en 2008.
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Churchill (2017) - Dossier pédagogique
par Marion Coste,
publié le 11/05/2017
- Le film traite des derniers instants de la Seconde Guerre mondiale, peu de temps avant le débarquement de juin 1944. En ce sens, il s’agit du traitement du temps court. Toutefois, grâce au montage, le spectateur et les élèves sont amenés à revenir sur les grands instants de la Première et de la Seconde Guerre mondiale. Ils abordent ainsi les grandes transformations, militaires, politiques et diplomatiques du premier XXe siècle.
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Fernando Guzzoni aux 33èmes Reflets du cinéma ibérique et latino-américain
par Fernando Guzzoni,
publié le 04/05/2017
- Le cinéaste chilien Fernando Guzzoni présente son film, Jesús et répond aux questions des spectateurs au cinéma Le Zola de Villeurbanne (69).
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Lo Scambio, de Salvo Cuccia (2015)
par Dario Marchiori, Susanna Longo,
publié le 06/04/2017
- A l'occasion des Rencontres autour du cinéma italien d'aujourd'hui, organisées par l'Université Lyon 3 en collaboration avec le cinéma Le Comoedia de Lyon et avec le soutien de l'Institut Culturel italien de Lyon, Susanna Longo et Dario Marchiori ont présenté le film Lo scambio (2015) de Salvo Cuccia en présence du réalisateur le 2 février 2017. La projection a été suivie d'un échange avec la salle que nous retranscrivons ici, modifié par endroits pour l'adapter au format écrit.
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Georgi Lazarevski aux 33èmes Reflets du cinéma ibérique et latino-américain
par Georgi Lazarevski,
publié le 28/03/2017
- Le 27 mars 2017, à l'occasion des 33èmes Reflets du cinéma ibérique et latino-américain, Georgi Lazarevski est venu présenter son film documentaire sur la Patagonie chilienne Zona franca, et répondre aux questions des spectateurs au cinéma Le Zola à Villeurbanne (69).
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Ghost Dog: The Way of the Samourai / Ghost dog : la voie du samouraï (Jim Jarmusch – 1999)
par Lionel Gerin,
publié le 15/03/2017
- Avec Ghost Dog, Jarmusch s'attaque à un autre genre, le film noir, pour lequel il revient paradoxalement à la couleur. Un tueur à gages, Forest Whitaker, adepte du code d'honneur des samouraïs de l'époque médiévale, vit simplement, connu seulement sous le nom de Ghost Dog. Il considère comme son maître un mafieux qui lui a autrefois sauvé la vie. À cause d'un témoin gênant, au cours de l'exécution d'un contrat, il devient lui-même la cible de la mafia. Film sur la transmission, sur la confrontation des anciens et des modernes, sur la conscience de l'histoire, cette œuvre ravira les cinéphiles et enchantera les autres.
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Laura (Otto Preminger – 1944)
par Lionel Gerin,
publié le 15/03/2017
- L'histoire, c'est celle de Pygmalion, revisitée par Hollywood, sous la direction d'Otto Preminger. Waldo Lydecker, chroniqueur aristocrate mondain, prend sous son aile une jeune publiciste, Laura. Il en fait sa "chose" et la conduit au succès. Elle rencontre Shelby, gigolo charmeur, et s'en éprend au point de vouloir l'épouser. Elle est assassinée. L'inspecteur Mark McPherson mène l'enquête. Film sur le pouvoir de la création et du désir, Laura marque une date dans l'histoire alors naissante du film noir, et lui donne une dimension autre.
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Il ragazzo invisibile - Gabriele Salvatores (2015)
par Susanna Longo,
publié le 05/03/2017
- A l'occasion des Rencontres autour du cinéma italien d'aujourd'hui, organisées par l'Université Lyon 3 en collaboration avec le cinéma Le Comoedia de Lyon et avec le soutien de l'Institut Culturel italien de Lyon, Susanna Longo, MCF d'Etudes Italiennes, a présenté le 3 février 2017 le film Il ragazzo invisibile de Gabriele Salvatores (2015) à un public de collégiens. Nous retranscrivons ici son intervention, modifiée par endroits pour l'adapter au format écrit.
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Lea, de Marco Tullio Giordana (2016)
par Susanna Longo, Marco Tullio Giordana,
publié le 01/03/2017
- A l'occasion des Rencontres autour du cinéma italien d'aujourd'hui, organisées par l'Université Lyon 3 en collaboration avec le cinéma Le Comoedia de Lyon et avec le soutien de l'Institut Culturel italien de Lyon, Susanna Longo, MCF d'Etudes Italiennes, a présenté le film Lea (2016) de Marco Tullio Giordana en présence du réalisateur le 1er février 2017. La projection a été suivie d'un échange avec la salle que nous retranscrivons ici, modifié par endroits pour l'adapter au format écrit. Marco Tullio Giordana y parle du rapport entre la mafia et la culture, de télévision italienne et de politique.
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Two for the Road / Voyage à deux (Stanley Donen - 1967)
par Lionel Gerin,
publié le 16/02/2017
- Tout le monde connait le Stanley Donen de Singing in the Rain (Chantons sous la pluie, 1952), ou de On the Town (Un jour à New York, 1949), comédies musicales brillantes et hautement toniques, à revoir évidemment. On connaît moins le Stanley Donen de Charade (1963), et pas davantage celui de Two for the Road (Voyage à deux, 1967). Le film raconte une quinzaine d'années de la vie d'un couple, en l'occurence Albert Finney et Audrey Hepburn. Thème simple, banal même. Pourtant, il pose d'emblée le problème de la forme. Faut-il opter pour la linéarité et user de stratagèmes pour évoquer le passage du temps, ou bien recourir aux bons vieux flash-backs ?
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Festival Lumière 2016 : Masterclass de Walter Hill
par Walter Hill, Yves Bongarçon,
publié le 13/02/2017
- Le 10 octobre 2016, à l'occasion du Festival Lumière, Walter Hill est venu donner une Masterclass à la Comédie Odéon à Lyon. L'entretien mené par Yves Bongarçon est l'occasion de revenir sur le parcours de ce géant du cinéma américain. Producteur, réalisateur et scénariste, il a notamment produit les trois premiers Aliens, et réalisé le film 48 heures, avec Nick Nolte et Eddie Murphy. Ce texte est une transcription de l'entretien entre Walter Hill et Yves Bongarçon. Il a été par endroits modifié pour l'adapter au format écrit. Un enregistrement audio est disponible sur la plateforme Souncloud.
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La ricotta (P. P. Pasolini) / Bellissima (L. Visconti)
par Alessio Librizzi,
publié le 09/02/2017
- A l'occasion d'une projection organisée à l'ENS de Lyon le 31 janvier 2017 par Champs Libres, Alessio Librizzi a présenté au public les films La Ricotta de Pier Paolo Pasolini et Bellissima de Luchino Visconti. Nous vous proposons une version retranscrite de son intervention.
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Little Fugitive / Le petit fugitif (Morris Engel, Ray Ashley and Ruth Orkin - 1953)
par Lionel Gerin,
publié le 25/11/2016
- En regardant les anciens reportages de Life, les photos de Vivian Maier et de Saul Leiter, on se prend parfois à rêver. C'était comment New York, Brooklyn, dans les années 50 ? Pour le savoir, on peut rechercher les articles et les photos susmentionnés, relire quelques romans. On peut également voir Little Fugitive. En cette décennie où Hollywood dominait, Le petit fugitif, film de photographes, en partie autofinancé, avait toutes les chances de passer inaperçu, et de finir aux oubliettes. Heureusement pour nous, il n'en fut rien.
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12 Angry Men / Douze hommes en colère (Sidney Lumet - 1957)
par Lionel Gerin,
publié le 25/11/2016
- En 1957 sort 12 Angry Men, premier film de Sidney Lumet, qui connait un succès commercial très modeste, mais remporte l'Ours d'or au festival de Berlin, le prix spécial à Locarno, est nommé aux Oscars, et voit Henri Fonda remporter le prix du meilleur acteur aux British Awards. Il s'agit d'un "film de procès", genre qui a donné de grands classiques, de The Paradine case (Le procès Paradine, 1947) d'Alfred Hitchcock, à Anatomy of a Murder (Autopsie d'un meurtre, 1959) d'Otto Preminger, en passant par Witness for the Prosecution (Témoin à charge, 1957) de Billy Wilder. Mais alors que tous ces films se concentrent sur les débats, le défilé des témoins et les plaidoiries, jusqu'au suspense du verdict, 12 Angry Men se déroule entièrement en salle de délibération. C'est donc un huis clos, pari de mise en scène intéressant.
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Prima della rivoluzione, Bernardo Bertolucci
par Lionel Gerin,
publié le 14/11/2016
- Bernardo Bertolucci, qui n'a alors que 22 ans, réalise son très autobiographique deuxième film, qui raconte les affres de Fabrizio, un jeune bourgeois, pris dans la contradiction de ses origines et de ses aspirations communistes, ainsi que dans une relation amoureuse, quasi incestueuse. Fabrice, Parme (car l'histoire s'y déroule), cela évoque des souvenirs stendahliens.
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Wild River / Le fleuve sauvage (Elia Kazan - 1960)
par Lionel Gerin,
publié le 10/11/2016
- Une Amérique tiraillée entre deux temps, un monde qui laisse place à un autre, avec son cortège de peur de l'avenir et de l'inconnu, son repli sur soi, tout cela sonne éminemment actuel, en cette période d'élections. C'est, entre autres, de cela que parle Wild River. En 1933, dans l'Amérique du New Deal, l'ingénieur Chuck Glover (Montgomery Cliff) est chargé de convaincre quelques propriétaires d'une petite ville du Tennessee de vendre leurs terres au gouvernement, qui va construire un barrage censé réguler le cours meurtrier de la rivière Tennessee. Parmi les derniers à résister, Ella Garth (Jo Van Fleet), grand mère revêche, refuse et s'accroche à son bien.
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Io la conoscevo bene d'Antonio Pietrangeli au Festival Lumière 2016
par Aurélien Ferenczi,
publié le 03/11/2016
- A l'occasion du Festival Lumière 2016 de Lyon, Aurélien Ferenczi a présenté le 16 octobre à l'Institut Lumière le film Io la conoscevo bene (Je la connaissais bien pour la version française), d'Antonio Pietrangeli. Ce texte est une retranscription de cette présentation qui a été par endroits modifiée pour l'adapter au format écrit.
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Paolo Sorrentino présente sa nouvelle série The Young Pope
par Paolo Sorrentino, Thierry Frémaux,
publié le 24/10/2016
- Le réalisateur Paolo Sorrentino était présent à Lyon le 15 octobre 2016 à l'Institut Lumière dans le cadre du Festival Lumière pour présenter sa nouvelle série The Young Pope qui sera diffusée en France à partir du 24 octobre 2016. Ce texte est une retranscription de l'échange entre Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes et directeur de l’Institut Lumière et le réalisateur Paolo Sorrentino. Elle a été par endroits modifiée pour l'adapter au format écrit.
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Jerry Schatzberg présente The Panic in Needle Park (Jerry Schatzberg - 1971)
par Jerry Schatzberg,
publié le 19/10/2016
- Jerry Schatzberg est venu le 12 octobre 2016 à Lyon pour présenter son film The Panic in Needle Park dans le cadre du Festival Lumière. Écrit par Joan Didion et John Gregory Dunne (d’après le roman du même nom de James Mill), le film dépeint la descente aux enfers d'Helen, tombée amoureuse de Bobby, un jeune héroïnomane qui l'entraîne dans la dépendance au moment de la grande pénurie d'héroïne qui frappe New York à la fin des années 60.
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Antoine Sire présente L'héritière (William Wyler - 1949)
par Antoine Sire,
publié le 18/10/2016
- Antoine Sire est l'auteur de Hollywood, la Cité des femmes, premier ouvrage à retracer avec précision la trajectoire des femmes qui ont construit le mythe hollywoodien. Il est venu présenter le film L'héritière de William Wyler le 11 octobre 2016 au Comoedia dans le cadre du Festival Lumière et de la rétrospective consacrée aux actrices de l'âge d'or d'Hollywood.
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Journal de voyage à Paris, d'Horacio Quiroga
par Elodie Pietriga,
publié le 13/10/2016
- Présentation du journal de voyage à Paris de l'écrivain uruguayen Horacio Quiroga en 1900. Il avait alors vingt-deux ans et s'embarqua seul sur un paquebot à destination de Gênes, en Italie, d'où il prit le train pour rejoindre Paris. Paris le fascine mais il se retrouve vite sans argent et découvre la précarité.
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Imitation of Life / Mirage de la vie (Douglas Sirk - 1959)
par Lionel Gerin,
publié le 07/10/2016
- Le film raconte l'ascension et le succès de Lora (Lana Turner) qui, partie de rien, sacrifie sa vie amoureuse pour sa carrière d'actrice. Elle est aidée par Annie, une femme noire qu'elle héberge, et qui est tout à la fois femme de ménage, nounou, secrétaire, dame de compagnie. Toutes deux sont veuves et ont une fille. Il s'agit donc, entre autres, d'une histoire de réussite, mais c'est d'une self-made woman dont il est véritablement question ici, d'une incarnation féminine du rêve américain et des problèmes spécifiques que cela pose. Le film joue sur des couples: mère/fille, noire/blanche, riche/pauvre.
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Vanishing Point / Point limite zéro (Richard Sarafian - 1971)
par Lionel Gerin,
publié le 13/09/2016
- Quand sort Vanishing Point, en 1971, le Nouvel Hollywood bat son plein. Initié dès les années 60 par des films comme The Graduate (Le lauréat) de Mike Nichols, ou Bonnie and Clyde d'Arthur Penn, ce "nouveau cinéma" a ouvert le champ à une autre Amérique, à ses laissés pour compte, ses losers. Longtemps tus, sinon interdits sur les écrans, beaucoup de problèmes commencent alors à être abordés: la sexualité sous tous ses aspects, les drogues, les violences conjugales et parentales, l'univers carcéral, la maladie mentale, le traitement des minorités, toutes les hypocrisies d'une société bourgeoise polissée, les mensonges de l'American Dream. La guerre même n'est plus héroïque, le Vietnam occupe toute l'actualité.
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Magallanes, de Salvador del Solar
par Izia Douix,
publié le 06/06/2016
- Présentation du film du réalisateur péruvien, inspiré du roman d'Alonso Cueto, La pasajera.
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Days of Heaven / Les moissons du ciel (Terrence Malick - 1978)
par Lionel Gerin,
publié le 06/06/2016
- En 1974 sortait le premier long-métrage de Terrence Malick, Badlands (La balade sauvage), sur la dérive meurtrière de deux amants juvéniles dans une Amérique rurale et désertique. Un très beau premier film où l'on voit rétrospectivement les germes des œuvres à venir. Quatre ans plus tard, Days of Heaven arrivait sur les écrans. Les germes avaient mûri puis éclos. La moisson était magnifique. Terrence Malick filme le temps. Celui qu'il fait, car ses films sont météorologiques. Celui qui passe, ou qui justement a du mal à passer.
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Una visión del terrorismo de Sendero Luminoso: de Mario Vargas Llosa a John Malkovich
par Izia Douix,
publié le 28/04/2016
- Sendero Luminoso es el nombre de un movimiento terrorista que actuó en el Perú entre los años 1980 y 2000. Se recuerda este periodo como los años negros del Perú por la violencia, el número de muertos y el miedo que se sentía.
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Truman, de Cesc Gay
par Izia Douix,
publié le 28/04/2016
- Presentación de la película "Truman".
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Mud / Sur les rives du Mississippi (Jeff Nichols - 2012)
par Lionel Gerin,
publié le 17/03/2016
- Peut-on, doit-on être fidèle? À ce que l'on est, à ceux que l'on hait, à ceux que l'on aime? À l'enfant que l'on est, que l'on a été? Vivre, est-ce renoncer? Par lâcheté, par manque de foi? Que se passe-t-il quand le cristal de l'enfance rencontre la boue des fleuves ? Comme le Mississippi, fleuve-mère et fleuve-père, ces questions irriguent le troisième long-métrage de Jeff Nichols, jeune et talentueux metteur en scène du Sud, né en Arkansas.
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María llena eres de gracia, de Joshua Marston
par Élodie Pietriga,
publié le 11/03/2016
- María es una joven colombiana que trabaja en un cultivo de flores. Un día descubre que está embarazada entonces no puede seguir con su trabajo. Como necesita dinero acepta trabajar de mula para los narcotraficantes. Su amiga Blanca decide hacer lo mismo. Tienen que ingerir cápsulas llenas de droga y llevarlas en su estómago a Estados Unidos donde los cómplices del grupo vendrán a recuperarlas.
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Apocalypse Now Redux (Francis Ford Coppola - 1979)
par Lionel Gerin,
publié le 25/01/2016
- 230 jours de tournage, presque deux ans de montage, un budget colossal pour l'époque. Apocalypse Now est "trop", comme l'on dit en français "moderne". Trop long pour les uns, trop baroque ou boursouflé pour les autres, ou encore trop violent. C'est un opéra, une fresque, un film initiatique, un reportage sur une époque, un road ou plutôt un river-movie. C'est avant tout un très grand moment de cinéma et de mise en scène. Fort du succès de The Godfather (Le parrain - 1972: à voir ou revoir, évidemment), Coppola a pu se lancer dans cette aventure, et cela en fut précisément une.
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Buster Keaton (Sherlock, Jr. - 1924; The Navigator - 1924; Seven Chances - 1925; The General - 1926; Steamboat Bill Jr. - 1928)
par Lionel Gerin,
publié le 25/01/2016
- Buster Keaton est un génie ! Sur scène, dès l’âge de cinq ans avec ses parents, il sait tout faire. D'abord tomber (son père lui attache une poignée dans le dos et le jette dans le public), ensuite (et avant tout), faire rire. À 22 ans, il a déjà 17 ans d'expérience du spectacle derrière lui. Il rentre "en cinéma" et passe en premier lieu par l'école des courts-métrages burlesques, avec Fatty Arbuckle, puis commence à réaliser ses propres "bandes" (à voir, bien évidemment). Cops est, par exemple, une merveille. Dès 1923, il passe au long-métrage. Je traite ici de cinq d'entre eux, mais les autres sont tout aussi indispensables.
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También la lluvia, d'Icíar Bollaín
par Élodie Pietriga,
publié le 22/01/2016
- Présentation du film d'Icíar Bollaín, "También la lluvia".
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Mauro Bolognini, "La corruzione" (1963)
par Lionel Gerin,
publié le 22/12/2015
- Stefano (Jacques Perrin) veut rentrer dans les ordres, au sortir de ses études. Son père (Alain Cuny), entrepreneur et jouisseur sans scrupule, essaie de l'en dissuader à coup de croisière, soirée et séduction. Il entraîne son fils sur son yacht, avec sa maîtresse (Rosanna Schiaffino) qui s'offrira à lui. Stefano, en bon idéaliste, est désorienté, dégoûté face à ce monde de l'artifice et de la satisfaction immédiate et matérielle.
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Vertigo / Sueurs froides (Alfred Hitchcock - 1958)
par Lionel Gerin,
publié le 30/11/2015
- Alfred Hitchcock ou l'une des incarnations possibles du cinéma. Si, comme le dit Capra, "le film est une maladie", alors le grand Alfred a vraiment soigné le mal par le mal. L'un de ses grands films malades (pour reprendre une expression de Truffaut) est Vertigo. Nous sommes en 1958. Entre 1954 et 1955, il a tourné trois films avec Grace Kelly : Dial M for Murder, Rear Window, To Catch a Thief. Elle représente son idéal féminin, comme il le définit: "le feu sous la glace". Elle est, comme on le sait, partie sous d'autres cieux. Fait unique dans la filmographie d'Hitchcock, il tourne alors trois films sans héroïne digne de ce nom, c'est-à-dire désirable: Trouble with Harry, The Man Who Knew Too Much (remake de sa version anglaise de 1934) et The Wrong Man. Puis vient Vertigo.
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Touch of Evil / La soif du mal (Orson Welles - 1958)
par Lionel Gerin,
publié le 24/11/2015
- Un motel perdu tenu par un personnage dérangé. Janet Leigh seule dans une chambre, plutôt dévêtue. Cela vous dit quelque chose ? Cette scène, Alfred Hitchcock en fut d'abord le spectateur. Il s'en inspira et en tira un chef-d'œuvre, Psycho. Mais le film dont nous parlons n'est pas de lui. C'est Touch of Evil, d'un autre génie du cinéma: Orson Welles. En 1958, il a déjà réalisé dix films, dont deux inachevés. D'abord metteur en scène de théâtre et acteur précoce, il a travaillé pour la radio et adapté des romans ou pièces plus ou moins célèbres. Le 30 octobre 1938, il adapte La Guerre des mondes, d'H.G Wells.
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Macbeth (2015 - Justin Kurzel)
par Justin Kurzel,
publié le 03/11/2015
- Le nouveau film Macbeth propose une lecture intense de l’une des tragédies les plus célèbres et captivantes de Shakespeare, celle d’un vaillant guerrier, autant que chef charismatique, se déroulant sur les champs de bataille au milieu des paysages de l’Écosse médiévale. Macbeth est avant tout l’histoire d’un homme abîmé par la guerre qui tente de reconstruire sa relation avec son épouse bien-aimée, tous deux aux prises avec les forces de l’ambition et du désir. Parenthèse Cinéma nous permet de partager avec vous un beau dossier pédagogique pour les enseignants qui souhaiteraient aborder cette adaptation de la pièce de Shakespeare avec leurs classes.
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Kiss Me Deadly / En quatrième vitesse (Robert Aldrich - 1955)
par Lionel Gerin,
publié le 21/10/2015
- Lionel Gerin, professeur d'anglais au lycée Ampère de Lyon et cinéphile averti, nous donne ici son point de vue sur quelques films représentatifs du patrimoine cinématographique du monde anglophone.
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Hitchcock/Truffaut (2015 - Kent Jones)
par Serge Toubiana,
publié le 21/10/2015
- A l'occasion du Festival Lumière 2015, Serge Toubiana, directeur de la Cinémathèque française, présente le documentaire Hitchcock/Truffaut qui retrace la rencontre et la collaboration entre les deux cinéastes. Ce texte est une transcription de son intervention.
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Scorsese presents Goodfellas (1990)
par Martin Scorsese,
publié le 20/10/2015
- Lorsqu’il découvre le roman Wiseguy de Nicholas Pileggi, Scorsese est séduit. Mais il veut arrêter les films de gangsters. Il en a déjà fait beaucoup. C’est Michael Powell qui le fait changer d’avis : le scénario est drôle et finalement, personne n’a montré à l’écran comment vivent ces truands. Les Affranchis est une sorte de plongée anthropologique documentaire dans le quotidien des malfrats expédiant leurs affaires courantes : boulot, amitié, déjeuners chez leurs mères, sorties au Copacabana, femmes, enfants… A l'occasion de la cérémonie de clôture du Festival Lumière 2015, Martin Scrosese présente l'un de ses films majeurs, Goodfelllas.
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Brigitte Gauthier : Les écoles de cinéma américaines
par Brigitte Gauthier,
publié le 08/10/2015
- Professeur à l’Université d’Evry, Brigitte Gauthier dirige le laboratoire de recherche SLAM (Synergies Langues Arts Musique), l’axe SCRIPT et le Master Langues et Image. Elle nous parle de son ouvrage L'enseignement du cinéma aux Etats-Unis, dans lequel elle détaille l'historique des formations proposées par les grandes écoles de cinéma américaines, ainsi que les spécificités de leurs cultures cinématographiques.
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Cinematic (Manu Joseph)
par Manu Joseph,
publié le 29/06/2015
- As a lonely young man largely forgotten by the world and invisible to the most gorgeous women whom you adore, should you not be writing melancholy poetry or the vain prose of deep self-regard. Instead you are drawn to cinema, you derive so much from movies, and it appears that you have been infected by the unsung altruism of commercial cinema, its duty to entertain. Is it because you think you know how to entertain? Is that your conceit? Or is it humility that pushes you to entertain? Is it not true that you find the need to have a deal with your audience – ‘I have something to say and I am afraid you may not be interested, but I seek the right to say it by giving you something in return’. Isn’t that the humility of cinema?
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24e London Latin American Film Festival, 14-23 novembre 2014
par Amanda Bernal,
publié le 23/06/2015
- Du 14 au 23 Novembre 2014 s’est déroulée la vingt-quatrième édition du London Latin American Film Festival, fondé en 1990 par Eva Tarr-Kirkhope afin de diffuser les meilleures productions du cinéma latino-américain dans la capitale anglaise. Ce projet est né de la volonté de mettre en valeur les cultures latino-américaines à une époque où les londoniens, et plus généralement les habitants du Royaume-Uni, ne savaient que très peu du sous-continent. La directrice du festival, arrivée de La Havane dans les années soixante-dix, a vite constaté que pour la majorité des habitants de la capitale, les pays qui composent l’Amérique que l’on appelle « latine » formaient un agrégat aux contours flous que l’on avait du mal à placer sur une carte, et dont les traits culturels demeuraient largement inconnus. C’est donc pour faire connaître la richesse et la diversité des cultures latino-américaines que le festival est né et s’est maintenu sur plus de deux décennies, comme outil à la fois de sensibilisation aux productions culturelles du sous-continent et de projection d’une image positive de la communauté latino-américaine, dont la reconnaissance officielle est loin d’être gagnée, malgré la croissance exponentielle de sa population depuis les années soixante-dix.
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Distant Voices, Still Lives (Terence Davis - 1988)
par Lionel Gerin,
publié le 18/06/2015
- Voix distantes parce que lointaines. Et vies bien vivantes (à l'opposé des natures mortes que suggérerait une traduction littérale). Instantanés plutôt, qui prennent/reprennent vie. Photos. Photos de famille. Mariages, baptêmes, décès. Liverpool, années 40 et 50. Une famille ouvrière. Un père violent. Une mère aimante. Premier long-métrage de Terence Davis, Distant Voices, Still Lives est un coup d'essai de maître. L'enfance, l'adolescence revisitées, on connaît. Pourtant ici une magie opère. Travellings avants pour rapprocher le temps retrouvé, un temps désarticulé par la mémoire. La chronologie est cahotique. Qu'importe! Voici une fresque intime et modeste, des lumières chaudes, des intérieurs, des visages.
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Under the Skin (Jonathan Glazer - 2013)
par Lionel Gerin,
publié le 03/06/2015
- Quel est cette lumière inaugurale? Un début (naissance)? Une fin (Near Death Experience)? Quel est cette langue? Inhumaine? Préhumaine? C'est peu dire que les premiers instants d'Under the Skin sont étranges et immédiatement prenants. Quelque chose se passe, sur l'écran. Une vingtaine de minutes mutiques, répétitives, hypnotiques, comme l'est en définitive tout le film.L'argument semble mince: des extra-terrestres sont en chasse. Le gibier? les hommes. L'appât? une créature. Scarlett Johansson, brune pour l'occasion. Le film est dérive, divagation, traque, ballet.
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Loin de la foule déchaînée (Far from the Madding Crowd)
par Clifford Armion,
publié le 21/05/2015
- Dans la campagne anglaise de l’époque victorienne, une jeune héritière, Bathsheba Everdeene doit diriger la ferme léguée par son oncle. Femme belle et libre, elle veut s’assumer seule et sans mari, ce qui n’est pas au goût de tous à commencer par ses ouvriers. Bathsheba ne se mariera qu’une fois amoureuse. Qu’à cela ne tienne, elle se fait courtiser par trois hommes, le berger Gabriel Oake, le riche voisin Mr Boldwood et le Sergent Troy. Parenthèse Cinéma nous permet de partager avec vous un très beau dossier pédagogique pour les enseignants qui souhaiteraient aborder cette adaptation du roman de Thomas Hardy avec leurs classes.
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Cinémas en révolution, Tunisie - Syrie. Partie I : Syrie
par Cécile Boëx, Narimane Abd Alrahman,
publié le 05/05/2015
- Cécile Boëx se propose d’analyser les effets de la révolution syrienne sur la production cinématographique. Pour illustrer son propos, elle va appuyer son analyse sur l’expérience d’un collectif syrien Abou Naddara, comme exemple abouti d’une pratique cinématographique qui se pense avec les évènements et qui propose un point de vue distancier et singulier par rapports à ces évènements.
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Cinémas en révolution, Tunisie- Syrie. Partie II : Tunisie
par Kmar Bendana, Narimane Abd Alrahman,
publié le 05/05/2015
- Kmar Bendana nous dresse un tableau de la production cinématographique en Tunisie de ces dernières années. Elle en expose les différentes mutations et constate que le cinéma tunisien, considéré jusque là comme un cinéma de festivals et de films d'auteurs est en train de devenir un moyen d'expression plus direct sur l'état général de la société tunisienne. A la faveur de l'explosion de la parole et de l'image, le cinéma tunisien participe d'une mue. Le phénomène, à peine perceptible, touche à l'extension de l'espace public (notamment en filmant des réalités jusque là timidement approchées) et à l'ouverture à des formes radicalement nouvelles.
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Printemps du cinéma arabe : une identité à retrouver, entre désir de créations originales et dérives inattendues...
par Rym Taga Gabsi, Narimane Abd Alrahman,
publié le 03/04/2015
- Tour d’horizons de quelques films tournés avant, pendant et après les Révolutions des pays arabes. Nous analyserons quelques extraits de films afin de montrer les différences avant et après la Révolution, surtout du point de vue de la liberté d’expression. Enfin, nous nous intéresserons aux changements remarqués « grâce » ou « à cause » de la Révolution. Mais peut-on réellement parler de changements ?