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Recherche multi-critères

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Il y a 163 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Le traitement de l'inattendu des révolutions arabes dans le cinéma et le documentaire égyptiens et tunisiens. par Ayari Ramla, publié le 02/04/2015
De l’écriture – réécriture de l’inattendu des Révolutions tunisienne et égyptienne dans le documentaire. Nous tenterons d’examiner le traitement par l’image des spécificités des deux Révolutions et nous essayerons d’analyser les différentes approches en fonction du fait que le réalisateur soit tunisien, égyptien ou étranger. Nous analyserons, entre autres, le film documentaire d’Elyes Baccar « Rouge Parole » ainsi que celui de Mohammad Zran « Dégage » pour ce qui est de la Tunisie. Pour la partie égyptienne, nous nous pencherons sur le traitement de l’inattendu dans « Né le 25 janvier » d’Ahmed Rashwan, mais aussi dans le film de Youosri Nasrallah « Après la bataille ».
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To Be or Not to Be / Jeux Dangereux (Ernst Lubitsch - 1942) par Lionel Gerin, publié le 26/03/2015
Connaissez-vous Lubitsch? On lui doit quelques unes des meilleures comédies des années 1930-40. Connaissez-vous la Lubitsch's touch? Si vous répondez non, de grands plaisirs de cinéma vous attendent. Élégance et finesse. Commençons donc par un sommet, un chef d'oeuvre: To Be or Not to Be. Mais pour mieux en apprécier le sel, un peu d'histoire. Juif Berlinois, Lubitsch, amoureux fou de théâtre, rejoint le cinéma comme homme à tout faire, puis acteur. Dés 1913, il est l'égal de Max Linder, et le plus grand comique allemand...
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Seeing Between the Lines: Terence Davies’s The House of Mirth and the art of adaptation par Wendy Everett, publié le 02/03/2015
Examining Terence Davies’s adaptation of Edith Wharton’s The House of Mirth, this article identifies ways in which the creative interpretation of the filmmaker may serve to open up new insights into both the original text and the language of cinema itself. It considers, in particular, aspects such as music, painting, and visual metaphor in its presentation of cinema as an essentially multilayered and complex medium which requires of the spectator an imaginative and creative engagement, just as the novel requires of the reader.
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The Man Who Shot Liberty Valance / L'Homme qui tua Liberty Valance (John Ford -1962) par Lionel Gerin, publié le 26/02/2015
John Ford est l'un des plus grands, sans contestation possible. Citons Orson Welles, interviewé sur les cinéastes importants à ses yeux, qui répondait:"Les vieux maîtres, c'est à dire John Ford, John Ford et John Ford." L'Homme qui tua Liberty Valance est l'avant-dernier western de John Ford est l'un de ses derniers films. Ford a contribué, et comment!, à forger la légende de l'ouest, il en est l'un des "inventeurs". Il est donc passionnant de voir son regard vieillissant sur le genre et les thèmes qu'il affectionne: la loi et son avènement, opposée au "wild west", la vieillesse, la fidélité, la vérité et la légende, la "naissance d'une nation", d'une communauté, la violence et son usage.
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Bill Douglas Trilogy / La trilogie Bill Douglas My Childhood - My Ain Folk - My Way Home (Bill Douglas 1972 -1973 -1978) par Lionel Gerin, publié le 15/01/2015
Écosse. Un village minier près d'Édimbourg. 1945. Un enfant, son frère, leur grand-mère maternelle. Un prisonnier allemand.Mort de la grand-mère. Orphelinat. Grand mère paternelle. Un oncle. L'orphelinat encore. L'adolescence. La mine. Service militaire en Égypte. Rencontre de Robert. Ouverture. Les dialogues? Presque aucun. La musique? Aucune. L'action? Survivre. Le résultat? Au-delà des mots. Saisissement total. Comment en effet parler d'une telle œuvre? C'est un coup à l'estomac, un vent du Nord, une nuit charbonneuse.
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Heaven's Gate / La porte du paradis (Michael Cimino -1980) par Lionel Gerin, publié le 12/12/2014
1978. Deer Hunter / Voyage au bout de l'enfer. Bien qu'avare du mot, je l'ose ici: chef d'œuvre absolu. N'en déplaise aux détracteurs, à ceux qui y voient, à grand tort, un film (de plus) sur le Vietnam. Deer Hunter est un immense film, profondément américain. Faut-il être aveugle pour y lire un message impérialiste, malgré cette dernière scène poignante, si souvent incomprise. Chef d'oeuvre, donc. Presque trois ans plus tard, sort Heaven's Gate, le plus grand désastre financier du cinéma américain, mais qu'importe! Combien de tableaux Van Gogh a-t-il vendu? Combien d'exemplaires Rimbaud a-t-il écoulé?
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The Night of the Hunter / La nuit du chasseur (Charles Laughton - 1955) par Lionel Gerin, publié le 28/11/2014
Pour inaugurer cette rubrique, je ne pouvais choisir aucun autre film. C'est une œuvre qui m'est chère, unique, dans tous les sens du terme, un diamant noir dans la cinéphilie mondiale, une pierre noire dans la nuit de l'enfance. Charles Laughton, immense acteur (de Mutiny on the Bounty à Quasimodo, de Hobson's Choice à Spartacus, passant de la comédie au drame, du film noir au péplum) réalise là son seul film, qui est depuis une des références absolues des cinéphiles. Les films uniques ont toujours une saveur particulière (que l'on se souvienne de Honeymoon Killers de Leonard Kastle, ou d'Electra Glide in Blue de James William Guercio, par exemple) et cette Nuit du chasseur ne fait pas exception.
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L’Afrique du Sud sous les projecteurs du cinéma par Annael Le Poullennec, publié le 19/11/2014
Vous trouverez sur cette page les textes et images réunis à l’occasion de l’Exposition Afrique du Sud, réalisée par la bibliothèque de l’Université d’Evry dans le cadre du colloque SCRIPT. Annael Le Poullennec évoque ici les grandes étapes et les grands films qui jalonnent l’histoire du cinéma sud-africain.
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L’espace post-apartheid dans les longs métrages de fiction sud-africains, une étude panoramique par Annael Le Poullennec, publié le 19/11/2014
Annael Le Poullennec propose une étude de l'espace sud-africain post-apartheid par l’intermédiaire des films. Après quelques rappels sur l’histoire de la ségrégation en Afrique du Sud et une brève introduction au cinéma sud-africain, elle évoque la problématique de l’espace, à l’échelle nationale et urbaine, dans la réinvention de la nation sud-africaine après la fin de l’Apartheid. Elle s’arrête notamment sur les dichotomies ville/campagne, township/suburb, cloisonnement/ouverture, en insistant sur l’image du déplacement, de l’évolution. Par l’analyse de films tels que Hijack Stories (Oliver Schmitz, 2001), The Wooden Camera (Ntshaveni WaLuruli, 2003), Tsotsi (Gavin Hood, 2005) et White Wedding (Jann Turner, 2009), elle pose les bases de ce qui constitue l’espace post-apartheid cinématographique dans le cinéma de fiction.
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Jeux vidéo et cinéma à rebours du mouvement transhumaniste : le cas de District 9 par Julien Buseyne, publié le 07/11/2014
District 9 de Neil Blomkamp (2009) projette la structure de l’Apartheid dans un univers de science-fiction où les extraterrestres dont le vaisseau s’est échoué au dessus de Johannesburg sont victimes d’une forme de ségrégation. En marge de son thème principal, c’est à dire la projection de la mécanique d’oppression entre humains sur le canevas de la science-fiction, District 9 illustre aussi un procédé technique qui constitue le ressort principal du jeu vidéo : la projection des sens et du corps dans un système technique. Cinéma, télévision et jeux vidéo partageant les mêmes schèmes de la pratique audiovisuelle, les convergences entre ces domaines ne sont pas rares. Par la mise en scène de la technologie extra-terrestre, Disctrict 9 expose une grammaire de la captation de l’être sensible dans un système technique qui étend ses sens et ses potentialités, trait qu’il partage avec le jeu vidéo. Il s’agit là d’un acte politique qui s’oppose à la pensée transhumaniste, et affiche une convergence frappante avec les systèmes d’immersion dans les univers numériques actuellement à l’étude. Cette prise de position est cohérente avec le discours humaniste déroulé par cette œuvre, et s’inscrit dans la continuité de celles qui explorent la relation entre l’humain et la machine.
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Présentation de Come Back Africa (Lionel Rogosin, 1959, US 82 minutes) par Monique Peyriere, publié le 05/11/2014
Après avoir réalisé un film sur les sans-abris aux Etats-Unis, Lionel Rogosin part avec une équipe de tournage en Afrique du Sud en déclarant aux autorités locales qu’il veut produire un documentaire sur la musique. Filmé clandestinement par un réalisateur américain blanc dans Sophiatown, un township noir de Johannesburg, Come Back Africa nous montre la vie des communautés noires sous l’apartheid. Entres brimades et défiance, le film de Lionel Rogosin expose les relations blancs/noirs dans l’Afrique du Sud des années 50. Les militants y jouent leur propre rôle dans un scénario de fiction qui nous invite à découvrir le ghetto au travers du regard d’un nouvel arrivant, Zacharia. Les images ont pu sortir d'Afrique du Sud pour être montées aux Etats-Unis puis diffusées dans le monde entier ; c’est un film politique, le premier à dénoncer l’Apartheid.
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Federico Fellini, "Otto e mezzo", 1963 par Lionel Gerin, publié le 03/11/2014
Cette page propose une critique du film "Otto e mezzo", réalisé par Federico Fellini en 1963.
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Bertrand Tavernier sur le cinéma américain par Bertrand Tavernier, Clifford Armion, publié le 20/10/2014
Dans le cadre du Festival Lumière 2014, Bertrand Tavernier évoque certaines grandes étapes de l’histoire du cinéma américain depuis les années 20 jusqu’aux années 60. Ancien critique, celui que l’on connait surtout pour ses films (L'Horloger de Saint-Paul, Un Dimanche à la campagne, Dans la brume électrique…) est aussi l’auteur de plusieurs livres sur le cinéma, notamment Amis Américains, un important ouvrage d’entretiens avec les grands auteurs d’Hollywood (Institut Lumière/Actes Sud, 2008).
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Charulata (la femme solitaire) : Tagore / Ray par Giovanni Robbiano, publié le 16/09/2014
Charulata (1964) est également connu sous son titre anglais : The Lonely Wife (La femme solitaire). Ce film est une adaptation du roman Nastanirh (Le nid brisé) de Rabindranath Tagore, publié en 1901. Les acteurs principaux sont Madhabi Mukherjee, Sailen Mukjerjee et Soumitra Chatterjee dans les rôles principaux de Chârulatâ, son mari Bhupati et son cousin Amal. Comme la plupart des films de Ray, ce film est en noir et blanc et dure 117 minutes. Il en a également composé la musique. Il a été produit par R. D. Banshai, et le directeur de la photo était Subrata Mitra. Celui-ci a fait la photo de la plupart des films de Ray et en particulier de ses premiers chefs-d'œuvre : la Trilogie d'Apu : Pather Panchali (La complainte du sentier, 1955), Apu Sansar (Le monde d’Apu, 1959) et Aparajito (L’Invaincu, 1956).
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Satyajit Ray, ambassadeur de Tagore par Brigitte Gauthier, publié le 15/09/2014
Il y a quelque chose de délicat, subtil, dans l’œuvre du cinéaste Satyajit Ray. Il nous prend par la main et nous invite à pénétrer une culture autre en douceur. On est immédiatement happé par son univers même si la langue et la culture sont distantes. Comment parvient-il à se faire l’ambassadeur de l’Inde en pleine mutation ? On suit ses films de l’intérieur. On est invité à placer notre regard au centre du film et non à l’extérieur, sans pour autant à aucun moment nous identifier aux personnages qui sont totalement autres. On se glisse derrière la caméra, et la lenteur des plans nous permet de nous imprégner de la vie qui se déroule. Les villageois passent le long d’un chemin, les personnages entrent et sortent des plans. Partout, qu’il tourne des scènes d’intérieur ou d’extérieur, le flux de la vie anime l’image...
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Intervista a Saverio La Ruina par Saverio La Ruina, Maurizia Morini, publié le 10/09/2014
In questa intervista condotta da Maurizia Morini, l'attore, autore e regista teatrale Saverio La Ruina ci parla del suo amore per il cinema e per il teatro. Racconta le prime esperienze teatrali prima come attore poi come autore e regista. Di origine calabrese, ha fondato con Dario De Luca a Castrovillari la compagnia Scena Verticale e il festival Primavera dei Teatri. Si sofferma sulla questione del plurilinguismo delle sue opere, spesso scritte in calabrese ma recitate anche in italiano e in altre lingue, come il francese. L'intervista si conclude sulla sua scelta di interpretare personaggi femminili e di mettere in scena la condizione femminile meridionale.
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الاستعادة - Reconstitution par Ali Bader, Narimane Abd Alrahman, publié le 14/06/2014
Le cinéma a donné la preuve de sa puissance pour mettre en scène des pans de l’histoire, à grands frais de décors et d’inventivité. Mais quelle est la démarche spécifique de l’écrivain ? Au prix de quelles recherches historiques, et par quels moyens peut-il donner à voir la coloration particulière d’une époque passée ? Faut-il s’en tenir aux données établies ou privilégier la vraisemblance ? Quelle place pour le savoir attesté, quelle place pour l’hypothèse et l’imaginaire ?
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Emma Dante, Via Castellana Bandiera par Maurizia Morini, publié le 05/06/2014
Ci troviamo in una stretta via della periferia di Palermo, con la montagna incombente sullo sfondo, e su cui si affacciano casupole “tirate su” abusivamente con materiali edilizi di vario genere. In questa strettoia si incrociano due auto, una Fiat Punto guidata da Samira (Elena Cotta) proveniente da Piana degli Albanesi, con la numerosa famiglia, di ritorno dal mare e che vive in Via Castellana Bandiera e una Fiat Multipla, guidata da Rosa (Emma Dante) palermitana, che vive a Milano, tornata con la giovane compagna Clara (Alba Rohwacher) per partecipare ad un matrimonio. Nella strettoia le due macchine si fronteggiano, le due guidatrici non intendono cedere il passo e caparbiamente aspettano... a motore spento.
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Moda, cine, literatura y consumo de drogas par Edna Cordoba, publié le 13/03/2014
Présentation de la place accordée aux consommateurs de drogue dans la société occidentale. Les consommateurs célèbres sont devenus des icônes et leur style a influencé les arts.
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Reunion / L'ami retrouvé (1989) Jerry Schatzberg par Jerry Schatzberg, publié le 15/11/2013
Jerry Schatzberg started his career as a photographer and made his debut as a film director with Puzzle of a Downfall Child in 1970. Three years later he won the Cannes Film Festival Grand Prix for Scarecrow with Gene Hackman and Al Pacino. He was invited by the Festival Lumière to present Reunion (1989) which was screened in Lyon on 18 october 2013.
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Luigi Comencini, Pane, Amore e Fantasia par Lionel Gerin, publié le 08/11/2013
Cette page propose une critique du film Pane, Amore e Fantasia (Pain, Amour et Fantaisie), réalisé par Luigi Comencini en 1953.
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Kate O'Riordan: Visions of Ireland - A writer's view par Kate O'Riordan, publié le 17/09/2013
A Londoner by adoption, Kate O’Riordan grew up in the small city of Bantry on the west coast of Ireland. With Le Garçon dans la lune, published in 2008 and Pierres de mémoire, in 2009, O’Riordan signed two new remarkable opuses in which she questions family relationships. A novelist and short-story writer, Kate O’Riordan also writes for the cinema and continues to confirm her legitimate place among Irish authors who count. She came to the Villa Gillet to take part in a discussion on 'Ireland by Irish writers'.
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Michelangelo Antonioni, Identificazione di una donna par Lionel Gerin, publié le 06/09/2013
Cette page propose une critique du film Identificazione di una donna, réalisé par Michelangelo Antonioni.
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Mario Monicelli, I soliti ignoti par Lionel Gerin, publié le 14/06/2013
Cette page propose une critique du film I soliti ignoti, comédie réalisée par Mario Monicelli.
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Incontro con Giuliano Montaldo par Maurizia Morini, publié le 07/06/2013
L'Istituto italiano di cultura di Lione ha invitato il 5 aprile 2013 all'Università Lyon 3 il Maestro del cinema Giuliano Montaldo. Il regista, sceneggiatore, attore, da oltre sessanta anni, si occupa di cinema ed è considerato uno dei maggiori realizzatori italiani; era accompagnato “dalla compagna di una vita” Vera Pescarolo, soggettista, produttrice e figlia dell'attrice pirandelliana Vera Vergani.
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Luciano Emmer, La ragazza in vetrina par Lionel Gerin, publié le 07/05/2013
Cette page propose une critique du film La ragazza in vetrina, réalisé par Luciano Emmer.
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La rue dans le cinéma expressionniste allemand de 1919 à 1927 par Tamara Eble, publié le 02/04/2013
Dans le cinéma expressionniste, les rues sombres contribuent au sentiment de désorientation et de menace créé par les décors de studio extrêmement stylisés, aux perspectives fausses et aux maisons et toits, plongés dans l’obscurité environnante. Dans ces rues labyrinthiques, le danger rôde dans tous les recoins, sous la forme de créatures inquiétantes qui sèment la mort et la terreur : le somnambule Cesare qui exécute les ordres du terrible Dr. Caligari dans Das Cabinet des Dr. Caligari (1919/1920), le Golem dans Der Golem (1920), le vampire Nosferatu dans Nosferatu (1922), le diable Méphisto dans Faust (1926)… c’est le cas dans Von morgens bis mitternachts (1920) ou dans Faust (1926).
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Aux origines de Twelve Years a Slave (Steve McQueen, 2013) : le récit d’esclave de Solomon Northup par Michaël Roy, publié le 20/03/2013
Aux origines du film de Steve McQueen, Twelve Years a Slave (2013), il y a le récit de l’esclave américain Solomon Northup (1853). Cet article présente d’abord le récit d’esclave et situe cette forme littéraire dans le paysage idéologique de l’Amérique d’avant la guerre de Sécession ; il détaille ensuite l’histoire éditoriale de Twelve Years a Slave ; il donne enfin quelques repères dans l’œuvre et évoque son devenir critique.
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Francesco Rosi, Cristo si è fermato a Eboli par Lionel Gerin, publié le 15/02/2013
Cette page propose une critique du film Cristo si è fermato a Eboli, réalisé par Francesco Rosi.
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Vittorio De Sica, Il giardino dei Finzi-Contini par Lionel Gerin, publié le 30/01/2013
Cette page propose une critique du film Il Giardino dei Finizi-Contini, réalisé par Vittorio De Sica sur un scénario de Valério Zurlini.
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Dino Risi, "I Mostri" par Lionel Gerin, publié le 11/01/2013
Cette page propose une critique du film "I Mostri", réalisé par Dino Risi sur un scénario de Valério Zurlini.
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Screening Identities - Danny Glover in conversation with Manthia Diawara par Manthia Diawara, Danny Glover, Avital Ronell, publié le 20/01/2012
Manthia Diawara et Danny Glover exploreront, d'un point de vue thématique et existentiel, comment les relations se forment et s'exportent au cinéma. Comment les relations sont-elles représentées et selon quels codes d'acquiescement ou de révolte, de désir ou de dégoût, de nécessité ou de chance les rencontres sont-elles thématisées dans les films africains ou africains américains ? Quels sont les dessous de l'histoire et les affinités secrètes qui ont encouragé ou freiné l'émergence de l'art cinématographique noir africain et américain ? Messrs Diawara and Glover will be exploring, on a thematic and existential register, the way relations are formed and uprooted in cinema. How are relations depicted, and according to what codes of presumed compliance or revolt, desire or disgust, necessity or chance, in the encounters that are thematized in African and African-American film? What are some of the back-stories and unrecorded affinities that have enabled or disturbed the emergence of the Black cinematic art?
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Como agua para chocolate : l’adaptation cinématographique par Anne-Marie Molin, publié le 21/10/2011
L'histoire de Como agua para chocolate adopte un point de vue plutôt particulier puisque c'est une descendante qui nous narre les étranges légendes de sa famille, transmises de génération en génération par le biais du fameux livre de recette, héritage ancestral, que nous lisons à notre tour...
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Horizons nouveaux, Souli (Alexander Abela) et Stage Beauty (Richard Eyre) : deux versions d’Othello en marge, à l’horizon du texte par Anne-Marie Costantini-Cornède, publié le 21/10/2011
Le paradoxe de l'essai cinématographique, de l'adaptation « librement inspirée de William Shakespeare », nous est désormais familier. La réécriture hybridité, modernisation ou parodie post-moderne, qui inscrit l'espace du texte filmique dans d'autres horizons, créant nouveauté et surprise, relève d'une imitation différentielle, à la fois proche et différente du modèle. Alexander Abela et Richard Eyre bousculent les conventions dans leur version d'Othello, (2004) Alors qu'il explore les ressorts archétypaux de l'humeur jalouse, le cinéaste - auteur prend des libertés avec l'histoire, le contexte, ou les conventions d'un genre. La démarche interprétative, indirecte, est cependant de nature différente dans les deux films.
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Como agua para chocolate : des mots à l'écran par Anne-Marie Molin, publié le 19/10/2011
L'histoire de Como agua para chocolate a été imaginée et rédigée par l'écrivaine mexicaine Laura Esquivel en 1989. Cet ouvrage, pour le moins intrigant, a connu très vite un succès international grâce aux mystères stylistiques, gustatifs et magiques qu'il renferme. Comme l'auteur l'explique dans une interview pour la BBC, à l'époque où elle a écrit ce roman, elle ne créait que des scénarios pour le cinéma. Cependant, comme il n'est pas facile de percer dans ce milieu et que ses scripts commençaient à s'accumuler en vain, elle a finalement décidé d'écrire ce livre qui serait pour elle, comme écrire un scénario, mais sans les limites et les exigences que ce dernier et les producteurs imposent : elle serait ainsi libre de créer son film idéal.
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Un'intervista al direttore del Museo Nazionale del Cinema par Alberto Barbera, Damien Prévost, publié le 07/10/2011
Alberto Barbera risponde alle domande della Clé des Langues nell'ambito del Festival Lumière 2011 di Lione nel quadro eccezionale della casa-museo dei fratelli Lumière. Ci parla della nascita e dello sviluppo del Museo del cinema nella Mole Antonelliana a Torino, della realtà e prospettive del cinema italiano oggi ed infine del Festival di retrospettiva lionese.
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De Saxo à Axel, de Hamlet au Prince de Jutland : du texte source au cinéma, réécritures et résurgences de l’Histoire par Anne-Marie Costantini-Cornède, publié le 12/09/2011
Le Prince de Jutland réalisé par le cinéaste danois Gabriel Axel en 1994 transpose à l'écran les Gesta Danorum, la chronique transcrite par le clerc Saxo Grammaticus vers 1200. Cet article étudie les enjeux culturels et esthétiques de cette fidèle transposition de la source de la tragédie de Shakespeare selon une approche contrastive entre le texte source, les dérivés et le film. Il envisage les écarts avec le héros tragique au travers du récit des exploits du prince Amled, la question de la transformation générique, le refus du tragique et le retour vers le genre épique, et le passage du mode verbal à un mode visuel dépouillé.
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Golpe de estado chileno : historia y cine par Anne-Marie Molin, publié le 14/05/2011
La historia que Chile conoció entre los años 50 y los años 90 es tan apasionante como conmovedora. El cambio de perspectiva social que el país y América Latina en general conocieron a principios de los 60, así como las nuevas preocupaciones de los artistas, motivados por la revolución cubana, dieron un nuevo aliento a todas las artes en general y al cine chileno en particular. La situación política, económica y social chilena de los años 70 no dejaba de alimentar la calidad y los temas del cine nacional que se expresaba sobre todo a través del género documental.
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Incontro con Ivano de Matteo par Ivano de Matteo, Maurizia Morini, publié le 08/04/2011
Ivano de Matteo, regista de La Bella Gente, ha accettato di rispondere alle nostre domande il giorno dell'anteprima del suo film a Lione il 02 febbraio 2011. Ringraziamo il cinema Comoedia di Lione dove questo incontro è avvenuto. Durante questa intervista ci parla ovviamente del film, ma anche del processo di maturazione all'origine di questo film, del lavoro con gli attori e del discorso "etico" che ha voluto tenere.
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La voix de Lolita dans "Lolita", le roman de Vladimir Nabokov et le film de Stanley Kubrick par Michaël Roy , publié le 25/03/2010
La critique nabokovienne s'est beaucoup interrogée sur les modalités de la voix de Humbert Humbert, ses inflexions, ses excentricités, ses stratégies de séduction. C'est en effet par la voix du nympholepte, confesseur omnipotent, que nous parvient toute l'histoire de Humbert et Lolita. Il semble, à première lecture, que la jeune fille n'ait pas son mot à dire dans cette histoire ; objet de Humbert-personnage, elle devient objet du discours manipulateur de Humbert-narrateur. On peut malgré tout se demander si la voix de Lolita est véritablement engloutie par la parole de Humbert, ou bien si elle parvient au contraire à défier les assignations au silence de ce dernier. On tentera ici de « récupérer » la voix de Lolita dans le roman de Vladimir Nabokov (1955), tout en analysant la façon dont Stanley Kubrick s'accommode de cette problématique complexe de la voix et du silence dans son adaptation cinématographique (1962).
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De L'espoir à Sierra de Teruel : De l'espoir à la réalité par F. César Gutiérrez Vinayo, publié le 24/03/2010
Du roman L'espoir à son adaptation au cinéma intitulée Sierra de Teruel, André Malraux propose un vaste panorama du conflit sanglant qui affronta entre 1936 et 1939 deux idéologies antagonistes ; d'un côté la République et de l'autre le Fascisme. Si le roman retrace les événements qui se déroulèrent entre le 18 Juillet 1936 et le 18 Mars 1937, Malraux commença le tournage le 20 Juillet 1938, jusqu'à ce jour de 1939 où il prit la fuite pour la France, lorsque les troupes de Franco entrèrent à Barcelone. Mais il existe une nuance primordiale liée au contexte de création. Quand Malraux publie L'espoir, la guerre d'Espagne n'est ni perdue ni gagnée. Malraux attache le sort de sa fiction à l'issue d'un événement historique non encore dénoué. Par contre, lors de son adaptation au cinéma, il exprime un sentiment tragique, dû à la vision réelle du conflit.
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L'enseignement de la version originale par Loreto Casado, publié le 23/03/2010
L'enseignement de la version originale cinématographique s'inscrit dans le cadre de la didactique de la traduction audiovisuelle. Cette communication présente la pratique de la traduction dans sa modalité du sous-titrage et aborde la sensibilisation à la version originale comme moyen d'apprentissage de la langue étrangère en intégrant également l'analyse filmique.
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Le Rêve Imposé ou la Machine Hollywoodienne au Service de l’Idéologie Dominante par Morgane Jourdren , publié le 04/03/2010
Hollywood, en particulier, dès les années 1930-1940, joue le premier rôle dans une véritable entreprise de conditionnement des esprits menée par la société dominante auprès des populations, notamment auprès de ces couches populaires que l'on juge potentiellement dangereuses. Comment la Mecque du cinéma a-t-elle progressivement mais sûrement imposé le rêve américain à l'écran ? Quelles images, ancrées dans l'inconscient collectif, a-t-elle projetées pour fédérer tout un peuple autour de l'American Way of Life ?
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Vision(s) de dé-Lear ou comment mettre en scène la folie du roi par Carole Guidicelli, publié le 11/02/2010
La folie qui affecte Lear est une spécificité de la pièce de Shakespeare par rapport à ses sources. L’un des enjeux de la représentation du Roi Lear consiste donc à exhiber les signes extérieurs de la folie du roi tout en permettant au spectateur d’avoir accès à la vision du monde de Lear : tel est le mécanisme de la tempête qui se déchaîne autant dans l’esprit du personnage que sur la lande. A travers trois exemples précis (les mises en scène de P. Adrien en 2000 et de J-F. Sivadier en 2007 et l’adaptation cinématographique de P. Brook en 1970) nous examinerons les modes par lesquels la folie du roi est représentée au théâtre et leurs multiples implications.
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Offese e altre forme di discriminazione all'italiana - note a margine di alcuni film par Paola Polselli, publié le 21/11/2009
Dans cet article, l'auteure analyse la présence des insultes de type ethniques et les épisodes mettant en scène une discrimination basée sur l'altérité dans le cinéma italien.
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De Sholem Aleichem à Charlie Chaplin, de Menahem Mendl au personnage de Charlot… par Morgane Jourdren, publié le 19/11/2009
Quel rapport peut-il bien y avoir entre Chaplin, père de Charlot et Sholem Aleikhem, écrivain yiddish mort au début du vingtième siècle ? A priori aucun, si ce n’est que ce dernier appréciait tout particulièrement les films du cinéaste. Pourtant, une lecture plus approfondie des pages écrites par Sholem Aleikhem où ces infatigables voyageurs que sont Menahem Mendl et Motl partent à la découverte de l’Amérique, nous permet de mieux comprendre ce que pouvait éprouver l’écrivain devant le spectacle du petit homme chaplinien aux prises avec un Nouveau-Monde qui lui est étranger.
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Présentation des longs-métrages de Claudia Llosa par Clémence Oriol, publié le 20/06/2009
Claudia Llosa a remporté en février 2009 l'Ours d'or du meilleur film du Festival de Berlin, pour son dernier long-métrage La teta asustada. Il s'agit du deuxième film de la réalisatrice péruvienne, il est sorti dans les salles françaises le 17 juin 2009, sous le titre : Fausta. Nous proposons une présentation de la jeune réalisatrice péruvienne, et une analyse des deux films qu'elle a réalisés.
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Comehoras par Margarita Saona, publié le 20/06/2009
Texte d'une nouvelle de Margarita Saona.
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Un lugar llamado Oreja de Perro par Clémence Oriol, publié le 19/06/2009
Pour son quatrième roman, Iván Thays nous fait partager l'histoire à la première personne d'un journaliste tourmenté. Sa femme, Mónica, l'a abandonné, et le souvenir de leur petit garçon, mort subitement quelques mois plus tôt, le poursuit. Il reçoit une lettre de Mónica. Le jour même, il est envoyé en reportage dans un village nommé Oreja de Perro, dans la province d'Ayacucho. Dans cette région durement frappée depuis vingt ans par le terrorisme et l'intervention des militaires, on attend la visite du président Toledo, qui lance un programme de pacification et d'assistance aux victimes. Le narrateur couvre l'événement, accompagné d'un photographe cynique appelé Scamarone. C'est alors qu'il fait la rencontre d'une femme enceinte extralucide, Jazmín.
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Entrevista a Margarita Saona par Clémence Oriol, publié le 19/06/2009
Transcription de l'entretien avec Margarita Saona, par Clémence Oriol.
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Margarita Saona par Clémence Oriol, publié le 19/06/2009
Margarita Saona nació en 1965 en Lima, donde se licenció en Lingüística y literatura hispánicas en la Pontificia Universidad Católica del Perú. Cursó un doctorado en Literatura Latinoamericana en Columbia University. En Estados Unidos empieza su actividad de escritora, más específicamente de cuentista. Su cuento Ángeles caídos obtuvo una Mención Honrosa en el Concurso de las 2000 palabras de la Revista Caretas en el año 2000.
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Littérature et cinéma péruviens contemporains par Clémence Oriol, publié le 19/06/2009
Les dernières années ont été fructueuses pour la littérature et le cinéma péruviens, de plus en plus primés et reconnus au niveau international. Plusieurs exemples : en 2005, Alonso Cueto remporte le prix Herralde pour son roman La hora azul ; en 2006 c'est Abril Rojo de Santiago Roncagliolo qui sort vainqueur du prix Alfaguara. Jaime Bayly est finaliste du prix Planeta 2005 et Iván Thays du prix Herralde 2008. Le dernier film de la jeune cinéaste Claudia Llosa a été récompensé par l'Ours d'or au festival de Berlin, en février dernier.
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Incontro con Paolo Sorrentino par Maurizia Morini, publié le 07/10/2008
Il regista Paolo Sorrentino, in occasione dell'uscita in Francia del suo film "Il Divo", incontra la stampa, a Lione il 26 settembre 2008.
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Entretien avec Davide Ferrario par Davide Ferrario, Maurizia Morini, publié le 29/04/2008
"L'idea è venuta inizialmente a Belpoliti pensando al viaggio di PrimoLevi dopo la liberazione da Auschwitz verso Torino; poi vedendo altri film è venuta l'idea del film..."
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Ré-adaptation et création dans le mythe de Frankenstein par Laurent Mellet, publié le 10/01/2008
Un article en cours de publication aux Presses Universitaires de Rennes, dans les Actes du colloque "De la page blanche aux salles obscures : l'adaptation cinématographique dans le monde anglophone", sous le titre "Ré-adaptation et création dans le mythe de Frankenstein (Mary Shelley, James Whale, Kenneth Branagh)".
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Film im geteilten Deutschland par Markus Arnold , publié le 15/12/2007
Frischer Wind im Westen: «Junger Deutscher Film» und «Neuer Deutscher Film» (1962-1982)
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Zeitgenössisches wiedervereinigtes Kino par Markus Arnold , publié le 15/12/2007
Der wiedervereinte deutsche Film am Anfang der 90er Jahre knüpft anfangs an den qualitativen Rückgang der 80er Jahre an und der erhoffte filmische Elan in Verbindung mit einer Neubündelung von West und Ost bleibt zuerst einmal aus. Bernard Eisenschitz analysiert zutreffend, dass interessanterweise, ähnlich wie nach 1945 erstmals eine Außensicht der Wiedervereinigung bevorzugt wird. Somit treffen wir auf Filme wie November Days (1990) von Marcel Ophüls, der im Alter von fünf Jahren emigrierte oder Jean-Luc Godards Allemagne neuf-zéro (1991). Mit Ausnahme von großen innerdeutschen Erfolgen wie Romuald Karmakars Der Totmacher mit Götz George verschwinden deutsche Produktionen langsam aber sicher von den Filmfestivals. Es scheint, dass bis Mitte der 90er Jahre nur mehr Derricks jahrzehntelanger Triumph auf der ganzen Welt das Deutschlandbild formt.
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Film während Diktatur und Krieg par Markus Arnold , publié le 08/10/2007
1. Propaganda und Krieg: Cineasten im Exil (1933-1945) / 2. Film und Exil : Schwierigkeiten der Filmproduktion im Exil / 3. Magere Nachkriegsjahre / 4. Kino in der sowjetischen Besatzungszone
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Ein geschichtlicher Überblick : Gründerjahre und goldene Zwanziger par Markus Arnold , publié le 08/10/2007
Betrachtet man die deutsche Film- und Kinogeschichte und die Geschichte des Jahrhunderts, so lassen sich zahlreiche Konvergenzen feststellen. Im Film scheinen die Brüche politischer, ideologischer, sozialer, etc. Natur deutlich sichtbar zu werden. So fallen in erster Linie etwa die Weimarer Republik und die Wilden 20er Jahre ein mit ihrer soziopolitischen Unsicherheit und Instabilität und einer Art moralischer Dekadenz...
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Le nouveau cinéma italien, lieu de la mémoire ou de l'oubli ? par Dora D'Errico, publié le 20/05/2007
Le cinéma entretient un rapport particulier et privilégié avec la mémoire, il a la capacité de forger des images perçues par le spectateur comme des images qui lui appartiennent, celles d'événements qu'il n'a jamais vécus en propre mais qu'il fait siennes. Que se passe-t-il cependant quand ces images devenues des « souvenirs empruntés », si aisées à lui communiquer, sont celles d'événements de l'histoire, et d'une histoire difficile et violente ? L'appropriation du passé à travers ces nouveaux lieux de mémoire portatifs n'empêche-t-elle pas le travail du temps de se faire ?
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Buongiorno notte, le film d'une mécanique et d'un imaginaire par Dora D'Errico, publié le 20/05/2007
Sur les lieux du crime, les jeunes brigadistes de Buongiorno notte s'agitent comme des animaux machines, ils exécutent un scénario inéluctable dont toute logique politique leur échappe. On assiste au déroulement d'un drame assez commun, semblable à tous ceux rejoués dans ce nouveau cinéma dit politique jusqu'à ce que, du cliquetis de cette mécanique infaillible, surgissent des envolées d'un imaginaire imprévisible. S'ouvre alors la possibilité d'un « récit pas comme les autres ».
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La construction du terroriste au cinéma, une lecture de La Meglio Gioventù par Dora D'Errico, publié le 19/05/2007
De nombreux cinéastes choisissent aujourd'hui, après une période de silence relatif, de rouvrir la page des années 1970. Une observation a guidé notre analyse de ce renouveau cinématographique, le glissement net qui, en vingt ans, s'est opéré dans le portrait du terroriste : d'une figure invisible, mêlée au corps social, telle qu'on la voit dans les films des années 80, elle est désormais hyperindividualisée, et auscultée avec les outils du psychologue et du criminologue. Une évolution qu'il nous faut interroger.
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Comment s'est écrite et continue de s'écrire l'histoire des "Années de Plomb" par Dora D'Errico, publié le 19/05/2007
Un historien ou un observateur qui voudrait faire un état des lieux historiographiques et examinerait la production scientifique existante sur la période de la contestation en Italie, est frappé de voir se dessiner devant lui une « historiographie à trous », dont il s'aperçoit en enquêtant plus avant que les auteurs sont pour la plupart des non historiens. État des lieux en trois épisodes.
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L'actualité culturelle 2014-2015 par ENS Lyon La Clé des Langues, publié le 27/11/2006
Sélection d'évènements culturels (théâtre, cinéma, expositions...) autour d'artistes ou d'oeuvres en allemand pour l'année 2014-2015.
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