Liste des résultats
Il y a 823 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
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Loin de la foule déchaînée (Far from the Madding Crowd)
par Clifford Armion,
publié le 21/05/2015
- Dans la campagne anglaise de l’époque victorienne, une jeune héritière, Bathsheba Everdeene doit diriger la ferme léguée par son oncle. Femme belle et libre, elle veut s’assumer seule et sans mari, ce qui n’est pas au goût de tous à commencer par ses ouvriers. Bathsheba ne se mariera qu’une fois amoureuse. Qu’à cela ne tienne, elle se fait courtiser par trois hommes, le berger Gabriel Oake, le riche voisin Mr Boldwood et le Sergent Troy. Parenthèse Cinéma nous permet de partager avec vous un très beau dossier pédagogique pour les enseignants qui souhaiteraient aborder cette adaptation du roman de Thomas Hardy avec leurs classes.
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Teaching Humanities
par Gayatri Spivak,
publié le 06/05/2015
- Fifty years of institutional teaching has brought me this lesson: try to learn to learn how to teach this group, for me the two ends of the spectrum: Columbia University in the City of New York and six elementary schools on the border between West Bengal and Jharkhand. Everything I say will be marked by this. I take my motto from Kafka: “Perhaps there is only one cardinal sin: Impatience. Because of impatience we were driven out of Paradise, because of impatience we cannot return.”
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Le corps dans les réécritures zombies de Pride and Prejudice
par Véronique Maillard, Virginie Thomas,
publié le 06/05/2015
- Nombreuses sont les réécritures fantastiques de textes canoniques datant du XIXe siècle. Ce phénomène à la mode se caractérise par l’introduction de créatures surnaturelles au sein d’œuvres réalistes. Pride and Prejudice de Jane Austen est l’une de ces œuvres prisées des auteurs contemporains se livrant à ce type de pratique littéraire. C’est ainsi que deux auteurs différents, Seth Grahame-Smith et Steve Hockensmith, se sont intéressés à cette œuvre. Seth Grahame-Smith a, le premier, « révisé » le texte de Jane Austen en une version zombie intitulée Pride and Prejudice and Zombies (2009), suite à quoi Steve Hockensmith a écrit un prequel et un sequel respectivement intitulés Pride and Prejudice and Zombies, Dawn of the Dreadful (2010) et Pride and Prejudice and Zombies, Dreadfully Ever After (2011)
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To Be or Not to Be / Jeux Dangereux (Ernst Lubitsch - 1942)
par Lionel Gerin,
publié le 26/03/2015
- Connaissez-vous Lubitsch? On lui doit quelques unes des meilleures comédies des années 1930-40. Connaissez-vous la Lubitsch's touch? Si vous répondez non, de grands plaisirs de cinéma vous attendent. Élégance et finesse. Commençons donc par un sommet, un chef d'oeuvre: To Be or Not to Be. Mais pour mieux en apprécier le sel, un peu d'histoire. Juif Berlinois, Lubitsch, amoureux fou de théâtre, rejoint le cinéma comme homme à tout faire, puis acteur. Dés 1913, il est l'égal de Max Linder, et le plus grand comique allemand...
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Variations et innovations phonétiques en anglais américain
par Olivier Glain,
publié le 16/03/2015
- Un article pour découvrir les spécificités du General American et ses variations régionales, ainsi que ses évolutions phonétiques récentes.
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Ireland’s political life during the Famine: Election, constitutionalism and revolution
par Anne-Catherine de Bouvier,
publié le 07/03/2015
- This article aims at exploring the available means of political response in Ireland to the issue of the Famine. What comes first to mind is the case of the representative function, democratic, or approximately so, by the standards of the day; i. e., parliamentary activity. Compiling the records of all individual Irish MPs in Parliament over the period is a tempting intellectual task but clearly beyond the scope of this paper; instead, I approach electoral activity during the period, since elections provide the opportunity of assessment of past contributions, and of confrontation. In the specific context of the Famine, theoretically at least, Irish MPs at Westminster were instrumental in bringing about a better knowledge of what was going on – and indeed some did so in quite a sustained, articulate, and often humane manner. Conversely, elections are moments in a country’s life when voters can take their representatives to account; and clearly, there was much to account for.
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Roosevelt’s Political Discourse: Grounded in a Liberal Protestant Worldview
par Andrew Ives,
publié le 05/03/2015
- This paper will argue that Franklin Delano Roosevelt’s political discourse was profoundly influenced by his liberal Protestant worldview. The paper begins with some background on Roosevelt’s Christian upbringing. It moves on to show how FDR consistently used Protestant precepts and Biblical allusions as a rhetorical tool to gain electoral support. However, the author argues that Roosevelt’s simple yet profound Christian faith went far beyond this purely rhetorical usage and that liberal Protestant teachings in fact structured his political philosophy.
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Seeing Between the Lines: Terence Davies’s The House of Mirth and the art of adaptation
par Wendy Everett,
publié le 02/03/2015
- Examining Terence Davies’s adaptation of Edith Wharton’s The House of Mirth, this article identifies ways in which the creative interpretation of the filmmaker may serve to open up new insights into both the original text and the language of cinema itself. It considers, in particular, aspects such as music, painting, and visual metaphor in its presentation of cinema as an essentially multilayered and complex medium which requires of the spectator an imaginative and creative engagement, just as the novel requires of the reader.
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Asenath Nicholson and the Great Famine
par Maureen Murphy,
publié le 02/03/2015
- Parts of this article were presented at the Agrégation/Research conference at the University of Caen, 23rd January, 2015. An earlier version appeared in Maryann Gialanella Valiulis and Mary O’Dowd (eds), Women and Irish history: essays in honour of Margaret MacCurtain (Dublin, 1997), pp. 109-124.
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The Man Who Shot Liberty Valance / L'Homme qui tua Liberty Valance (John Ford -1962)
par Lionel Gerin,
publié le 26/02/2015
- John Ford est l'un des plus grands, sans contestation possible. Citons Orson Welles, interviewé sur les cinéastes importants à ses yeux, qui répondait:"Les vieux maîtres, c'est à dire John Ford, John Ford et John Ford."
L'Homme qui tua Liberty Valance est l'avant-dernier western de John Ford est l'un de ses derniers films. Ford a contribué, et comment!, à forger la légende de l'ouest, il en est l'un des "inventeurs". Il est donc passionnant de voir son regard vieillissant sur le genre et les thèmes qu'il affectionne: la loi et son avènement, opposée au "wild west", la vieillesse, la fidélité, la vérité et la légende, la "naissance d'une nation", d'une communauté, la violence et son usage.
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The Myth of Concordia
par Nadia Urbinati,
publié le 23/02/2015
- The place of God in the constitution has been one of the most sensitive issues in the debate on the constitutional treaty of the European Union, and has influenced the process of ratification. In the five decades since the Treaty of Rome was signed in 1957, European leaders have tried to build a united Europe on a secular foundation of treaties and economic regulations. These no longer seem to be adequate to the task. Lately, efforts have been made to include another factor – religion...
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Qu'est-ce qu'un acte d'écriture ? Analyse d'un cas : les promesses de mémoire adressées aux morts du 11/9
par Béatrice Fraenkel,
publié le 29/01/2015
- Dans le cadre de la construction d'une anthropologie pragmatique de l'écriture, Béatrice Fraenkel, anthropologue et directrice d'étude à l'EHESS, interrogera cette notion, à partir d'une analyse de cas : celui des "promesses de mémoire" (ex. "we will never forget you") recueillies à New York après le 11/9. Il s'agira à la fois de proposer une analyse des énoncés comme actes de langage (Austin), comme acte d'écriture, en prenant appui sur leur matérialité (affichage, autographie, signature etc) et la situation dans laquelle ils sont produits, et de proposer une interprétation concernant la mémoire promise par ces actes d'écriture, en prenant appui sur les travaux d'Arendt, d'Halbwachs et de Ricoeur.
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Le christianisme comme « religion de la sortie de la religion » : modernité et sécularisation à l’époque victorienne
par Jean-Michel Yvard,
publié le 26/01/2015
- En 1985, l’intellectuel français Marcel Gauchet publiait un ouvrage intitulé Le Désenchantement du Monde. Renouant délibérément, par delà presque un siècle de négligence, avec des perspectives inaugurées par Max Weber en matière de sociologie des religions, l’auteur y décrivait le christianisme comme ayant constitué éminemment « la religion de la sortie de la religion », voyant en lui cette forme particulière de croyance dont la dynamique interne et les potentialités de développement avaient permis une « sortie » de plus en plus marquée du régime inaugural et fondateur de l’hétéronomie radicale. On s’efforcera de montrer que ce sont les perspectives développées initialement par Marcel Gauchet qui restent les plus prometteuses aujourd’hui, non seulement afin de comprendre les origines de l’Etat mais aussi afin d’envisager une redéfinition de la notion sécularisation dans la perspective de ce que l’on pourrait appeler une « dialectique de la préservation et du dépassement ».
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Philosophy, Religion and Toleration
par Sudipta Kaviraj,
publié le 22/01/2015
- Religious faith connects strongly held ethical ideals to the belief that these are the commands of God, or a power above human reason. This can make people of hard religious belief to be intensely intolerant. How can we easily accept those who violate or dismiss principles that we consider the foundational to the moral order of the universe? Thus it is quite possible that religious people might be pious inside their own religion, but hateful towards others. Though most religious faiths set down often similar principles of moral conduct, and encourage adherents to live by principles of fellowship, kindness, and love, these injunctions often get circumscribed by the larger idea of their religion being the only ‘true’ religion...
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Analysing front pages
par Clifford Armion,
publié le 20/01/2015
- A front page tells you a lot about the contents of a newspaper and its attitude towards the news. Even if the traditional format difference between broadsheet newspapers and the more compact tabloids is disappearing – most papers are now printed in the same size – you can still easily recognize serious newspapers from tabloids. Tabloids usually have a large red masthead, very bold typeface and eye-catching pictures. The more serious papers have more text on the front-page and a plainer layout. Contrary to tabloids, broadsheets have no puns or jokes in the headlines and use a more formal language. Here are the main features you will find in any front-page…
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End of Story
par Avital Ronell,
publié le 19/01/2015
- "For my part, I practice affirmative dissociation. Prompted mostly by a Nietzschean will to fiction and love of masks, I “fake it ‘til I make it,” assuming shrewd yet fragile identities, rotating signatures, reappropriating for myself syntactical maneuvers and rhetorical feints."
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Bill Douglas Trilogy / La trilogie Bill Douglas My Childhood - My Ain Folk - My Way Home (Bill Douglas 1972 -1973 -1978)
par Lionel Gerin,
publié le 15/01/2015
- Écosse. Un village minier près d'Édimbourg. 1945.
Un enfant, son frère, leur grand-mère maternelle. Un prisonnier allemand.Mort de la grand-mère. Orphelinat. Grand mère paternelle. Un oncle.
L'orphelinat encore. L'adolescence. La mine. Service militaire en Égypte. Rencontre de Robert. Ouverture.
Les dialogues? Presque aucun.
La musique? Aucune.
L'action? Survivre.
Le résultat? Au-delà des mots. Saisissement total.
Comment en effet parler d'une telle œuvre? C'est un coup à l'estomac, un vent du Nord, une nuit charbonneuse.
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Analysing press images
par Clifford Armion,
publié le 13/01/2015
- Newspapers and press websites NEED to illustrate their pages with a variety of images. Illustration, along with headlines, is what draws the attention of the reader/buyer/visitor. When looking at a press image, one has to wonder why that particular picture has been chosen and how it contributes to the news. Here are a few examples showing how those images function.
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Secularity in Indian History
par Sudipta Kaviraj,
publié le 12/01/2015
- A peculiar feature of the modern world is the asymmetry in the knowledge of the other between the West and the non-West. Nonwestern societies know a great deal more about Western history than Western societies know about theirs. Religious principles clearly possess a peculiar quality: because they are held with particular reverence by religious individuals who see them as principles created, or at least sanctioned by God rather than men. Their denial by others consequently can cause unusually intense offense. Not observing a principle of a particular religion is considered by strict adherents of that religion as sacrilege. This is why conflict of religious principles gives rise to conflict of particular intensity and severity: it can also give rise to spectacular cruelty, because the object of one’s attack are entirely dehumanized, and considered enemies not of man or king or nation but of God himself.
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Pluralism and Tolerance: Philosophers, Mystics and Religions
par Souleymane Bachir Diagne,
publié le 12/01/2015
- The belief in certain supernatural realities is an essential dimension of faith. And, by definition, they are that because we do not comprehend them in the same way as we comprehend objects and beings which we are capable of experiencing with our senses or those mathematic idealities that we understand. Faith therefore allows us to perceive the realities of God, His attributes, His angels and other entities and qualities of the same kind. It equally convinces us that, as human beings, we have the capacity for reaching these truths of a different kind than those of our senses or of our reason in the conventional sense within ourselves, and therefore posses an aptitude for the supernatural or the absolutely comprehensible.
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Outline for a Discussion on Toleration
par Karen Barkey,
publié le 09/01/2015
- "There are a few ways of thinking about toleration: I define toleration as more or less absence of persecution; the acceptance of a plurality of religions, but not necessarily their acceptance into society as full and welcomed members/communities. Toleration can mean the acceptance of “difference” and a lack of interest beyond the instrumentality to maintain a coherent polity."
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The Politics of Fear
par Corey Robin,
publié le 19/12/2014
- In my 2004 book Fear: The History of a Political Idea, I argued that “one day, the war on terrorism will come to an end. All wars do. And when it does, we will find ourselves still living in fear: not of terrorism or radical Islam, but of the domestic rulers that fear has left behind.” When I wrote “one day,” I was thinking decades, not years. I figured that the war on terror—less the invasions, wars, torture, drone attacks, and assassinations than the broader atmosphere of pervasive and militarized dread, what Hobbes called “a tract of time, wherein the will to contend by battle is sufficiently known” and an enemy is perceived as permanent and irrepressible—would continue at least into the 2010s, if not the '20s. Yet even before Osama bin Laden was killed and negotiations with the Taliban had begun, it was clear that the war on terror, understood in those terms, had come to an end.
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Heaven's Gate / La porte du paradis (Michael Cimino -1980)
par Lionel Gerin,
publié le 12/12/2014
- 1978. Deer Hunter / Voyage au bout de l'enfer. Bien qu'avare du mot, je l'ose ici: chef d'œuvre absolu. N'en déplaise aux détracteurs, à ceux qui y voient, à grand tort, un film (de plus) sur le Vietnam. Deer Hunter est un immense film, profondément américain. Faut-il être aveugle pour y lire un message impérialiste, malgré cette dernière scène poignante, si souvent incomprise. Chef d'oeuvre, donc. Presque trois ans plus tard, sort Heaven's Gate, le plus grand désastre financier du cinéma américain, mais qu'importe! Combien de tableaux Van Gogh a-t-il vendu? Combien d'exemplaires Rimbaud a-t-il écoulé?
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La photographie de Julie de Waroquier
par Julie de Waroquier,
publié le 05/12/2014
- Julie de Waroquier, normalienne en philosophie, a participé au parcours de formation écriture et photographie proposé par l’ENS de Lyon et l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles. A l’invitation du chargé des affaires culturelles de l'ENS, David Gauthier, elle a exposé dans la galerie "La Librairie" une sélection de photos issues de la série Rêvalités (du 15 octobre au 12 décembre 2014). Nous avons ici le plaisir de vous faire découvrir le travail de cette jeune photographe au travers de cinq photos sur les thèmes de l’eau, de la rencontre et de la tension entre rêve et réalité.
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Avital Ronell on authority
par Avital Ronell, Clifford Armion,
publié le 02/12/2014
- We have to understand what education implies. To educate means to pull out of the other. There’s a pulling, there’s a little violence. I’m sure that education does take place without authority, if we understand by that a certain, measurable, examinable, testable level of acquisition and performance. However if you want to truly inspire, to accelerate and quicken and enliven the pulse of the student body, then authority would probably be an important premise.
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The Night of the Hunter / La nuit du chasseur (Charles Laughton - 1955)
par Lionel Gerin,
publié le 28/11/2014
- Pour inaugurer cette rubrique, je ne pouvais choisir aucun autre film. C'est une œuvre qui m'est chère, unique, dans tous les sens du terme, un diamant noir dans la cinéphilie mondiale, une pierre noire dans la nuit de l'enfance. Charles Laughton, immense acteur (de Mutiny on the Bounty à Quasimodo, de Hobson's Choice à Spartacus, passant de la comédie au drame, du film noir au péplum) réalise là son seul film, qui est depuis une des références absolues des cinéphiles. Les films uniques ont toujours une saveur particulière (que l'on se souvienne de Honeymoon Killers de Leonard Kastle, ou d'Electra Glide in Blue de James William Guercio, par exemple) et cette Nuit du chasseur ne fait pas exception.
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The Great Mouse Plot (Roald Dahl)
par ENS Lyon La Clé des Langues,
publié le 25/11/2014
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In Boy: Tales of Childhood, Roald Dahl tells us about his youth, focusing on some of his most remarkable childhood memories. A lot of irony is introduced by the first person narrator who describes these scenes with the hindsight of age.
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Gulliver's Travels (Jonathan Swift)
par ENS Lyon La Clé des Langues,
publié le 21/11/2014
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Travel books were very fashionable in the eighteenth century. Real travelers sometimes included elements of fiction in their accounts of their wanderings to make them sound more exotic and interesting. In Gulliver's Travels, Jonathan Swift makes fun of this literary genre by introducing a fictitious traveler, Gulliver, who tells us about his encounters with strange creatures and countries. Gulliver's first person narrative is introduced by a fake publisher's note which is also written in the first person...
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L’Afrique du Sud sous les projecteurs du cinéma
par Annael Le Poullennec,
publié le 19/11/2014
- Vous trouverez sur cette page les textes et images réunis à l’occasion de l’Exposition Afrique du Sud, réalisée par la bibliothèque de l’Université d’Evry dans le cadre du colloque SCRIPT. Annael Le Poullennec évoque ici les grandes étapes et les grands films qui jalonnent l’histoire du cinéma sud-africain.
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L’espace post-apartheid dans les longs métrages de fiction sud-africains, une étude panoramique
par Annael Le Poullennec,
publié le 19/11/2014
- Annael Le Poullennec propose une étude de l'espace sud-africain post-apartheid par l’intermédiaire des films. Après quelques rappels sur l’histoire de la ségrégation en Afrique du Sud et une brève introduction au cinéma sud-africain, elle évoque la problématique de l’espace, à l’échelle nationale et urbaine, dans la réinvention de la nation sud-africaine après la fin de l’Apartheid. Elle s’arrête notamment sur les dichotomies ville/campagne, township/suburb, cloisonnement/ouverture, en insistant sur l’image du déplacement, de l’évolution. Par l’analyse de films tels que Hijack Stories (Oliver Schmitz, 2001), The Wooden Camera (Ntshaveni WaLuruli, 2003), Tsotsi (Gavin Hood, 2005) et White Wedding (Jann Turner, 2009), elle pose les bases de ce qui constitue l’espace post-apartheid cinématographique dans le cinéma de fiction.
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Mémoires sud-africaines ; une courte histoire de l'Afrique du Sud
par Grégory Gauthier,
publié le 18/11/2014
- Vous trouverez sur cette page les textes et images réunis à l’occasion de l’Exposition Afrique du Sud, réalisée par la bibliothèque de l’Université d’Evry dans le cadre du colloque SCRIPT. Grégory Gauthier évoque ici les grandes dates et les grandes figures de l’Afrique du Sud, dressant une chronologie synthétique et illustrée de la Nation arc-en-ciel.
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Writing on the self
par ENS Lyon La Clé des Langues,
publié le 14/11/2014
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Critics and academics tend to draw a line between autobiography and fiction. However, it is sometimes difficult to make such a clear distinction between what is made up and what is not. Here are some short texts written by authors who reflect on their use of the first person.
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Self-portraits
par ENS Lyon La Clé des Langues,
publié le 13/11/2014
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A self-portrait is a drawn, engraved, painted, photographed or sculpted representation of an artist by himself. Self-portraits have been a common art form since the Renaissance, a period when artists had a prominent part in society and when a distinct interest in the individual as a subject arose.
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The educational system in the United States: an overview
par Daniel Wright,
publié le 10/11/2014
- In general, we have what is called a federal system, where there is a lot of power that States have, and then cities within states and even smaller municipalities within cities can make their own rules. And education is a good example of where it can really depend on where you are. The requirements can be very different from place to place and the type of schools that are offered can vary very much from state to state...
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First person narratives
par ENS Lyon La Clé des Langues,
publié le 10/11/2014
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Ce dossier sur le thème des auteurs écrivant à la première personne regroupe trois ressources accompagnées d'exercices de compréhension et de production orales et écrites, ainsi que d'analyse d'image.
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Jeux vidéo et cinéma à rebours du mouvement transhumaniste : le cas de District 9
par Julien Buseyne,
publié le 07/11/2014
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District 9 de Neil Blomkamp (2009) projette la structure de l’Apartheid dans un univers de science-fiction où les extraterrestres dont le vaisseau s’est échoué au dessus de Johannesburg sont victimes d’une forme de ségrégation. En marge de son thème principal, c’est à dire la projection de la mécanique d’oppression entre humains sur le canevas de la science-fiction, District 9 illustre aussi un procédé technique qui constitue le ressort principal du jeu vidéo : la projection des sens et du corps dans un système technique. Cinéma, télévision et jeux vidéo partageant les mêmes schèmes de la pratique audiovisuelle, les convergences entre ces domaines ne sont pas rares. Par la mise en scène de la technologie extra-terrestre, Disctrict 9 expose une grammaire de la captation de l’être sensible dans un système technique qui étend ses sens et ses potentialités, trait qu’il partage avec le jeu vidéo. Il s’agit là d’un acte politique qui s’oppose à la pensée transhumaniste, et affiche une convergence frappante avec les systèmes d’immersion dans les univers numériques actuellement à l’étude. Cette prise de position est cohérente avec le discours humaniste déroulé par cette œuvre, et s’inscrit dans la continuité de celles qui explorent la relation entre l’humain et la machine.
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La Princesse et la Grenouille, une vision de l'Afrique en Amérique
par Ethel Montagnani,
publié le 06/11/2014
- Spécialiste de Walt Disney et de la langue produite par Disney pour ses films d’animation, Ethel Montagnani nous parle de la vision de la communauté noire par Disney et particulièrement dans La Princesse et la Grenouille. Au fil des années, les studios Disney, fidèles à leur idéologie, et se présentant comme les heureux promoteurs des civilisations du monde, nous ont entraîné partout autour du globe. Ou plus exactement, partout, tout autour de leur vision du globe. On peut ainsi penser que la Chine, vue par les Studios, se résume à Mulan. L'Afrique a plus de chance puisqu'elle est représentée dans plusieurs films comme Le Roi Lion ou encore Tarzan. Toutefois, si ces deux films montrent des images saisissantes de la beauté des paysages africains, ils ne montrent rien de la complexité des rapports humains qui ont prévalu en Afrique du Sud pendant l'Apartheid. Pour s'en faire une idée, il faudra attendre la première princesse noire de l'histoire des Studios Disney, Tiana et son film La Princesse et la Grenouille, qui lui se déroule... en Louisiane, Mississippi, aux Etats-Unis.
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Fractions et infractions dans The Heart of Whiteness de Rehad Desai : les stigmates de l’apartheid
par Stéphane Sitayeb,
publié le 06/11/2014
- Stéphane Sitayeb propose une analyse de The Heart of Whiteness (2005), un road movie documentaire de Rehad Desai qui interroge l’identité des blancs en Afrique du Sud. L’Afrikaner est-il un étranger en Afrique ou un autochtone ? Desai étudie les stigmates de l’Apartheid sur la société sud-africaine contemporaine en observant les clivages qui opposent encore aujourd’hui les noirs et les blancs dont certains s’estiment victimes d’une ségrégation inversée, une vengeance de la population noire. Le réalisateur cultive une double stratégie de camouflage et d’exposition, ainsi que la technique du contrepoint : c’est uniquement dans la superposition entre discours et image, dans la lecture connexe du monologue en voix-off et de l’esthétique audio-visuelle que se révèle la corrélation entre fractions raciales et infractions juridiques.
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Présentation de Come Back Africa (Lionel Rogosin, 1959, US 82 minutes)
par Monique Peyriere,
publié le 05/11/2014
- Après avoir réalisé un film sur les sans-abris aux Etats-Unis, Lionel Rogosin part avec une équipe de tournage en Afrique du Sud en déclarant aux autorités locales qu’il veut produire un documentaire sur la musique. Filmé clandestinement par un réalisateur américain blanc dans Sophiatown, un township noir de Johannesburg, Come Back Africa nous montre la vie des communautés noires sous l’apartheid. Entres brimades et défiance, le film de Lionel Rogosin expose les relations blancs/noirs dans l’Afrique du Sud des années 50. Les militants y jouent leur propre rôle dans un scénario de fiction qui nous invite à découvrir le ghetto au travers du regard d’un nouvel arrivant, Zacharia. Les images ont pu sortir d'Afrique du Sud pour être montées aux Etats-Unis puis diffusées dans le monde entier ; c’est un film politique, le premier à dénoncer l’Apartheid.
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Bertrand Tavernier sur le cinéma américain
par Bertrand Tavernier, Clifford Armion,
publié le 20/10/2014
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Dans le cadre du Festival Lumière 2014, Bertrand Tavernier évoque certaines grandes étapes de l’histoire du cinéma américain depuis les années 20 jusqu’aux années 60. Ancien critique, celui que l’on connait surtout pour ses films (L'Horloger de Saint-Paul, Un Dimanche à la campagne, Dans la brume électrique…) est aussi l’auteur de plusieurs livres sur le cinéma, notamment Amis Américains, un important ouvrage d’entretiens avec les grands auteurs d’Hollywood (Institut Lumière/Actes Sud, 2008).
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Scotland’s No
par Alistair Cole,
publié le 29/09/2014
- Shortly before the Scottish referendum on independence, I visited the impressive city of Glasgow, Scotland’s largest city. Though the Scottish referendum eventually produced a No of over 55%, the once second largest city in the Empire was one of only four districts to vote Yes (just over 53%). I had correctly judged the atmosphere in this city, but elsewhere the story was rather different. In 28 of the remaining 32 districts, the No vote carried the day, including in SNP stronghold areas such as Angus and Perthshire...
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David Treuer: Forgotten World / Forgotten Words
par David Treuer,
publié le 18/09/2014
- We speak confidently and playfully about the “death of the author” but not one wants to seriously consider the death of literature. But this is precisely what we risk when we treat literature as ethnography, or worse, as the last living remnants of what seem to be vanishing cultures. We don’t read novels, at any rate, to educate ourselves. Or if we do we shouldn’t. And if we do commit this soul error we don’t enjoy novels because of the information they contain. Rather, we enjoy them, we clutch novels to our very souls because they move us, surprise us, transport us, entertain us, shock us, and (ultimately) trick us into caring about people and places that don’t exist and never existed.
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L’autobiographie et les nouveaux outils de communication
par Philippe Lejeune,
publié le 18/09/2014
- Conférence prononcée à la Journée de rencontre régionale Rhône-Alpes de la XVIIe Semaine de la langue française et de la francophonie, Lyon, 6 octobre 2012. Ce texte publié sur Autopacte est reproduit ici avec l'aimable autorisation de Philippe Lejeune.
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L'exposition Tagore à Evry
par Azarie Aroulandom,
publié le 16/09/2014
- Azarie Aroulandom est consultant international auprès d’institutions publiques et d’entreprises privées françaises et étrangères : Ministères des Affaires étrangères et de la Coopération, Chambre de Commerce, Organisations internationales (UNESCO, BIRD, FAO, BIT, CNUCED, ONG….). Il enseigne le Management-et la négociation interculturelle, le Transfert de Technologie, la culture et civilisation indienne et africaine à l’Université d’Evry.
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Charulata (la femme solitaire) : Tagore / Ray
par Giovanni Robbiano,
publié le 16/09/2014
- Charulata (1964) est également connu sous son titre anglais : The Lonely Wife (La femme solitaire). Ce film est une adaptation du roman Nastanirh (Le nid brisé) de Rabindranath Tagore, publié en 1901. Les acteurs principaux sont Madhabi Mukherjee, Sailen Mukjerjee et Soumitra Chatterjee dans les rôles principaux de Chârulatâ, son mari Bhupati et son cousin Amal. Comme la plupart des films de Ray, ce film est en noir et blanc et dure 117 minutes. Il en a également composé la musique. Il a été produit par R. D. Banshai, et le directeur de la photo était Subrata Mitra. Celui-ci a fait la photo de la plupart des films de Ray et en particulier de ses premiers chefs-d'œuvre : la Trilogie d'Apu : Pather Panchali (La complainte du sentier, 1955), Apu Sansar (Le monde d’Apu, 1959) et Aparajito (L’Invaincu, 1956).
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Qui est Tagore ?
par Azarie Aroulandom,
publié le 16/09/2014
- Au vingtième siècle, la culture fut dominée par un immense génie Rabindranath Tagore, l’un des plus grands philosophes et poètes de l’histoire du monde. On a dit de Rabindranath Tagore (7 mai 1861-7 août 1941) qu’il fut le Léonard de Vinci de la Renaissance bengali. Tagore naît le 7 mai 1861 au Bengale, à Calcutta, la plus importante ville de l’Inde à cette époque. Il est le quatorzième enfant d’une famille aisée, il grandit dans l’ombre d’un père savant et réformateur religieux. Dans une vision prophétique, son père lui donna le prénom « Robindra » qui signifie le soleil « car plus tard comme lui, il ira par le monde et le monde sera éclairé ».
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Satyajit Ray, ambassadeur de Tagore
par Brigitte Gauthier,
publié le 15/09/2014
- Il y a quelque chose de délicat, subtil, dans l’œuvre du cinéaste Satyajit Ray. Il nous prend par la main et nous invite à pénétrer une culture autre en douceur. On est immédiatement happé par son univers même si la langue et la culture sont distantes. Comment parvient-il à se faire l’ambassadeur de l’Inde en pleine mutation ? On suit ses films de l’intérieur. On est invité à placer notre regard au centre du film et non à l’extérieur, sans pour autant à aucun moment nous identifier aux personnages qui sont totalement autres. On se glisse derrière la caméra, et la lenteur des plans nous permet de nous imprégner de la vie qui se déroule. Les villageois passent le long d’un chemin, les personnages entrent et sortent des plans. Partout, qu’il tourne des scènes d’intérieur ou d’extérieur, le flux de la vie anime l’image...
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Nikolai Grozni: The Whispers of Music Lost
par Nikolai Grozni,
publié le 10/09/2014
- “Only the words break the silence, all other sounds have ceased,” writes Beckett in his Texts for Nothing. Or does he sing it? If words were the only sounds, then a sentence would be the only melody. We might never understand which came first—the words or the melody. Perhaps the first humans knew how to sing long before they knew how to talk. In this Dionysian vision of antiquity, all mortals were originally musicians. Music was the only thing that mattered. People understood each other by inventing mimetic melodies and singing together in tune. They appeared, loved, suffered, worshipped the gods and died like opera singers on stage.
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Kirsty Gunn: Sound and Writing
par Kirsty Gunn,
publié le 08/09/2014
- That sound you hear, as though coming off the lonely Scottish hills, through the fine Highland air, passing across straths and glens, along rivers and to the sea... Is the sound of the piobaireachd, the classical music of the great Highland bagpipe, a music made for Gatherings, Salutes and Laments, a grand and grave and complicated music - Ceol Mor it is in Gaelic - The Big Music. The Big Music, too, is the title of my latest work of fiction - not a novel, but an elegy, as Virginia Woolf described all her work - a story that sounds as much as it says... An experience of words, of a story of people and a landscape, of a love story played across generations, that nevertheless sounds in the mind...
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American Indians - A conversation with David Treuer
par David Treuer, Clifford Armion,
publié le 08/09/2014
- David Treuer took part in the eighth edition of the Assises Internationales du Roman, organised by the Villa Gillet and Le Monde. He answered our questions on his involvement in the protection of Indian culture.
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Lorna Goodison: a short story
par Lorna Goodison,
publié le 05/09/2014
- Dans le cadre de notre partenariat avec la Villa Gillet, nous avons le plaisir de publier cette délicieuse historiette de Lorna Goodison sur les rapports conjugaux…
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Rachel Cusk: Love narratives
par Rachel Cusk,
publié le 28/08/2014
- If it’s true that we use narrative as a frame to make sense of the randomness of our human experience, then the story of romantic love might be seen as reflecting our profoundest anxieties about who and what we are, about what happens to us and why. The love narrative is ostensibly a story of progress, yet its true goal is to achieve an ending, a place of finality where nothing further needs to happen and the tension between fantasy and reality can cease. At the wedding of man and woman a veil is drawn, an ending arrived at: the reader closes the book, for marriage as it is lived represents the re-assertion of reality over narrative. Having committed this public act of participation and belief in the notion of life as a story, man and woman are left to order and confer meaning on their private experiences as best they can...
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Living, Thinking, Looking - A conversation with Siri Hustvedt
par Siri Hustvedt, Clifford Armion,
publié le 26/08/2014
- Siri Hustvedt took part in the eighth edition of the Assises Internationales du Roman, organised by the Villa Gillet and Le Monde. She answered our questions on her collection of essays, Living, Thinking, Looking.
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The Salvation (Kristian Levring)
par Clifford Armion,
publié le 25/08/2014
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Nous sommes dans les années 1870, quelque part dans le Far West américain. Jon (Mads Mikkelsen), un pionnier danois, vient de retrouver sa famille fraîchement immigrée après plusieurs années de séparation. Mais le fermier, qui se trouve être un ancien soldat, est brutalement tiré de sa vie laborieuse et tranquille par le frère d’un violent chef de gang…
Avec Mads Mikkelsen, Eva Green, Jeffrey Dean Morgan, Mikael Persbrandt et les participations d'Eric Cantona et Jonathan Pryce.
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Nonsense (Alfred Brendel)
par Alfred Brendel,
publié le 03/07/2014
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Chaque année les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "nonsense", défini par le musicien et écrivain autrichien Alfred Brendel.
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Ambiguity (Siri Hustvedt)
par Siri Hustvedt,
publié le 03/07/2014
- Chaque année les invités anglophones des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix. Les traductions françaises de ces textes ainsi que les mots-clés des auteurs de langue française des sept premières saisons des AIRs sont éditées par Christian Bourgois dans un volume intitulé le Lexique Nomade.
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"a" (Stewart O’Nan)
par Stewart O’Nan,
publié le 03/07/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "a", défini par l'auteur américain Stewart O’Nan.
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Notebooks (Toby Litt)
par Toby Litt,
publié le 03/07/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "notebooks", défini par l'auteur anglais Toby Litt.
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Superstition (John Burnside)
par John Burnside,
publié le 03/07/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "superstition", défini par l'écrivain écossais John Burnside.
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Rythm (Kirsty Gunn)
par Kirsty Gunn,
publié le 01/07/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "rythm", défini par l'auteure néo-zélandaise Kirsty Gunn.
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Sofi Oksanen: They fooled you - Greetings from the countries bordering Russia
par Sofi Oksanen,
publié le 01/07/2014
- When I was a kid, my Estonian family never watched TV. Not because they disliked TV-shows, but because Soviet-TV was pure zombie-propaganda. Finland was my other homeland and when we got back to Finland, after visiting my Estonian family, switching on the television was one of the first things we did. It was like opening a window. I can still smell that moment, when my lungs were filled with free air, though I wouldn't have used that word at the time – free.
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Circle (Nikolai Grozni)
par Nikolai Grozni,
publié le 01/07/2014
- Chaque année les invités anglophones des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix. Les traductions françaises de ces textes ainsi que les mots-clés des auteurs de langue française des sept premières saisons des AIRs sont éditées par Christian Bourgois dans un volume intitulé le Lexique Nomade.
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The Yellow Birds - A conversation with Kevin Powers
par Kevin Powers, Clifford Armion,
publié le 30/06/2014
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Kevin Powers took part in the eighth edition of the Assises Internationales du Roman, organised by the Villa Gillet and Le Monde. He answered our questions on his first novel, The Yellow Birds.
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The Last Hundred Days - A conversation with Patrick MacGuinness
par Patrick MacGuinness, Clifford Armion,
publié le 24/06/2014
- Patrick MacGuinness took part in the eighth edition of the Assises Internationales du Roman, organised by the Villa Gillet and Le Monde. He answered our questions on his first novel, The Last Hundred Days.
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Adumbrated (Rick Moody)
par Rick Moody,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "adumbrated", défini par l'écrivain américain Rick Moody.
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Laughter (Tariq Ali)
par Tariq Ali,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "laugter", défini par l'auteur britannique d'origine pakistanaise Tariq Ali.
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Balagan (Etgar Keret)
par Etgar Keret,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "balagan", défini par l'auteur israélien Etgar Keret.
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Hedonism (Adam Thirlwell)
par Adam Thirlwell,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "hedonism", défini par l'auteur anglais Adam Thirlwell.
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Creature (Alissa York)
par Alissa York,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "creature", défini par l'auteure canadienne Alissa York.
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Cunnilingus (Rikki Ducornet)
par Rikki Ducornet,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "cunnilingus", défini par l'auteure américaine Rikki Ducornet.
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Mariquita (James Cañón)
par James Cañón,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "mariquita", défini par l'auteur colombien James Cañón.
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Evolution (Karen Connelly)
par Karen Connelly,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "evolution", défini par l'auteure canadienne Karen Connelly.
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Unfurling (Kirsty Gunn)
par Kirsty Gunn,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "unfurling", défini par l'auteure néo-zélandaise Kirsty Gunn.
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Zorby (James Flint)
par James Flint,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "zorby", défini par l'auteur anglais James Flint.
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Novel/Life (James Meek)
par James Meek,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici des mots "novel/life", définis par l'auteur anglais James Meek.
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Yusuf (Suhayl Saadi)
par Suhayl Saadi,
publié le 13/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "Yusuf", défini par l'auteur écossais Suhayl Saadi.
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Redemption Song (Lorna Goodison)
par Lorna Goodison,
publié le 02/06/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici de "redemption song", défini par l'écrivaine jamaïquaine Lorna Goodison.
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Rebellion (Rachel Cusk)
par Rachel Cusk,
publié le 30/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "rebellion", défini par l'écrivaine anglaise Rachel Cusk.
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Variable (Kevin Powers)
par Kevin Powers,
publié le 26/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "variable", défini par l'auteur américain Kevin Powers.
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La Pensee Sauvage (David Treuer)
par David Treuer,
publié le 21/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici de "la pensée sauvage", définie par l'auteur américain David Treuer.
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Dislocation (Rabih Alameddine)
par Rabih Alameddine,
publié le 16/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "dislocation", défini par l'écrivain libano-américain Rabih Alameddine.
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Anxiety (Sarah Treem)
par Sarah Treem,
publié le 16/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "anxiety", défini par l'auteure américaine Sarah Treem.
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Hidden (Richard Russo)
par Richard Russo,
publié le 16/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "hidden", défini par l'auteur américain Richard Russo.
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Parallax (Richard Powers)
par Richard Powers,
publié le 16/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "parallax", défini par l'auteur américain Richard Powers.
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Slash (Percival Everett)
par Percival Everett,
publié le 16/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "slash", défini par l'écrivain américain Percival Everett.
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Co-auteur (Eric Overmyer)
par Eric Overmyer,
publié le 16/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "co-auteur", défini par l'auteur américain Eric Overmyer.
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Commemorate (Sefi Atta)
par Sefi Atta,
publié le 16/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "commemorate", défini par l'auteure nigériane Sefi Atta.
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Island (Ivan Vladislavić)
par Ivan Vladislavic,
publié le 16/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "island", défini par l'auteur sud-africain Ivan Vladislavic.
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Move (James Frey)
par James Frey,
publié le 16/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "move", défini par l'auteur américain James Frey.
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Riddle (Laura Kasischke)
par Laura Kasischke,
publié le 16/05/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "riddle", défini par l'auteure américaine Laura Kasischke.
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Swim Little Fish Swim (Lola Bessis et Ruben Amar)
par Clifford Armion,
publié le 13/05/2014
- Après Frances Ha (Noah Baumbach, 2013), voici une nouvelle comédie New Yorkaise rafraîchissante. Production franco-américaine de Ruben Amar et Lola Bessis, Swim Little Fish Swim nous plonge dans l’univers de la colocation assumée. Une jeune artiste française, Lilas, squatte le canapé d’un couple que tout semble séparer. Leeward, musicien qui n’a jamais enregistré un disque, croit en l’idéologie contestataire des années 60 et refuse de compromettre son ‘intégrité artistique’ pour gagner de l’argent. Mary, infirmière fatiguée, rêve d’une petite maison de banlieue avec des meubles IKEA et un arbre devant...
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Blessure du corps et blessure du langage chez Shakespeare
par Clifford Armion,
publié le 25/04/2014
- Cet article se propose d’étudier les rapports dialectiques qui unissent la violence représentée à la parole dans le théâtre de Shakespeare. Nous verrons que le langage immédiat de la blessure physique peut prendre le pas sur le texte prononcé par les acteurs. La crainte de la mort et de la dissolution du corps, exprimée par la blessure, est associée dans le texte shakespearien à l’économie et à l’extinction du langage. Le silence, corrélat de la mort, peut ainsi être lu comme une griffure à la surface du texte théâtral. Il apparaîtra que la violence physique entre en écho avec les silences, les incohérences du langage, mais aussi les ruptures de genre, constituant une forme de blessure du langage.
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Presentism (Craig Bourne)
par Craig Bourne,
publié le 15/04/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "presentism", défini par l'auteur anglais Craig Bourne.
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Wave (Kate O’Riordan)
par Kate O'Riordan,
publié le 15/04/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "wave", défini par l'auteure irlandaise Kate O'Riordan.
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Ghosts (Keith Scribner)
par Keith Scribner,
publié le 15/04/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "ghosts", défini par l'auteur américain Keith Scribner.
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Home (Hugo Hamilton)
par Hugo Hamilton,
publié le 15/04/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "home", défini par l'auteur irlandais Hugo Hamilton.
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Absence (Goldie Goldbloom)
par Goldie Goldbloom,
publié le 15/04/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "absence", défini par l'auteure australienne Goldie Goldbloom.
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Word (Nick Flynn)
par Nick Flynn,
publié le 08/04/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "word", défini par l'auteur américain Nick Flynn.
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Book (R.J. Ellory)
par R.J. Ellory,
publié le 08/04/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "book", défini par l'auteur anglais R.J. Ellory.
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Why? (Kate Colquhoun)
par Kate Colquhoun,
publié le 08/04/2014
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Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "why", défini par l'auteure anglaise Kate Colquhoun.