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Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 421 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Felipe Hernández - entrevista (AIR 2014) par Felipe Hernández, Paola Rho Mas, publié le 03/06/2014
Cette page présente la vidéo de l'entretien avec l'auteur espagnol Felipe Hernández, dans le cadre des Assises Internationales du Roman 2014, ainsi qu'une transcription de cet entretien.
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Martín Caparrós - entrevista (AIR 2014) par Martín Caparrós, Paola Rho Mas, publié le 03/06/2014
Cette page présente la vidéo de l'entretien avec l'auteur argentin Martín Caparrós, dans le cadre des Assises Internationales du Roman 2014, ainsi qu'une transcription de cet entretien.
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Redemption Song (Lorna Goodison) par Lorna Goodison, publié le 02/06/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici de "redemption song", défini par l'écrivaine jamaïquaine Lorna Goodison.
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Rebellion (Rachel Cusk) par Rachel Cusk, publié le 30/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "rebellion", défini par l'écrivaine anglaise Rachel Cusk.
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La Pensee Sauvage (David Treuer) par David Treuer, publié le 21/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici de "la pensée sauvage", définie par l'auteur américain David Treuer.
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Parallax (Richard Powers) par Richard Powers, publié le 16/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "parallax", défini par l'auteur américain Richard Powers.
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Slash (Percival Everett) par Percival Everett, publié le 16/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "slash", défini par l'écrivain américain Percival Everett.
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Dislocation (Rabih Alameddine) par Rabih Alameddine, publié le 16/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "dislocation", défini par l'écrivain libano-américain Rabih Alameddine.
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Riddle (Laura Kasischke) par Laura Kasischke, publié le 16/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "riddle", défini par l'auteure américaine Laura Kasischke.
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Commemorate (Sefi Atta) par Sefi Atta, publié le 16/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "commemorate", défini par l'auteure nigériane Sefi Atta.
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Hidden (Richard Russo) par Richard Russo, publié le 16/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "hidden", défini par l'auteur américain Richard Russo.
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Milena Agus, "Mentre dorme il pescecane" e "La contessa di ricotta" par Maurizia Morini, publié le 16/05/2014
In questi due romanzi Milena Agus ritorna, come di consueto, nella sua Sardegna per raccontare storie di famiglie. Racconti singolari di personaggi apparentemente ai margini della “normalità” che conducono la loro esistenza in un'atmosfera dentro e fuori la famiglia, un po' irreale, un po' nel mistero.
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Island (Ivan Vladislavić) par Ivan Vladislavic, publié le 16/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "island", défini par l'auteur sud-africain Ivan Vladislavic.
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Move (James Frey) par James Frey, publié le 16/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "move", défini par l'auteur américain James Frey.
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Co-auteur (Eric Overmyer) par Eric Overmyer, publié le 16/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "co-auteur", défini par l'auteur américain Eric Overmyer.
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Anxiety (Sarah Treem) par Sarah Treem, publié le 16/05/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "anxiety", défini par l'auteure américaine Sarah Treem.
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Ghosts (Keith Scribner) par Keith Scribner, publié le 15/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "ghosts", défini par l'auteur américain Keith Scribner.
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Wave (Kate O’Riordan) par Kate O'Riordan, publié le 15/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "wave", défini par l'auteure irlandaise Kate O'Riordan.
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Absence (Goldie Goldbloom) par Goldie Goldbloom, publié le 15/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "absence", défini par l'auteure australienne Goldie Goldbloom.
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Presentism (Craig Bourne) par Craig Bourne, publié le 15/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "presentism", défini par l'auteur anglais Craig Bourne.
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Home (Hugo Hamilton) par Hugo Hamilton, publié le 15/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "home", défini par l'auteur irlandais Hugo Hamilton.
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Book (R.J. Ellory) par R.J. Ellory, publié le 08/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "book", défini par l'auteur anglais R.J. Ellory.
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Aura (Francisco Goldman) par Francisco Goldman, publié le 08/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "aura", défini par l'auteur américain Francisco Goldman.
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Word (Nick Flynn) par Nick Flynn, publié le 08/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "word", défini par l'auteur américain Nick Flynn.
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Why? (Kate Colquhoun) par Kate Colquhoun, publié le 08/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "why", défini par l'auteure anglaise Kate Colquhoun.
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Embrace (Nicholson Baker) par Nicholson Baker, publié le 08/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "embrace", défini par l'auteur américain Nicholson Baker.
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Empathy (William T. Vollman) par William T. Vollman, publié le 04/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "empathy", défini par l'auteur américain William T. Vollman.
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Unruhe (Helen Oyeyemi) par Helen Oyeyemi, publié le 04/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "Unruhe", défini par l'auteure anglaise Helen Oyeyemi.
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Judgement (Jonathan Dee) par Jonathan Dee, publié le 04/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "judgement", défini par l'auteur américain Jonathan Dee.
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Story (Zoyâ Pirzâd) par Zoya Pirzad, publié le 04/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "story", défini par l'auteure iranienne Zoyâ Pirzâd.
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Landscape (David Vann) par David Vann, publié le 04/04/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "landscape", défini par l'auteur américain David Vann.
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On verra (Douglas Kennedy) par Douglas Kennedy, publié le 25/03/2014
Chaque année, les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "on verra", défini par l'auteur américain Douglas Kennedy.
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Le Cercle des Douze, de Pablo de Santis par Christine Bini, publié le 24/03/2014
Présentation du roman « Le Cercle des Douze » de Pablo de Santis.
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Elena Ferrante, Storia di chi fugge e di chi resta par Maurizia Morini, publié le 20/03/2014
Il terzo volume che racconta la storia fra le due amiche Lina e Lenù, storia di chi resta e di chi fugge, si apre nell'anno 2010. Elena Greco (Lenù) vive a Torino, osserva lo scorrere del Po e ha incontrato l'ultima volta Lina a Napoli cinque anni prima. Ed Elena Ferrante riprende la vicenda delle due amiche da dove aveva terminato nel secondo volume e possiamo seguire parallelamente quanto accade loro in un susseguirsi continuo di ritrovarsi e lasciarsi. Siamo negli anni settanta e intrecciate alle vicende personali, in modo fluido e chiaro, vediamo scorrere gli avvenimenti storici che hanno caratterizzato l'Italia in quel periodo: le occupazioni studentesche all'Università, le lotte operaie nelle fabbriche, il manifestarsi del terrorismo, la nascita e lo sviluppo del femminismo.
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Una línea de polvo, de Santiago Rueda par Edna Cordoba, publié le 13/03/2014
Présentation du livre de l'écrivain colombien Santigao Rueda, Una línea de polvo. Ce livre est avant tout une réflexion sur les droits de l'homme et les liens entre la culture colombienne et la production et la consommation de drogue.
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Dialogue entre Eduardo Berti et Hakan Günday par Edna Córdoba, publié le 20/02/2014
Eduardo Berti, écrivain argentin résidant en France, était présent à la Fête du livre de Bron, le dimanche 18 février 2014. Dans le cadre d’un dialogue autour du réalisme magique, il a partagé la tribune avec Hakan Günday, écrivain turc dont l’œuvre peut s’inscrire dans la tradition de la littérature fantastique tout comme celle d’Eduardo Berti. La table ronde a eu pour objet la présentation des romans récemment traduits en français des deux écrivains : Le pays imaginé d’Eduardo Berti et Ziyan d’Hakan Günday. Dans ce compte-rendu, nous allons nous concentrer sur les aspects de la vie et de l’œuvre d’Eduardo Berti traités lors de cette table ronde, en ajoutant quelques informations sur les interventions d’Hakan Günday qui font écho aux idées et anecdotes exposées par l’écrivain argentin.
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"Adam und Evelyn" von Ingo Schulze par Louise Sampagnay, publié le 14/02/2014
Le roman d’Ingo Schulze porte dans son titre l’empreinte de l’héritage biblique. Les allusions au texte biblique traversent le texte ; le péché originel est commis par Adam, lorsque celui-ci trompe Evelyn. Adam et Evelyn sont confrontés à deux paradis possibles, de part et d’autre du Mur : celui de l’Est, règne du socialisme, et celui de l’Ouest, paradis de la société de consommation.
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What Is Translation For? par Keith Gessen, publié le 19/11/2013
What is the place of the writer in the literary field of the home country? What contribution can this writer make to the literary field of the target or host country? It's important to understand that the answers to these questions will often be different: a writer can be a marginal figure in his home country and become a vital figure in another country. More often, of course, the reverse is true.
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Poétiser le chaos-monde par Philippe Dessommes, publié le 11/11/2013
Préface du roman "Toute la terre" de l'écrivain uruguayo-mexicain Saúl Ibargoyen, paru aux éditions "À plus d’un titre" en 2013.
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David Vann: Secret and subtext par David Vann, publié le 07/10/2013
All of the conventions of literary fiction can be successfully broken except one: there must be subtext, a second story beneath the surface. We don’t have to care about a protagonist or even really have a protagonist. We’re not limited to any particular style or structure. But our entire idea of literature being “about” something is based on a second narrative, something else that the surface narrative can point to. What’s interesting to me about this is that we live in a time when surface narratives are taking over. Blogs are generally so worthless for this one reason, that they lack subtext. The online world is, above all, earnest, saying exactly what it means.
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"Das siebte Kreuz" von Anna Seghers als Bestandteil des literarischen Erbes der DDR par Aurélie Cachera, publié le 04/10/2013
Le roman d’Anna Seghers, Das siebte Kreuz, paru en 1942 pendant l’exil de l’auteur, raconte la fuite de sept prisonniers d’un camp de concentration. Des sept platanes qui doivent leur servir de croix une fois rattrapés, un seul restera vide. Le roman, dédié aux antifascistes, témoigne du combat d’Anna Seghers contre le national-socialisme et fait partie de l’héritage laissé par la littérature de RDA. Das siebte Kreuz wurde in der DDr zur Pflichtlektüre. Das Buch erzählt die Flucht von sieben Häftlingen aus dem Konzentrationslager Westhofen in der Provinz Rheinhessen im Herbst 1937. Von den sieben aufgestellten Baümen, an denen die Flüchtlinge aufgehängt werden sollten, bleib nur einer leer.
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Rebelling as a female in the 18th and 19th century literature. From Pamela to Jane Eyre: a path to equality? par Marion Lopez-Burette, publié le 23/09/2013
This article intends to study and compare the way Pamela, Richardson's early heroine of the novel genre, and Charlotte Brontë's romantic Jane, rebel. What follows will underscore the path trodden by female fictional characters in terms of shaping the individual, from the Enlightenment period to the romantic era. The patterns of entrapment and self-willed seclusion the protagonists are involved in function as incentives for rebellion. The ideals they rebel for play the role of living forces in a way that is meaningful to comprehend how the essence of rebellion evolved with time. No matter how much the protagonists' respective procedure may differ, from moral conservatism to personal answering of moral questions through rites of passage, the two female heroines are equally conscious of their value as human beings. Their handling of their hardships and their allegiance to God, however, points to the qualitative and quantitative evolution of the notion of equality.
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Kate O'Riordan: Visions of Ireland - A writer's view par Kate O'Riordan, publié le 17/09/2013
A Londoner by adoption, Kate O’Riordan grew up in the small city of Bantry on the west coast of Ireland. With Le Garçon dans la lune, published in 2008 and Pierres de mémoire, in 2009, O’Riordan signed two new remarkable opuses in which she questions family relationships. A novelist and short-story writer, Kate O’Riordan also writes for the cinema and continues to confirm her legitimate place among Irish authors who count. She came to the Villa Gillet to take part in a discussion on 'Ireland by Irish writers'.
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Assises du roman 2013 : "Comment faire parler ses personnages ?" par Sandro Veronesi, publié le 04/09/2013
Il testo seguente riprende l'intervento di scrittore Sandro Veronesi svoltosi il 2 giugno 2013 alle Assises Internationales du Roman 2013 e intitolato "Comment faire parler ses personnages ?"
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Hugo Hamilton on memory and fiction par Hugo Hamilton, publié le 24/06/2013
It’s a stormy night in Dublin. My father comes into the bedroom to close the window. But the old sash window is rotten. As he tries pull it down, the wooden frame comes apart in his hands like a piece of fruit cake. The glass is smashed. So my father has to find a way to cover over the gaps. He looks around and picks up the nearest thing at hand. In the corner of the room there is a map of the world, a big rolled up school atlas which he’s kept from the time he was a schoolteacher. He rolls it out and nails the atlas up against the window frame. It’s a temporary solution, he says. Go to sleep. So that’s how I fall asleep, with the wind blowing across the world, flapping at the oceans and the continents. The world is there in the morning with the sun coming through.
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El escritor y su conflicto par Horacio Castellanos Moya, publié le 21/06/2013
Texto inédito escrito en el marco del festival AIR organizado por la Villa Gillet de Lyon.
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Alain Claude Sulzer über das Geheimnis par Alain Claude Sulzer, publié le 21/06/2013
In fast jedem Roman steckt ein Geheimnis, es ist mal größer, mal kleiner, mal über-zeugend, mal weniger, mal überraschend neu, mal alles andere als das. Aber natürlich ist das Geheimnis nicht das Privileg des Romans, es ist keine literarische Erfindung wie das Gedicht oder die Novelle. Es gehört zum Leben. Vor allem ist es etwas, worüber hartnä-ckig geschwiegen werden muß, will es seinen Namen verdienen. Ohne Geheimnisträger kein Geheimnis. Zwei sind mindestens nötig, die darüber nicht sprechen, weil das für sie gefährlich werden könnte. Einer allein genügt den Anforderungen an das Geheimnis nicht. Geheimnisse sind zutiefst menschlich. Tiere, die voreinander Geheimnisse haben, sind mir nicht bekannt.
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« West-östlicher Divan / Divan d'Orient et d'Occident » de J. W. von Goethe par Laurent Cassagnau, Charles-Henri de Fouchécour, publié le 06/05/2013
Le Divan d’Orient et d’Occident est typique d’un trait culturel allemand qui veut que la culture allemande se définisse par le rapport à l’autre. L’identité allemande s’inspire de l’altérité, de la culture de l’autre, pour se définir elle-même. Laurent Cassagnau, maître de conférences à l’ENS de Lyon et auteur d’une nouvelle traduction du Divan parue en 2012 aux Belles Lettres, explique le détour de Goethe par la culture orientaliste, passage qui nourrit une réflexion sur le temps : quel rapport entretenir avec le passé ? Comment recevoir les œuvres anciennes ? La discussion entre Laurent Cassagnau et Charles-Henri de Fouchécour, spécialiste de la littérature persane classique, illustre l’idéal du dialogue entre l’Orient et l’Occident.
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Maurizia Morini (a cura di), Figli delle vittime. Gli anni Settanta, le storie di famiglia par Maurizia Morini, publié le 05/04/2013
Un libro sugli anni Settanta a partire dai libri dei figli delle vittime di terrorismo e di mafia e da alcune interviste nel milieu delle Associazioni dei familiari delle stragi. Non un sasso nello stagno ma il tentativo di riprendere in forma pubblica un filo memoriale che rimane per lo più sotto traccia, nel privato o prigioniero di definizioni sociologiche reciprocamente autoescludenti (la lunga stagione delle contestazioni, gli anni di piombo...).
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The Intensive Care Unit: A Place of Technology and Myth par Cécile Guilbert, publié le 22/01/2013
If we follow Giorgio Agamben, who defined “religion as that which subtracts things, places, animals and persons from common use to transfer them into a separate sphere,” the intensive care unit seems to be a sacred place within the hospital because it is special, separate, and governed by specific protocols, whether we’re talking about reduced visiting hours or its bunker-like nature (like the operating room and the morgue). And because it’s the place of suspension between life and death, a passageway between the conscious and the unconscious, or between presence and absence, intensive care is the place for all sorts of metaphysical questions, in the form of oxymora. What’s at stake here, for the patient—a dying life? A living death? What then is life? and death?
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Some Thoughts on Identity par Claude Arnaud, publié le 18/01/2013
It is the topic par excellence, the enigma that is impossible to solve. This puppet that we call somewhat pompously “The Self,” what is it in the end? An actor who resigns himself, around the age of thirty, to play only one role, or a born clown who struggles to understand himself, having changed so often?
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Paul Auster, The Brooklyn Follies par Paul Auster, publié le 15/01/2013
A partir d'un extrait du roman "The Brooklyn Follies" de Paul Auster, cette page propose des exercices de compréhension générale et détaillée, ainsi qu'un exercice de grammaire.
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Becoming No One par Gwenaëlle Aubry, publié le 15/01/2013
"The writing project came as the answer to a question that can, in retrospect, be formulated as follows: How can we grieve for a melancholy person, a person who was grieving himself? How can we get to grips with the absence of someone who was never really present?"
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Lecture d'un passage de La Coquille par Moustafa Khalifé par Moustafa Khalifé, Narimane Abd Alrahman, publié le 06/01/2013
Une prison dans le désert syrien. Les prisonniers sont emmitouflés dans tout ce qui peut leur servir de protection contre le sable qui envahit tout. Au dehors, une tempête de sable. Soudain, une page de journal vient se coller aux barreaux de la lucarne de la cellule, bouleversant la monotonie de la vie carcérale de ces prisonniers. Tel est le passage qu'a choisi de nous lire Moustafa Khalifé, auteur du livre La Coquille.
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Dossier Luisa Valenzuela par Caroline Bojarski, publié le 20/12/2012
Luisa Valenzuela es una escritora argentina de reconocimiento internacional. Nacida en 1938 en Buenos Aires, publicó más de veinte libros entre los cuales se destacan novelas, cuentos, microrelatos y ensayos. Su obra es un verdadero cuestionamiento acerca del lenguaje y del acto creativo que representa la escritura. Influenciada por la historia de su Argentina natal o por los muchos lugares donde vivió, sus libros nos proponen –con elementos esenciales como el humor y el erotismo– una reflexión sobre las estructuras sociales y culturales de la sociedad.
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Not Looking for Love par Chris Kraus, publié le 17/12/2012
As women, we are often identified through our choice of sexual partners. When an “attractive” woman has sex with an ugly man, it is a descent into “abjection.” But why? Clearly, it is because as women, we are still believed to attain most of our identities through sexuality. In the present assimilationist climate, any non-monogamous, non-relational sexual act is read as a symptom of emotional damage. Our culture persists in believing that sex holds the magic key to a person’s identity — which is, of course, wrong — and in behaving as if female writers are uniquely charged with upholding the sacred intimacy of the sexual act.
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For another Hysterature par Emilie Notéris, publié le 17/12/2012
Since the question of women’s freedom in writing, or “Why stories of transgression or women’s assertions of freedom are less tolerated than those of men?” only highlight ordinary male chauvinism (the answer to the question is undeniably related to cultural issues), I prefer to focus on the counter strategies that can be deployed in response to the insults made to women, like the one Eileen Myles describes in her introduction to I love Dick by Chris Kraus, What about Chris?: “She’s turned female abjection inside out and aimed it at a man.” In other words, rather than identifying the reasons for the violent reception of women’s transgressive writing, I prefer to think about the strategies that can flow from them.
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Declaration of Disinclinations par Lynne Tillman, publié le 11/12/2012
I like the theoretical ideal of neutrality, of non-hierarchical thinking. I’d like to be a writer, a person, but I am not. None of this naming is my choice. I’m a woman, “still” or I’m “only a woman.” “A good, bad woman, a silly, frivolous woman, an intelligent woman, a sweet woman, a harridan, bitch, whore, a fishmonger, gossipy woman. A woman writer.” What is “a woman writer”? Does “woman” cancel or negate “writer”? Create a different form of writer? Or does “woman” as an adjective utterly change the noun “writer”? “Man writer”? Not used. “Male writer,” rarely employed. Are there “man books” being read in “man caves?” OK, I declare: I’m a woman who writes, a person who writes. But how am I read?
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The Words of the Flesh par Wendy Delorme, publié le 11/12/2012
There are people who write from the place that they have been assigned. Some of them with rage so as to get away from it; others, by contrast, who follow the path that has been mapped out for us. There are those who would rather stay on the margin of that space, away from the feminine, off-centered, but are then dragged back to it, kicking and screaming. Their words are women's words, words that are situated. The masculine remains the universal reference. Feminine words stay in the realm of the singular, indexed to the gender of who said them.
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The cultural perception of the American land: a short history par Mireille Chambon-Pernet, publié le 20/11/2012
The importance of land and nature in the American culture is widely known. The Pilgrim Fathers who landed on the coast of the Massachussetts in 1620 were looking for freedom which was both spiritual and material. The latter derived from land ownership, as a landowner called no man master. Yet, in 1893, Jackson Turner announced that: “the American character did not spring full-blown from the Mayflower” “ It came out of the forests and gained new strength each time it touched a frontier”.
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Apuntes sobre dos novelas chilenas: Formas de volver a casa de Alejandro Zambra y La deuda de Rafael Gumucio par Martin Lombardo, publié le 09/11/2012
En las dos novelas aquí trabajadas, se aborda la forma en que se define y se construye la sociedad chilena en las décadas de los ochenta y noventa -las relaciones de poder, sus puntos oscuros y reprimidos, lo visible y lo invisible, sus barrios y las implicaciones que supone provenir de esos barrios, las formas de identificación y de reificación.
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Mario Rigoni Stern e Primo Levi : due viaggiatori atipici par Armelle Girinon, publié le 14/09/2012
Questo riassunto problematico nasce da un lavoro di ricerca effettuato durante il secondo anno di specialistica ed incentrato su tre testi fondamentali del dopoguerra: Quota Albania e Il sergente nella neve di Mario Rigoni Stern e La tregua di Primo Levi. L’obiettivo della tesi, intitolata Mario Rigoni Stern e Primo Levi: due viaggiatori atipici, consisteva nel mettere in luce il legame potenziale tra i testi citati e l’argomento del viaggio. In un primo tempo, abbiamo innanzittutto cercato di evidenziare l’aspetto problematico della ricerca, e cioè, la non linearità tra tale argomento ed i racconti presi in considerazione in questo studio.
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Kate Colquhoun on the blurred boundaries between fiction and non-fiction par Kate Colquhoun, publié le 11/09/2012
Truman Capote called his 1966 book In Cold Blood the first non-fiction novel. Since then, the boundaries between fiction and non-fiction have become increasingly blurred. Are these false definitions? At least we could say that novelists are able to articulate the internal worlds – the thoughts and feelings – of their characters while non-fiction relies entirely on evidence.
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Frederick Wiseman on Reality and film par Frederick Wiseman, publié le 03/09/2012
The provocative starting point sent to me for this debate states that "Artists and writers are vampires who feed on reality." I do not think this is any more true of artists and writers than it is of anybody whether they be doctor, lawyer, used car salesman, fishmonger, politician, farmer, priest, housewife or any of the other hundreds of thousands of jobs that exist.
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Comment finir ? La fin et l’après-la-fin dans les récits de fictionWie soll man schließen ? Über das Ende und das “Nach-dem-Ende” im fiktionalen Erzählen par Emmanuelle Prak-Derrington , publié le 31/08/2012
Le récit est lié à la successivité temporelle ; parler de la fin, cela veut donc dire parler aussi de l'après-la-fin, et tous les récits inscrivent leur explicit dans un entre-deux, entre le visible (les derniers mots, le point final) et l'invisible (le blanc terminal). C'est le choix de l'auteur d'inclure ou d'exclure la dimension du re-commencement et de l'après-la-fin, qui ferme ou au contraire ouvre le récit, lui donne une tonalité dysphorique ou euphorique. L'article se penche sur deux types de conventions clausulaires qui semblent être les réponses universelles à la question "comment finir" que pose tout récit : la fin comme fin ultime, avec la mort du personnage, fin mimétique par excellence qui fait coïncider la disparition du récit et sa "saturation", et la fin comme "happy end", défini non pas comme "tout est bien qui finit bien" mais comme "tout est bien qui augure bien". La dernière partie, consacrée à la répétition, évoque ensuite le procédé, qui, en unissant incipit et explicit, fin et commencement, s’affranchit du temps linéaire et crée un hors-le-temps, où le passé côtoie le présent. La boucle réflexive de la répétition, parce qu’elle touche forme et/ou fond apparaît alors comme le procédé de clôture ou d’ouverture suprême. Die Wahlverwandtschaft von Zeit und Erzählen soll hier anhand verschiedener Formen der Schlußgebung untersucht werden. Jeder Romanschluß schwebt zwischen dem Geschriebenen und dem Nichtgeschriebenen, dem Sichtbaren (den letzten Wörtern, dem Schlußpunkt) und dem Unsichtbaren (der endgültigen Leerstelle). Es ist die Wahl des Autors, die Dimension des Nach-dem-Ende ein­‑ oder auszuschließen, seiner Erzählung eine offene oder geschlossene Form, eine euphorische oder dysphorische Stimmung zu geben. Unter den zahlreichen Romanschlüssen werden zwei der konventionellsten Typen vorgestellt: das Ende als letztes Ende mit dem Tod der Hauptfigur, in dem sich erzählte Zeit und Erzählzeit überschneiden, und das Ende als Zwischenende, in der Form des happy ends, das nicht als “Ende gut, alles gut” sondern als “Alles ist gut, was Gutes verspricht” aufgefasst werden soll. Der dritte und letzte Schlußtyp, der hier erwähnt wird, die Wiederholung, vereinigt Anfang und Ende, Willkommen und Abschied. Der reflexive Kreis der Wiederholung (der Form und/oder des Inhalts) befreit die Erzählung von der linearen Zeit, schafft eine Zeit-außerhalb-der-Zeit, wo Vergangenheit und Gegenwart ineinanderfließen, und erweist sich als äußerst kuntsvolles Verfahren, um den Roman abzuschließen oder neu zu eröffnen.
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Nick Flynn on the misfit and the outcast par Nick Flynn, publié le 27/08/2012
I wrote a memoir a few years ago (Another Bullshit Night in Suck City), which, in part, chronicled the five or six years my father spent living on the streets in Boston. I’d been a case-worker with the homeless for three years before he got himself evicted from his marginal living situation, ran out of options (he slept in his taxi, on friend’s couches) and eventually ended up at the shelter where I worked. I hadn’t grown up with him, I hadn’t met him, really, before he came into the shelter—that this is where I got to know him is in the Shakespearian realm of the unlikely coincidence that sets the play in motion (think Hamlet encountering his father’s ghost).
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Découvrir l’autre : (didactique de) l’intercompréhension en didactique des langues-cultures par Clara Ferrão Tavares, Jacques da Silva, Marlène da Silva e Silva, publié le 27/08/2012
Depuis la dernière décennie, l’émergence des unités lexicales intercompréhension et didactique de l’intercompréhension témoigne-t-elle d’une évolution conceptuelle effective ? Notre recherche sur l’évolution de ces concepts repose sur une approche lexico-didactologique d’un corpus textuel compris entre les numéros 79 (1990) et 155 (2010) de la publication scientifique francophone Études de linguistique appliquée – Revue internationale de didactologie des langues-cultures et de lexiculturologie. Elle fait apparaître, d’une part, une évolution terminologique du terme intercompréhension qui passe d’un cadre de référence définitoire initial relevant de la linguistique appliquée à l’enseignement des langues à un autre cadre d’ordre proprement didactologique et, d’autre part, l’absence, pour l’heure, d’une délimitation définitoire didactologique du terme didactique de l’intercompréhension. For the last decade, the emergence of the lexical units intercomprehension and didactics of the intercomprehension shows an effective conceptual evolution. An investigation on the evolution of these concepts, which rests on a lexico-didactological approach of a textual corpus included between the numbers 79 (1990) and 155 (2010) of the French-speaking scientific publication Études de linguistique appliquée – Revue internationale de didactologie des langues-cultures et de lexiculturologie, shows, on one hand, a terminological evolution of the term intercomprehension which passes from an initial defining reference frame which raises from the linguistics applied to the teaching of languages in a frame of equivalent reference of proper didactological order and, on the other hand, the absence, for the moment, of a defining didactological demarcation of the term didactics of the intercomprehension.
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La quête du moi au XVIIIème siècle en Angleterre : des philosophes empiristes aux romanciers par Marion Lopez, publié le 21/06/2012
Avec les philosophes empiristes britanniques du 18ème siècle, la conception d’une identité immuable est ébranlée. L’esprit se conçoit comme le miroir de sensations et de passions. Le moi monadique ne tient pas devant l’expérience. Désormais l'homme ne peut plus compter sur une identité fixe, marquée par un cadre cosmique, et s'effraie devant l'immensité des espaces infinis. Le 18ème siècle, promesse d’une plus grande liberté de l’individu, avec la possibilité d’évoluer, est aussi celui d’une perte de repère pour l’individu. En effet, les nouvelles révolutions scientifiques bousculent la vision traditionnelle de l’universel. L’individu prend confiance dans le pouvoir de sa raison comme un outil potentiel d’examen du monde qui l’entoure. L’autobiographie qui se développe au même moment est une réponse à cette inquiétude sur le sens à donner à sa vie. De l’autobiographie spirituelle, gage d’une bonne pratique religieuse, au roman, l’objectif de cet article est d’amorcer une réflexion sur l’identité.
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RJ Ellory on crime stories par Roger Jon Ellory, publié le 21/06/2012
Who judges the crime? Is the severity of the crime, even the crime itself, judged by the perpetrator or the victim? If judged by the perpetrator, would the punishment be more or less severe, for are we not our own worst enemies, our own most damning judge?
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Helen Oyeyemi on haunted house novels par Helen Oyeyemi, publié le 18/06/2012
"You read of extreme cases of jamais vu in the newspapers. There was one recently involving a husband who, after eighteen years of happy stability with his wife, told her he had a surprise for her. He blindfolded her, then ‘hit her over the head with the blunt end of an axe, fracturing her skull in three places.’ She survived and tried to forgive him, even vouched for his good character in court. The husband-turned-attacker, unable to explain his moment of terminal hostility, deferred to psychiatrists who offered the opinion that it was his past that had caused it. "
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Christoph Hein : "Weibliches Schreiben" par Christoph Hein , publié le 15/06/2012
„Mit dem Herzen in der Hand gehen sie auf die Welt und die anderen zu, ungeschützter dadurch, empfindsamer, aber auch gefährdeter.“ Unterscheidet sich ein „weibliches Schreiben“ von einem „männlichen Schreiben“? Der Standpunkt eines männlichen Autors, Christoph Hein, der in Der fremde Freund (1982) oder in Frau Paula Trousseau (2007) in die Haut einer Erzählerin schlüpft.
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Novelas y cicatrices par Juan Gabriel Vásquez, publié le 14/06/2012
Las palabras de nuestros muertos hablan con más precisión que nosotros, quizá porque en ellas está el tiempo, quizá porque son palabras con experiencia o cuyo sentido ha sido modificado por la experiencia. Las que yo tengo en mente ahora aparecen en el capítulo XXIII de La cartuja de Parma; las he citado varias veces, y me temo que no he sido el único...
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Nicholson Baker on his literary career and how he came to write about sex par Nicholson Baker, publié le 13/06/2012
I think the job of the novelist is to write about interesting things, including things that might not seem all that interesting at first glance--like, say, a lunch hour on an ordinary weekday – and to offer evidence that life is worth living. At least, that’s what I try to do – not always successfully. My first book was about a lunch hour – the second about sitting in a rocking chair holding a baby – the third about literary ambition. There was almost no sex in those three books. But I always wanted to be a pornographer – because after all sex is amazing and irrational and embarrassing and endlessly worth thinking about. My fourth book was called Vox, and it was about two strangers telling stories to each other on the phone. I decided to write it as one big sex scene, because if you’re going to do it, do it.
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Jonathan Dee on the place of the novel in a money-driven society par Jonathan Dee, publié le 13/06/2012
About money there is nothing new. Nor about social inequity. When I wrote The Privileges, I was careful to leave out as many time-specific details as possible, because I felt that to tie its characters, and the lives they led, to the circumstances of a particular moment in history was to excuse them, in a way, and thus to miss the point of their existence...
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L'Amant de Patagonie par Christine Bini, publié le 06/06/2012
Ecossaise orpheline, envoyée au bout du monde pour s’occuper des enfants d’un pasteur, découvre une nature sauvage qui la stupéfie et l’envoûte. La vraie vie d’Emily, sa vie de patagonne, débute en 1880, lorsqu’elle aborde ce qu’elle appelle « le Nouveau Monde » : « Voilà mon pays ! Je me sens aussi intimidée qu’excitée à imaginer ce qui m’attend sur cette terre nouvelle. Je ne sais pas seulement combien d’années j’y passerai. Est-ce vraiment important ? Je l’ai choisie, j’ai voulu y venir, j’y suis ». Tout au long du beau roman d’Isabelle Autissier, on va suivre le personnage d’Emily, et découvrir, outre la vie austère des pionniers européens, la vie libre et précaire des Indiens du bout du monde.
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El ruido de las cosas al caer par Caroline Bojarski, publié le 06/06/2012
Présentation du roman El ruido de las cosas al caer de Juan Gabriel Vásquez.
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L'Appât par Virginie Neufville, publié le 06/06/2012
Présentation du roman de José Carlos Somoza.
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LS6 par Margot Nguyen Béraud, publié le 06/06/2012
Présentation du roman LS6 de l'écrivain espagnol Mario Crespo.
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Marina Perezagua par Marina Perezagua, Caroline Bojarski, publié le 06/06/2012
Retranscription de l'entretien effectué avec l'auteure espagnole.
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Entretien avec Jenn Diaz - Entrevista a Jenn Diaz par Jenn Diaz, Caroline Bojarski, Carlos Benguigui, publié le 25/05/2012
Retranscription de l'entretien en espagnol, accompagné de sa traduction en français, avec l'auteur espagnole Jenn Diaz, portant notamment sur son roman Belfondo.
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Questions ouvertes à Julie Quénehen et Tino Caspanello par Tino Caspanello, Julie Quénehen, publié le 23/05/2012
Julie Quénehen et Tino Caspanello répondent à quelques questions sur le théâtre sicilien et l'expression dialectale.
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Conclusion de la journée d'étude "La politique italienne de ces 20 dernières années" par Jean-Claude Zancarini, publié le 03/05/2012
Conclusion de la journée d'étude du 18 novembre 2011 consacrée à la politique italienne de ces 20 dernières années, organisée en partenariat entre le laboratoire Triangle (UMR 5206) et l'Institut Culturel Italien de Lyon.
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Elena Poniatowska, Querido Diego, te abraza Quiela par Caroline Bojarski, publié le 26/04/2012
Elena Poniatowska est une écrivaine mexicaine d'origine polonaise de renommée internationale. Journaliste de formation, ses romans sont souvent le fruit d'un savant mélange entre réalité et fiction, déconstruction et dénonciation. Repoussant les limites des genres littéraires en ayant recours au témoignage, à l'essai, au roman ou à la photographie sans s'y enfermer, ses romans sont à la fois des instantanés d'une époque et une plongée au cœur de l'intimité. Dans Cher Diego, Quiela t'embrasse, elle met en scène une femme oubliée, effacée, qui partagea la vie du célèbre peintre mexicain Diego Rivera pendant dix ans. Dans ce roman épistolaire, la frontière entre la fiction et la réalité n'est encore une fois pas hermétique, à la manière des tableaux du Paris des années 1920.
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Le catalan : la configuration de ses dialectes et d'une langue standard par Lluis Coll, publié le 24/04/2012
Le catalan est une langue romane qui compte environ dix millions de locuteurs. En Espagne il est la langue co-officielle, aux côtés de l’espagnol, dans trois Comunitats Autònomes, à savoir la Catalogne, la Communauté Valencienne et les îles Baléares (toutes situées à l’est de la Péninsule Ibérique), et une langue parlée dans une petite partie de la Comunitat Autònoma d’Aragon. Mais bien qu’elle soit principalement parlée en Espagne, le catalan compte aussi des locuteurs en Andorre, en France et en Sardaigne. En Andorre, il est la langue officielle du pays. En France, dans le département des Pyrénées Orientales, et en Sardaigne, dans la ville d’Alghero, il est, en revanche, une langue secondaire.
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Michela Marzano, Volevo essere una farfalla - Come l' anoressia mi ha insegnato a vivere par Maurizia Morini, publié le 16/03/2012
Marzano racconta la storia della sua vita, poiché quello che preme non va perduto e come afferma lei stessa, scrivere è diventata una necessità, in un certo senso una necessità etica. Al centro del libro emerge la rivendicazione e la denuncia dell'inquietudine da cui siamo attraversati e di conseguenza il coraggio, in questo caso della Marzano, di esporre la propria fragilità, di parlare dell'anoressia e di come questa malattia le abbia insegnato a vivere.
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Three Words for Dmitri Dmitriyevich Shostakovich par Wendy Lesser, publié le 14/02/2012
As an element in Shostakovich's music, the shame is perhaps not as audible as the dread, but it is everpresent nonetheless. One cannot point to a precise place in the music where you can hear it, but it underlies and supports most of the other painful emotions, and if it were removed from the mix, you would certainly notice the difference. The shame is apparent in the harshness with which Shostakovich treats himself and his own feelings; it saves the saddest quartets (like the Eighth) from self-pity, and it saves the more cheerful ones (like the Sixth) from any tincture of smugness or self-assurance...
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Elena Ferrante, L'amica geniale par Maurizia Morini, publié le 10/02/2012
Siamo a Napoli negli anni cinquanta; in un povero quartiere, abitato da fascisti e monarchici ed anche da piccoli teppisti e ignoranti arricchiti, e sullo sfondo l' ombra della camorra. I giovani che vivono qui cercano di superare le divisioni fra famiglie o forse si illudono di farlo, di uscire dal quartiere e di affrancarsi da un destino segnato. Nello svolgersi della narrazione si seguono le storie delle diverse famiglie contrassegnate da amori, passioni, odi, vendette, vita di vicinato... Ma la centro di tutto c'è sempre la profonda amicizia fra le due, bambine prima, adolescenti poi. Lila è povera e magra, figlia di uno scarparo possiede una intelligenza rara e precoce, è la più brava alle elementari e la più cattiva con i maschi e le compagne. È molto invidiata dall'amica del cuore, Elena, figlia di un usciere comunale, diligente e studiosa, che riuscirà ad approdare, con molti sacrifici e ore di studio, al liceo classico. La Ferrante scava a fondo la psicologia delle due bambine che crescono, che scoprono l'amore, le buone letture, la politica, la morale, le rivalità, le incomprensioni e le separazioni.
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Filologia dantesca e filologia digitale par Claudia di Fonzo, publié le 13/01/2012
Quella dell'era digitale è la rivoluzione più importante dopo quella copernicana e industriale. Non si può non ripensare il sapere alla luce della nuova era e della nuova tecnologia. La riflessione che segue sottolinea come ci siano problemi di epistemologia della conoscenza e di ecdotica del testo che non mutano con il mutare delle tecnologie se non per quel che riguarda lo strumento diamesico.
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“The shadow of the fifth”: patterns of exclusion in Doris Lessing’s The Fifth Child par Anne-Laure Brevet, publié le 06/12/2011
This study of The Fifth Child (1988) attempts to show that the eponymous character, a traumatic semi-human creature who neither assimilates into his ordinary family nor conforms to the demands of society impersonates a drive for disorder, chaos and violence undermining collective ideals. On the one hand, the fact that the alien child is not only excluded from family life but also from any type of “normal” human interaction, especially in Ben, in the World (2000), reveals hidden discordant notes that further lead to the disruption of his model family. On the other hand, as the symbol of a dark, destructive force fighting against enlightenment and progress, Ben’s inherently disruptive figure is a reminder of the two World Wars and the impersonation of social unrest. Through the various patterns of exclusion triggered off by his subversive presence, the fifth child reveals that the primitive dimension of the self and of humanity at large should be understood as part and parcel of human nature.
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Margaret Mazzantini, Nessuno si salva da solo par Maurizia Morini, publié le 16/11/2011
Delia e Gaetano, fra i trenta e i quarant'anni, erano una coppia, ora non più; lui si è trasferito in un residence, lei vive con i due figli; si ritrovano a cena, in un ristorante per accordarsi sulla gestione dei figli durante le imminenti vacanze estive. Il racconto ruota attorno a loro, alla rottura del rapporto, alle parole che si dicono poiché il loro amore è moribondo e loro non se ne erano accorti e non se ne fanno una ragione. Dov'è l'epicentro della rottura? Perchè si sono sfilacciati? Perchè nessuno li ha aiutati? Non lo hanno capito e nessuno dei due ha ancora trovato la pace, si sono incontrati per farsi del male, rancori e ferite troppo vivi. Delia e Gaetano sono rabbiosi e la Mazzantini è perfetta nel trovare le parole giuste per descrivere il loro stato d'animo, fatto di presente e di passato.
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Éléments de réflexion sur "Le chant d'Ulysse" dans Si c'est un homme de Primo Levi par Damien Prévost, publié le 04/11/2011
Cet article propose une analyse et des pistes de réflexion sur un extrait du "Chant d'Ulysse" de Se questo è un uomo. Ces considérations n'ont pas pour objectif de fournir un commentaire strict du texte mais se proposent de guider le lecteur. Une illustration originale de Nicolas Brachet accompagne cet article. Dans ce chapitre, Primo Levi voyage. Il voyage dans le camp, mais aussi dans sa mémoire à travers le souvenir du chant XXVI de l'Enfer. C'est un étrange voyage dans l'inconnu en réalité : Primo Levi peine à ce souvenir de ces vers appris par coeur et, il arrive sans s'en rendre compte, à un tercet qui va rallumer en lui la flamme de l'humanité. Un voyage aux sources de l'être.
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Como agua para chocolate : l’adaptation cinématographique par Anne-Marie Molin, publié le 21/10/2011
L'histoire de Como agua para chocolate adopte un point de vue plutôt particulier puisque c'est une descendante qui nous narre les étranges légendes de sa famille, transmises de génération en génération par le biais du fameux livre de recette, héritage ancestral, que nous lisons à notre tour...
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Como agua para chocolate par Anne-Marie Molin, publié le 19/10/2011
Fiche de lecture du roman Como agua para chocolate, de l'écrivain mexicaine Laura Esquivel.
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Como agua para chocolate : des mots à l'écran par Anne-Marie Molin, publié le 19/10/2011
L'histoire de Como agua para chocolate a été imaginée et rédigée par l'écrivaine mexicaine Laura Esquivel en 1989. Cet ouvrage, pour le moins intrigant, a connu très vite un succès international grâce aux mystères stylistiques, gustatifs et magiques qu'il renferme. Comme l'auteur l'explique dans une interview pour la BBC, à l'époque où elle a écrit ce roman, elle ne créait que des scénarios pour le cinéma. Cependant, comme il n'est pas facile de percer dans ce milieu et que ses scripts commençaient à s'accumuler en vain, elle a finalement décidé d'écrire ce livre qui serait pour elle, comme écrire un scénario, mais sans les limites et les exigences que ce dernier et les producteurs imposent : elle serait ainsi libre de créer son film idéal.
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Les Français et leurs langues : enquêtes sur les patois, dialectes et mots régionaux par Brigitte Horiot, publié le 06/10/2011
L'extension du français, langue romane, se fit à la fois au détriment du latin et des parlers locaux. Cependant, un siècle après l'édit de Villers-Cotterêts (1539), le français est loin d'être la langue de tous les Français et, plus près de nous, en 1914, sa compréhension posera encore quelques problèmes. Depuis plusieurs siècles ces parlers locaux intéressent les chercheurs et, au début du XXe siècle, paraît un monumental Atlas linguistique de la France qui consigne, sous forme de cartes, les patois recueillis dans 639 localités. L'entreprise sera reprise, régions par régions et avec un questionnaire adapté à chaque région, par le Nouvel Atlas linguistique de la France... Conférence prononcée le 27 septembre 2011 à l'ENS de Lyon.
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Invitation à la lecture de Se questo è un uomo par Damien Prévost, publié le 30/09/2011
Se questo è un uomo est sûrement l'oeuvre la plus connue de Primo Levi. Cette "invitation à la lecture" a pour but d'offrir une analyse rapide des thèmes porteurs d'une oeuvre. S'ensuivront des "commentaires" de textes tirés de cette oeuvre et qui viendront compléter cette "introduction". Pour ceux qui veulent découvrir ou relire une oeuvre incontournable de la littérature italienne.
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Antoni Casas Ros - Enigma par Christine Bini, publié le 09/09/2011
Enigma est le deuxième roman publié sous le nom d'Antoni Casas Ros. On y entend quatre voix narratives qui s'expriment dans de courtes séquences, accolées les unes aux autres. Ce parti pris périlleux n'est en rien lassant, et le lecteur est happé par la trame. Ne parlons pas encore d'intrigue, car l'intrigue, finalement, est ailleurs. La trame, elle, met en scène Joaquim Santz, un professeur d'Université ; Zoé, son étudiante ; Naoki Ozokura, une jeune japonaise disposant de grands moyens financiers ; Ricardo, un jeune poète qui gagne sa vie en exerçant les fonctions de tueur à gage, avant d'être embauché comme secrétaire de l'union des écrivains catalans.
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Antoni Casas Ros - Chroniques de la dernière révolution par Christine Bini, publié le 09/09/2011
Antoni Casas Ros publie son quatrième ouvrage, son troisième roman, et ces Chroniques de la dernière révolution sont, à l'évidence, un grand livre. Peut-être le premier roman réellement contemporain d'une littérature française qui vit encore au XXe siècle, quand ce n'est pas au XIXe. On nous donne enfin accès à un monde spéculatif dans lequel la fiction rend compte de notre actualité au travers d'un miroir grossissant non déformant. Et ce monde-là, d'un réalisme anticipatoire exacerbé mâtiné de poésie, et de désespoir, nous le prenons carrément en pleine figure.
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Antoni Casas Ros - Mort au romantisme par Christine Bini, publié le 09/09/2011
S'il faut rajouter une énigme au mystère Casas Ros, intéressons-nous dans un premier temps au rythme. Trois ouvrages publiés jusqu'à présent, en attendant la livraison pour septembre 2011 des Chroniques de la dernière révolution. Deux romans, Le Théorème d'Almodovar (2008) et Enigma (2010) et un recueil de « nouvelles », Mort au romantisme (2009). Belle régularité, qui finalement n'a rien de très exceptionnel dans la tradition éditoriale française.
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Marcel Beyer - Die Stimmen der Geschichte par Marcel Bayer, Andreas Girbig, publié le 05/07/2011
Marcel Beyer geht in seinen Romanen Kaltenburg, Flughunde, Spione den Spuren der Vergangenheit, der Nazizeit, der Geschichte nach. Erinnerungen rekontruieren die Vergangenheit.
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