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Cinéma

Lionel Gerin - publié le 14/11/2016

Bernardo Bertolucci, qui n'a alors que 22 ans, réalise son très autobiographique deuxième film, qui raconte les affres de Fabrizio, un jeune bourgeois, pris dans la contradiction de ses origines et de ses aspirations communistes, ainsi que dans une relation amoureuse, quasi incestueuse. Fabrice, Parme (car l'histoire s'y déroule), cela évoque des souvenirs stendahliens.

Aurélien Ferenczi - publié le 03/11/2016

A l'occasion du Festival Lumière 2016 de Lyon, Aurélien Ferenczi a présenté le 16 octobre à l'Institut Lumière le film Io la conoscevo bene (Je la connaissais bien pour la version française), d'Antonio Pietrangeli. Ce texte est une retranscription de cette présentation qui a été par endroits modifiée pour l'adapter au format écrit.

Alison Carton-Vincent - publié le 24/10/2016

Le réalisateur Paolo Sorrentino était présent à Lyon le 15 octobre 2016 à l'Institut Lumière dans le cadre du Festival Lumière pour présenter sa nouvelle série ((The Young Pope)) qui sera diffusée en France à partir du 24 octobre 2016. Ce texte est une retranscription de l'échange entre Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes et directeur de l’Institut Lumière et le réalisateur Paolo Sorrentino. Elle a été par endroits modifiée pour l'adapter au format (...)

Lionel Gerin - publié le 22/12/2015

Stefano (Jacques Perrin) veut rentrer dans les ordres, au sortir de ses études. Son père (Alain Cuny), entrepreneur et jouisseur sans scrupule, essaie de l'en dissuader à coup de croisière, soirée et séduction. Il entraîne son fils sur son yacht, avec sa maîtresse (Rosanna Schiaffino) qui s'offrira à lui. Stefano, en bon idéaliste, est désorienté, dégoûté face à ce monde de l'artifice et de la satisfaction immédiate et matérielle.

François Albertini - publié le 10/12/2015

Guido Massacesi, employé de banque romain, dont la vie familiale est des plus routinières et aporétiques, reçoit un matin, de fort bonne heure, un coup de téléphone de sa sœur lui apprenant que leur père est en train de mourir. Il décide alors de partir immédiatement pour Rosignano Solvay, son pays natal, où la famille se trouve, mais, bien décidé à ne pas faire la route seul, celui-ci passe voir une ancienne petite amie qu’il n’a pas vue depuis quelques mois afin de lui (...)

Maurizia Morini - publié le 05/06/2014

Ci troviamo in una stretta via della periferia di Palermo, con la montagna incombente sullo sfondo, e su cui si affacciano casupole “tirate su” abusivamente con materiali edilizi di vario genere. In questa strettoia si incrociano due auto, una Fiat Punto guidata da Samira (Elena Cotta) proveniente da Piana degli Albanesi, con la numerosa famiglia, di ritorno dal mare e che vive in ((Via Castellana Bandiera)) e una Fiat Multipla, guidata da Rosa (Emma Dante) palermitana, che vive a Milano, (...)

Lionel Gerin - publié le 11/03/2014

Cette page propose une critique du film "Otto e mezzo", réalisé par Federico Fellini en 1963.

Lionel Gerin - publié le 08/11/2013

Cette page propose une critique du film ((Pane, Amore e Fantasia)) (((Pain, Amour et Fantaisie))), réalisé par Luigi Comencini en 1953.

Lionel Gerin - publié le 06/09/2013

Cette page propose une critique du film ((Identificazione di una donna)), réalisé par Michelangelo Antonioni.

Lionel Gerin - publié le 14/06/2013

Cette page propose une critique du film ((I soliti ignoti (Le pigeon))), comédie réalisée par Mario Monicelli.

Maurizia Morini - publié le 07/06/2013

L'Istituto italiano di cultura di Lione ha invitato il 5 aprile 2013 all'Università Lyon 3 il Maestro del cinema Giuliano Montaldo. Il regista, sceneggiatore, attore, da oltre sessanta anni, si occupa di cinema ed è considerato uno dei maggiori realizzatori italiani; era accompagnato “dalla compagna di una vita” Vera Pescarolo, soggettista, produttrice e figlia dell'attrice pirandelliana Vera Vergani.

Lionel Gerin - publié le 07/05/2013

Cette page propose une critique du film ((La ragazza in vetrina)), réalisé par Luciano Emmer.

Lionel Gerin - publié le 15/02/2013

Cette page propose une critique du film ((Cristo si è fermato a Eboli)), réalisé par Francesco Rosi.

Lionel Gerin - publié le 30/01/2013

Cette page propose une critique du film ((Il Giardino dei Finizi-Contini)), réalisé par Vittorio De Sica sur un scénario de Valério Zurlini.

Lionel Gerin - publié le 11/01/2013

Cette page propose une critique du film ((I Mostri)), réalisé par Dino Risi sur un scénario de Valério Zurlini.

Alberto Barbera, Damien Prévost - publié le 07/10/2011

Alberto Barbera risponde alle domande della Clé des Langues nell'ambito del Festival Lumière 2011 di Lione nel quadro eccezionale della casa-museo dei fratelli Lumière. Ci parla della nascita e dello sviluppo del Museo del cinema nella Mole Antonelliana a Torino, della realtà e prospettive del cinema italiano oggi ed infine del Festival di retrospettiva lionese.

Paola Polselli - publié le 21/11/2009

Dans cet article, l'auteure analyse la présence des insultes de type ethniques et les épisodes mettant en scène une discrimination basée sur l'altérité dans le cinéma italien.

Maurizia Morini - publié le 07/10/2008

Il regista Paolo Sorrentino incontra la stampa, in occasione dell'uscita in Francia del suo film ((Il Divo)) il 26 settembre 2008 a Lione.

Maurizia Morini - publié le 29/04/2008

"L'idea è venuta inizialmente a Belpoliti pensando al viaggio di PrimoLevi dopo la liberazione da Auschwitz verso Torino; poi vedendo altri film è venuta l'idea del film..."

Dora D'Errico - publié le 20/05/2007

Sur les lieux du crime, les jeunes brigadistes de ((Buongiorno notte)) s'agitent comme des animaux machines, ils exécutent un scénario inéluctable dont toute logique politique leur échappe. On assiste au déroulement d'un drame assez commun, semblable à tous ceux rejoués dans ce nouveau cinéma dit politique jusqu'à ce que, du cliquetis de cette mécanique infaillible, surgissent des envolées d'un imaginaire imprévisible. S'ouvre alors la possibilité d'un « récit pas comme les autres (...)

Dora D'Errico - publié le 20/05/2007

Le cinéma entretient un rapport particulier et privilégié avec la mémoire, il a la capacité de forger des images perçues par le spectateur comme des images qui lui appartiennent, celles d'événements qu'il n'a jamais vécus en propre mais qu'il fait siennes. Que se passe-t-il cependant quand ces images devenues des "souvenirs empruntés", si aisées à lui communiquer, sont celles d'événements de l'histoire, et d'une histoire difficile et violente ? L'appropriation du passé à travers (...)