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Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 119 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Introduction à The God of Small Things d'Arundhati Roy par Florence Labaune-Demeule, publié le 21/03/2011
The God of Small Things, roman publié en 1997, permit à son auteur, la romancière indienne Arundhati Roy, de recevoir le Booker Prize la même année. Publié dans de nombreux pays et traduit en plus de quarante langues, ce roman a été applaudi à maintes reprises par la critique, notamment en raison de l'analyse subtile des relations humaines qui y est abordée. Comme le dit A. Roy elle-même, « The book really delves, very deep I think, into human nature. The story tells of the brutality we're capable of, but also that aching, intimate love [shared by twins]. »
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The God of Small Things d’Arundhati Roy : lecture du chapitre 21, le dénouement par Fabienne Labaune, publié le 03/02/2011
L'article se propose de s'interroger sur le choix de cet épisode de rencontre amoureuse et sur le sens du dénouement en analysant d'abord l'aspect tragique de la scène puis son lyrisme, pour montrer enfin, en reliant le chapitre 21 au chapitre précédent, qu'Arundhati Roy a ainsi voulu donner à son roman une dimension mythique.
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James Frey - Assises Internationales du Roman 2010 par James Frey, publié le 03/09/2010
James Frey was one of the guests of the Assises Internationales du Roman, organised by the Villa Gillet and Le Monde in Lyon. He introduced his novel Bright Shiny Morning and told the audience about his perception of Los Angeles and his conception of storytelling.
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La voix de Lolita dans "Lolita", le roman de Vladimir Nabokov et le film de Stanley Kubrick par Michaël Roy , publié le 25/03/2010
La critique nabokovienne s'est beaucoup interrogée sur les modalités de la voix de Humbert Humbert, ses inflexions, ses excentricités, ses stratégies de séduction. C'est en effet par la voix du nympholepte, confesseur omnipotent, que nous parvient toute l'histoire de Humbert et Lolita. Il semble, à première lecture, que la jeune fille n'ait pas son mot à dire dans cette histoire ; objet de Humbert-personnage, elle devient objet du discours manipulateur de Humbert-narrateur. On peut malgré tout se demander si la voix de Lolita est véritablement engloutie par la parole de Humbert, ou bien si elle parvient au contraire à défier les assignations au silence de ce dernier. On tentera ici de « récupérer » la voix de Lolita dans le roman de Vladimir Nabokov (1955), tout en analysant la façon dont Stanley Kubrick s'accommode de cette problématique complexe de la voix et du silence dans son adaptation cinématographique (1962).
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L’art de représenter King Lear : analyse textuelle et picturale par Estelle Rivier, publié le 25/01/2010
King Lear a inspiré nombre de peintres si l'on songe à Edwin Austin Abbey, John Singleton Copley, John Rogers Herbert, Ford Madox Brown, pour ne nommer que certains d'entre eux. Le regard que ces derniers portent sur l'œuvre de Shakespeare nous invite à modifier le nôtre et nous guident dans une relecture de la pièce. Y apparaît alors de façon encore plus frappante le réseau sémantique de la vue. Les personnages souffrant de cécité physique et morale ont peine à y voir clair autour d'eux et en eux. Et pour nous qui les observons, les images se dédoublent quand par exemple le roi est aussi un fou et que son Fou gouverne l'entendement des choses. La duplicité, les double-sens, les visions polymorphes se multiplient. Tous ces aperçus de la scène du Roi Lear, qu'ils soient picturaux ou sémantiques sont à l'étude dans ce propos, par touches, comme chez les Impressionnistes.
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Incroyable fiction : L’histoire de Pi de Yann Martel (2001), relecture contemporaine de Noé et Robinson par Anne Besson, publié le 14/12/2009
Le roman de Yann Martel, typique de la post-modernité, dont l'intrigue "surfictionnelle" mêle théologie et zoologie, exploite de façon à la fois massive et désinvolte ses références intertextuelles, et en premier lieu le parallèle avec le Noé biblique, dans un hymne à la fiction et à la foi ne faisant qu'une, à la croyance et au déguisement métaphorique du réel comme enchantement de l'existence.
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De Tom Brown à Harry Potter : pérennité et avatars du roman scolaire britannique par Rose-May Pham Dinh, publié le 01/10/2009
Cet article explore les caractéristiques littéraires des romans scolaires en Grande-Bretagne.
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Fiche de lecture : Liver, Will Self par Jocelyn Dupont, publié le 24/09/2009
A review of Will Self's collection of novellas, Liver.
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L’intertextualité en mots et en images des romans illustrés de Philip Pullman par Virginie Douglas, publié le 24/09/2009
Nous proposons ici une réflexion théorique sur le rapport intertextualité/littérature de jeunesse à partir de l'exemple de quelques œuvres du romancier Philip Pullman, surtout connu pour His Dark Materials, trilogie qui s'est vendue à plus de 15 millions d'exemplaires dans le monde à ce jour.
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Qu'est-ce que l'intertextualité ? par Emilie Walezak, Jocelyn Dupont, publié le 18/09/2009
Cette page propose une définition de l'intertextualité et regroupe les communications de la journée d'étude sur l'intertextualité dans le roman contemporain de langue anglaise, organisée le 19 juin 2009 à Lyon 2 par le CARMA.
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Littérature et société aux Etats-Unis : 1917-1968 par Alice Béja , publié le 27/11/2008
Cet article propose un regard sur la littérature américaine du 20e siècle dans son rapport à l'idée d'Amérique. Les guerres et crises que traversent les Etats-Unis au cours de la période 1917-1968 contribuent à une dégradation de l'"American Dream" en "American way of life" à laquelle les écrivains américains réagissent en recherchant de nouvelles origines pour construire, en fin de compte, leur propre idée d'Amérique.
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L'"in-decency" keatsienne ou ce qu'être Cockney veut dire : Redéfinir l'anglicité au siècle romantique par Caroline Bertonèche, publié le 27/11/2008
Cet article illustre la quête identitaire du jeune Keats, génie païen émergeant de la classe moyenne et consumé par la tuberculose. En réaction aux critiques des "aristocrates de l’imagination" de son époque, qui transposent l’ "indécence" de ses origines et de sa condition dans les enfantillages de son écriture, Keats se distingue en cherchant une légitimité certaine dans l’authenticité d’un anglais plus ancien, celui de Chaucer ou de Shakespeare. C’est ce désir d’anglicité qui amène Keats à se réapproprier un style ancien et lui ouvrira le chemin de l’immortalité. Pour illustrer le propos défendu, Caroline Bertonèche nous propose ensuite quelques extraits de poèmes à exploiter en classe.
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Poésie, chose publique, prose commune : De Wordsworth à Coleridge par Eric Dayre, publié le 14/03/2008
Avec les Ballades Lyriques, Wordsworth et Coleridge expriment leur rejet de la diction poétique héritée du XVIIIe siècle et prônent un recours au langage simple et authentique du quotidien. Pour ces poètes fortement influencés par la Révolution française, ce projet esthétique se double d'un enjeu politique : la diction poétique est assimilée au despote en place dont l'autorité repose sur une mystification rhétorique à laquelle il convient d'opposer une incroyance critique (« disbelief »). Confrontés, comme tous les romantiques anglais, au rapport entre prose et poésie, ils tentent de reproduire le langage épuré des propriétaires terriens plus ou moins instruits dans une « prose rythmique » qui contient par là-même l'utopie d'une république pastorale. Cet idéal démocratique connaît ensuite une évolution. Si Wordsworth poursuit cet idéal jusqu'au bout, Coleridge, lui, est amené à reconnaître que le style humble de cette prose se distingue profondément du langage des habitants de la campagne. Il abandonne dès lors cette idée et redéfinit la prose moderne comme l'expression d'un « langage figuré de la pensée », faisant référence à l'imagination du poète intellectuel, et par là même réservée à une élite restreinte capable d'une illumination et d'une autonomie conceptuelle dont, dans un second temps, le discours des hommes pourra bénéficier.
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La naissance du roman en Angleterre au XVIIIe siècle par Anne Dromart, publié le 14/02/2008
Après la grande époque de la poésie, la prose revient au goût du jour vers la fin du XVIIe siècle en Angleterre pour progressivement s'épanouir en une forme nouvelle au cours du XVIIIe siècle. Les "novels" qui apparaissent sous les plumes de Defoe, Richardson, Fielding et Sterne se démarquent des "romances" qui les avaient précédées et se caractérisent par une attention portée à la vraisemblance des faits narrés.
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L'écriture de David Markson par Françoise Palleau-Papin, publié le 12/02/2008
Première monographie consacrée à cet écrivain américain particulièrement novateur, dans "Ceci n'est pas une tragédie" Françoise Palleau-Papin nous présente l'ensemble de l'œuvre de David Markson, de 1956 à 2007.
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Ré-adaptation et création dans le mythe de Frankenstein par Laurent Mellet, publié le 10/01/2008
Un article en cours de publication aux Presses Universitaires de Rennes, dans les Actes du colloque "De la page blanche aux salles obscures : l'adaptation cinématographique dans le monde anglophone", sous le titre "Ré-adaptation et création dans le mythe de Frankenstein (Mary Shelley, James Whale, Kenneth Branagh)".
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Le modernisme par Anne Fauré, publié le 08/11/2007
Nouvelle manière de penser l'art, en rupture avec le réalisme du XIXème siècle, le modernisme est le produit d'un monde caractérisé par des bouleversements socio-économiques, politiques, philosophiques et technologiques. Anne Fauré nous présente ici la littérature moderniste, littérature de crise et de mise en crise.
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Les "Newgate Novels" : esthétique d'un genre populaire par Hubert Malfray , publié le 26/10/2007
Dans cet article, Hubert Malfray nous présente un genre mineur et éphémère regroupant une vingtaine d'oeuvres de fiction des années 1830-1847 relatant, de façon plus ou moins romancée, la vie de criminels. Comment, à une époque marquée par la rigueur morale, ces romans ont-ils pu représenter la criminalité et devenir des best-sellers ?
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Le sublime de John Muir par Jean-Daniel Collomb , publié le 16/05/2007
Le motif esthétique du sublime constitue un véritable fil rouge tout au long de l'œuvre de John Muir. Chez l'auteur d'origine écossaise, le sublime sert le plus souvent à décrire une nature grandiose et divine qui laisse l'observateur sans voix, comme en transe. Pour comprendre ce qu'est le sublime dans les écrits de Muir, il convient tout d'abord de mesurer l'influence romantique qui enveloppe la seconde partie du vingtième siècle américain.
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La Création : à propos de stratégies narratives dans Frankenstein par Georges Zaragoza, publié le 19/04/2007
Né au XVIIe siècle, le genre romanesque s'est lontemps vu reprochées sa fausseté et sa stérilité. Georges Zaragoza se penche ici sur les stratégies narratives mises en place dans "Frankenstein" pour prouver à la fois l'authenticité et l'utilité du roman. L'article qui suit est une version d'un cours de Georges Zaragoza adapté par Kevin Pinault pour La clé des langues. Les numéros de pages des citations de Frankenstein renvoient à l'édition Penguin Classics, 1992.
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