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Les jeux de mots dans la presse française et leur traduction en espagnol

Par Maryse Privat : Professeure Titulaire - Université de La Laguna (Espagne)
Publié par Christine Bini le 18/03/2010

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Article universitaire présentant les difficultés et les enjeux de la traduction des jeux de mots très présents dans la presse.

 

Résumé

Les jeux de langage sont fréquents au sein du discours journalistique et particulièrement dans les titres d'articles de quotidiens comme Libération, où l'imagination semble être au pouvoir. Ces jeux linguistiques reposent sur des expressions et des constructions syntaxiques figées. Le problème est double pour un lecteur non francophone entrant en contact avec cette facette de la culture de l'autre. Le premier obstacle est la reconnaissance et la compréhension du jeu de mots, et le second serait une traduction du jeu de mots dans sa langue. Le français et l'espagnol sont deux langues proches mais la recherche de la conservation de l'originalité à tout prix peut faire long feu et s'avère souvent décevante.  

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Article

La présence des jeux de mots dans la presse française et la difficulté de traduction liée à cette marque linguistique constituent l’objet de cette étude. Il n’est guère utile de refaire ici un historique de la prose écrite sur les approches diverses des jeux de mots ni d’entrer dans la différenciation faite par certains linguistes entre jeu DE mots, AVEC les mots ou SUR les mots. La meilleure classification ayant fait ses preuves et fournissant une taxinomie parfaitement acceptable reste encore celle de Pierre Guiraud ((Pierre GUIRAUD, Les jeux de mots, Paris : PUF, 1976. Voir tableau en annexe 1, souvent repris dans divers articles sur les jeux de mots.)). Quelle que soit la définition retenue, le jeu de mots se compose toujours d’un double sens et conduit le lecteur à refuser le sens superficiel et à chercher le sens second « caché derrière » ((Un signifié « exposé » et un signifié « imposé », selon la terminologie utilisée par Todorov.)). Il y a jeu de mots lorsque l’usage que l’on fait de certains mots s’écarte de leur emploi purement référentiel. Une des formes récurrentes est le défigement. Nombreux sont les jeux de mots fondés sur une référence implicite à un figement, qu’il soit simple lexie composée, expression figée, proverbe ou encore paroles célèbres d’un discours, d’un livre, d’un film ou d’une chanson, événement historique connu de tous, etc. Et de la même façon que l’on parle de détournement de proverbes, il peut y avoir dans la création de certains jeux de mots des détournements de ces expressions figées. En fait, tout jeu de mots est une allusion ((Genette définit ainsi l'allusion : « énoncé dont la pleine intelligence suppose la perception d’un rapport entre lui et un autre auquel renvoie nécessairement telle ou telle de ses inflexions ». Gérard GENETTE, Palimpsestes, Paris : Le Seuil, 1982, p. 8.)), et plus spécifiquement allusion ludique basée sur un double sens. Ces manipulations intentionnelles des mots n’ont pas toutes le même but ni le même effet. Il y a une différence d’ampleur entre les jeux de mots présents dans la littérature (poids de la fonction poétique dans le texte, recours à des figures différentes, etc.) ou dans la presse. Les anagrammes, acrostiches, bouts rimés, mots-valises, vers holorimes (qui riment dans leur totalité) et autres mots d’esprit ont plutôt une portée poétique. Le support concerné par cet article étant la presse, seront privilégiées d’autres formes de jeux de mots. Les contrepèteries, rébus ou charades, qui constituent plutôt des jeux de langue basés sur une unique énigme à résoudre se retrouvent plus volontiers dans la rubrique « Jeux » d’un journal ou d’un magazine, à côté des mots croisés et des blagues et histoires drôles et ne sont pas liés à un texte. La véritable vedette des jeux de mots dans la presse, et particulièrement dans les journaux, est le calembour, jeu SUR les mots qui constitue de loin la forme la plus fréquente, qu’il s’agisse de calembours phoniques ou sémiques.

Dans un journal, il n’y a aucune volonté de langage poétique ni de démonstration de virtuosité. Les jeux de mots y sont certes des instruments d’écriture mais il s’agit d’un simple jeu linguistique. Leur but est exclusivement ludique ; c’est un clin d’œil lancé au lecteur. C’est aussi une sorte d’accroche (comme le slogan publicitaire, qui constitue aussi un usage particulier du code linguistique) dont le but est d’attirer l’attention du lecteur, d’attiser sa curiosité afin qu’il ait envie de lire la suite, de l’inciter à lire plus : le chapeau et l’article lui-même, autres unités textuelles du journal. Le jeu de mots vise à faire sourire, parfois avec une pointe d’ironie ou de moquerie, voire de sarcasme et il aide à établir un décalage entre l’événement évoqué et le point de vue du journaliste.

Parfois aussi le jeu de mots peut avoir une valeur identitaire pour le journal et constitue en quelque sorte une marque, une signature du journal si les jeux de mots y sont fréquents. C’est le cas des hebdomadaires Charlie-Hebdo ((Sans oublier le nouveau venu Siné-Hebdo, dont le n° 1 est né le 10 septembre 2008. Libération titrait ce jour-là Humour et bande de Siné)), et surtout Le Canard enchaîné ; pour ce dernier qui existe depuis 1915, les jeux de mots constituent un trait significatif et distinctif par la multiplication des calembours et des jeux de langage, non seulement dans les titres mais dans le texte même des articles. C’est le cas également, bien que dans une moindre mesure, pour le journal que j’ai choisi pour cette étude, Libération. Né en 1973, cinq ans après mai 68, ce journal se situe au confluent de deux époques et veut se démarquer de la presse quotidienne de l’époque en donnant à sa rédaction une trajectoire différente, une image de journal engagé en faveur de la société.

Les jeux intertextuels donnent à l’actualité une dimension et un dynamisme le situant en dehors de l’académisme ambiant. Cette tonalité d’ensemble humoristique révèle de la part de la rédaction une volonté évidente de rendre l’actualité plus signifiante en lui donnant du relief et en instaurant avec les lecteurs une certaine connivence du fait qu’ils se retrouvent dans un espace commun. Mais Libération n’est pas un journal subversif ou mal élevé comme s’affichent ouvertement Siné-hebdo et Charlie-Hebdo. Ce qui explique que rares seront les jeux de mots dans des titres annonçant des événements graves ou douloureux ((Un titre comme Bal tragique à Colombey: un mort, paru dans Charlie-Hebdo en 1970 à la mort du Général de Gaulle, est trop frondeur et factieux pour pouvoir figurer dans Libération qui trouvera des titres allusifs mais plus respectueux, comme par exemple en 1992, pour annoncer la mort de Marlene Dietrich: Un ange a passé.)). Un autre point significatif à signaler concernant les jeux de mots est qu’ils activent, au sein du discours journalistique, la mémoire interdiscursive du lecteur. Il y a un jeu intertextuel dans la mesure où il est fait allusion à un énoncé antérieur qui sert de feed-back à l’assise du jeu de mots. Le journaliste, par son clin d’œil, semble vouloir capter les connaissances linguistiques et culturelles de ses lecteurs. Ce clin d’œil de complicité repose sur une condition primordiale: que le destinataire saisisse le jeu de mots, l’allusion. Les jeux de mots font appel à un savoir partagé, d’où la complicité, le clin d’œil ((D’où l’importance pour un apprenant de savoir capter ce message pour avoir accès à la même information qu’un lecteur francophone)).

Dans Libération, les jeux de mots sont très fréquents et limités presque exclusivement aux titres, ce qui m’a permis de constituer un premier corpus de 50 jeux de mots relevés dans 7 numéros consécutifs, du 19 au 26 mai 2008. Ce corpus est cohérent car le relevé a été systématique sur une durée déterminée et offre une moyenne de sept jeux de mots par journal, ce qui confirme leur forte présence dans Libération

Aucun journal n’est publié dans le but d’être traduit dans d’autres langues ((Le Monde diplomatique est le seul journal français, à ma connaissance, ayant une version espagnole, Le Monde diplomatique versión española, par ailleurs également intéressant du point de vue de la traduction, étant donné que de nombreux articles sont traduits de la version originale française dont la parution est antérieure.)), le destinataire étant un lecteur francophone ou comprenant le français. La traduction n’est abordée ici que comme un exercice universitaire à double finalité, linguistique et traductologique. Comme dans toute traduction, le contexte est indispensable. L’approche sera différente selon que l’on veut sensibiliser les étudiants de traduction à une simple transposition du jeu de mots de la langue de départ à la langue d’arrivée pour tester leur créativité, leur virtuosité, ou aller plus loin et respecter le contexte ou l’allusion du jeu de mots en rapport avec le contenu de l’article. On dit ou on lit souvent que les jeux de mots se situent à la limite de la traduisibilité ou appartiennent au domaine de l’intraduisible. Il n’y a pas de recettes applicables sans discrimination à tout jeu de mots, mais des ouvertures et une approche de la traduction avec peut-être quatre grands modes de traduction. La traduction isomorphe traduit le jeu de mots à l’identique : l’égalité est totale entre langue source et langue cible, avec le maintien du même modèle de composition et la reprise des mêmes termes. Par exemple, le mot- valise monumentané, formé de la fusion entre monument et momentané serait parfaitement traduit en espagnol par monumentáneo. La traduction homomorphe utilise le même procédé (calembour traduit par calembour, anagramme par anagramme, etc.) sans pour autant reprendre les mêmes termes. La traduction hétéromorphe emploiera un jeu de mots d’un type autre que celui utilisé dans le texte original. Et si aucun des trois types de traduction n’est possible, il faudra avoir recours à une traduction libre.

Dans le cas qui nous intéresse ici, le problème de traduction est ponctuel car l’impact du jeu de mots dans un titre de presse est secondaire et local. Secondaire, car priorité est donnée à l’information transmise par le jeu de mots et par l’article qui suit, le jeu de mots étant une simple accroche. Et local, parce qu’il n’y a pas de suite donnée au jeu de mots dans le texte de l’article. La seule difficulté propre au titre est de conserver la cohérence sémantique du jeu de mots avec le mot du texte qui lui fait écho. D’autre part, dans la traduction du jeu de mots d’un titre, il n’y a pas de compensation possible : on peut ou on ne peut pas traduire le titre en gardant le jeu linguistique. Il en va tout autrement pour un texte long et continu contenant des jeux de mots, où on peut omettre de traduire un jeu de mots de la langue de départ et en placer un plus loin, là où il n’y en a pas dans la langue de départ mais où la langue d’arrivée nous permet de compenser la perte antérieure.

Pour pouvoir apprécier un jeu de mots, le lecteur doit tout d’abord le comprendre. N’oublions pas que le traducteur est le lecteur parfait qui doit tout saisir, analyser, appréhender, interpréter... Parfois, le lecteur étranger pourra repérer un jeu de langage volontaire sans pour autant le comprendre et ce pour diverses raisons : soit la connotation culturelle ou socioculturelle lui est inconnue, soit le jeu linguistique est trop savant, basé sur un lexique spécifique, sur des expressions obsolètes ou des proverbes qu’il lui faudrait connaître afin de les reconnaître dans un contexte altéré, ...

L’influence de la langue de départ est également à considérer. Le fait que les deux langues soient de même origine n’est pas toujours un atout de réussite sans failles. Il semblerait que la plasticité de la langue française lui permette de mieux jouer sur les mots que d’autres langues, ce qui explique la profusion constatée de jeux de mots en français. Il suffit pour cela de voir dans tout contexte francophone les jeux sur les noms de boutiques, les slogans publicitaires ((En un seul jour, les exemples de jeux de mots que j’ai trouvés ont été nombreux. Dans l’avion qui me menait à Lyon, le magazine de la compagnie aérienne montrait une publicité pour un canapé-lit affichant ce slogan: « C’est le jour et la nuit ! ». Libération offrait, sur la une et en 4ème de couverture, deux titres à jeux de mots (« Le télé-commandeur », « Il met le Ola »). Même Le Monde y allait de son jeu de mots pour parler du romancier Paul-Loup Sulitzer en intitulant son article « Le roi nu ». À l’entrée du centre-ville, le slogan de Lyon nous accueillait partout avec cette anagramme : Only Lyon.)). L’influence de la langue d’arrivée compte tout autant, sachant que les jeux de mots n’y sont pas si répandus ou habituels. C’est le cas de la langue espagnole dont la suprématie, cependant, a été constamment vérifiée, dans d’autres domaines comme la parémiologie, ainsi que pour ce qui est de l’expressivité des expressions et locutions populaires.

On constate que la création de jeux de mots serait tout à fait possible en espagnol à partir, par exemple, de certaines homophonies : « ligar/lugar/lagar », pour ne donner qu’un exemple. La polysémie fonctionne également : « llama » (flamme) ou « llama » (du verbe « llamar »). « Halagar » + « ligar » pourrait former le mot-valise haligar ou Es un haligón. Mais parfois la traduction d’un jeu de mots, si bonne soit-elle et même donnant un jeu de mots acceptable dans la langue d’arrivée, peut sembler étrange à des oreilles espagnoles, non pas du fait d’une mauvaise adaptation du jeu de mots mais du manque d’habitude d’être confronté à des jeux de mots en général et dans les titres de presse a fortiori. La presse espagnole favorisera davantage l’humour par des dessins humoristiques ou satiriques, les « viñetas » qui accompagnent certains articles ou traduisent en première page un point important de l’actualité du jour, tel ce dessin de Idígoras y Pachi, paru le 12 octobre 2008 à la une du quotidien El Mundo, dans lequel l’humour est, une fois n’est pas coutume, basé sur un jeu de mots, entre « coñazo » et « cojonudo ».

L’étude plus détaillée de certains exemples du corpus relevé nous montre la difficulté, voire l’impossibilité, de rendre les jeux de mots dans la langue espagnole. Une première série d’exemples illustre l’emploi d’implicites culturels. Le titre 1 est basé sur une homophonie entre « sept extra », faisant allusion aux sept victoires de l’équipe de football de Lyon, et la chanson de Léo Ferré, C’est extra. Toutes les autres allusions à des chansons connues, donc reconnues par le public français, n’ont aucune chance d’être traduites, comme les exemples 13 (Mon Amérique à moi de Jacques Brel), 26 (La valse à mille temps de Jacques Brel) ou 29 (C’est mon fils, ma bataille de Daniel Balavoine). Les exemples de polysémie à l’origine du jeu de mots français sont également très nombreux et correspondent rarement à une même polysémie espagnole, seule possibilité pour respecter le doublet utilisé dans le corps de l’article : 15 (licenciée = licenciada + despedida), 19 (presser = tener prisa + exprimir , à quoi il faudrait ajouter la présence de l’expression « orange pressée »), 22 (sortir = salir + sacar), 23 (repêcher, au sens propre et au sens figuré = sacar del agua + ayudar), 36 (puce : pulga + chip, à quoi il faudrait ajouter la présence de l’expression «mettre la puce à l’oreille »), etc. Mais la palme revient, en fréquence et impossibilité de traduction, par les homophones et paronymes, particulièrement féconds dans les titres de Libération : 2 (cassé/classé), 4 (mourir/pourrir), 8 (face/fesse), 10 (court/coup, à quoi il faudrait ajouter l’expression « coup double »), 17 (maux/mots), 18 (mourir/mûrir, à quoi il faudrait ajouter l’expression « mourir de plaisir »), 27 (saint/sein), 31 (spore/sport), 32 (si bon gars/Tsonga), 35 (fête des mères/faites des mères, à quoi il faudrait ajouter la phrase figée: Faites des enfants, qu’y disait), etc.

Il n’en reste pas moins que l’étude des jeux de mots constitue un exercice de traduction intéressant car, comme toujours, la traduction est un exercice révélateur de tous les mécanismes linguistiques, processus ou usages. Le traducteur est le lecteur parfait qui doit capter, comprendre et savoir appréhender toutes les facettes du discours à travers la succession de mots qui lui est présentée (l’explicite, l’implicite, les connotations, les références culturelles, etc.). Ce contact avec la culture de l’autre se perçoit à travers l’usage différent qui est fait des jeux de mots en France et en Espagne, à travers la difficulté d’appréhender cet usage inhabituel et à travers la difficulté de le traduire avec un impact similaire. Et finalement, le titre de cette étude devrait plutôt être : Les jeux de mots dans la presse française et... comment les traduire ?

Annexe 1 : Classification des jeux de mots selon Pierre Guiraud

 

 

Enchaînement

axe syntagmatique, in praesentia, contiguïté, métonymie

Substitution 

axe paradigmatique, in absentia, similarité, métaphore

Inclusion

axe syntagmatique, déplacement, métathèse

Phonétique concaténation, rimes enchaînées homonymie, équivoque, calembour, holorimes anagramme, contrepèterie, logogriphe, palindrome
Lexical concaténation, cadavres exquis, écriture automatique synonymie, calembour, charade acrostiche, chronogramme, métabole, rimes brisées

 

Annexe 2 : Les jeux de mots dans Libération

1. Sept extra pour les Lyonnais
2. Lorenzo, cassé bien classé
3. Bon pour le « Serbis »
4. Voir Naples et pourrir
5. Italie, un pays sous effluences
6. Le baril de pétrole fait tanguer la pêche française
7. Mise à pied des sabots Crocs
8. Les Pyrénées par la fesse nord
9. Mariage blanc et « Silence » noir
10. Courts doubles
11. L’attaquant pacifiste
12. Les sornettes du Net
13. Obama, son Amérique à lui
14. La candidate Ségolène Royal retourne au charbon en Lorraine
15. Presque licenciée ex-lettres
16. À corps et à « Cri »
17. « Sx.rx.sx », les maux pour se dire
18. Femmes, pour mûrir de plaisir
19. Orange pressé
20. Il n’y a plus de pilote dans l’avion
21. Premier de la place
22. A défaut de sortir du bois, Bertrand Delanoë sort un livre
23. Les marins repêchés par le plan d’urgence du gouvernement 
24. Zižek se désaxe
25. Grain de Rhys
26. Valse à mille-pattes
27. Regard froid et saint chaud
28. Le vynile rempile
29. C’est ma plaque, ma bataille. 
30. Vlaminck, tout Chatou
31. L’art, terrain de spores ?
32. Pas si bon gars
33. Millenium tient le haut des pavés
34. Les gays ont trouvé la parade à Sao Paulo
35. Faites des mères, qu’y disait
36. Universal et la Société Générale mettent la puce à l’oreille 37. Tous les coûts ne seront plus permis
38. Cantet, la classe !
39. Mai 68, sous les pavés le casque
40. Les évangélistes, accros à Dieu et prosélytes en diable
41. L’actionnariat, inamicalement vote
42. Cantet, la grande classe
43. Entre les murs. L’éclat de l’école
44. La palme avait tout juste
45. Le party pris des inconnus
46. Le vol de nus est annulé
47. Al Green, toujours vert
48. Règlement de comptes au musée du Luxembourg
49. Chaumont affichionado
50. Du bon usage des faux 

 Notes

 

Communication issue de la deuxième rencontre hispano-française de chercheurs (SHF-APFUE) qui s'est déroulée du 26 au 29 novembre 2008 à l'École Normale Supérieure de Lyon.

 

Pour citer cette ressource :

Maryse Privat, "Les jeux de mots dans la presse française et leur traduction en espagnol", La Clé des Langues [en ligne], Lyon, ENS de LYON/DGESCO (ISSN 2107-7029), mars 2010. Consulté le 27/04/2024. URL: https://cle.ens-lyon.fr/espagnol/langue/traduction/les-jeux-de-mots-dans-la-presse-francaise-et-leur-traduction-en-espagnol