Liste des résultats
Il y a 12 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
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French Toast, Fatherhood and Fallibility in Kramer vs Kramer (1979)
par Elsa Benamouzig,
publié le 17/12/2023
- In 1979, Robert Benton’s film Kramer vs Kramer set a new path for family dramas in Hollywood. The acclaimed movie follows the journey of Ted Kramer from absent to great father as a single dad, including a portrayal of his failures and vulnerabilities. His divorce and unusual position as the main care-taker of his child changed the perception of the father’s role not only in the movies, but also in American households.
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“Television is more suited to tell women’s stories”: A conversation with Frances McDormand
par Frances McDormand,
publié le 23/03/2020
- Frances McDormand, an American actress and producer, was invited to the Festival Lumière in Lyon in 2019. She gave a Masterclass in which she talked about being an actress in Hollywood, gender representation and the inclusion rider.
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Masterclass de Guillermo del Toro - Festival Lumière 2017
par Guillermo del Toro, Didier Allouch,
publié le 06/03/2018
- À l'occasion du Festival Lumière de 2017, Guillermo del Toro est venu à Lyon présenter en avant-première son dernier film, The Shape of Water, qui vient de remporter l'Oscar du Meilleur Film. Il a rencontré le journaliste Didier Allouch lors d'une Masterclass donnée à la Comédie Odéon, dans laquelle il évoque l'impact que son éducation catholique a eu sur son art et la relation qu'entretient notre société avec le cinéma et les images. Ce texte est une retranscription éditée de l'entretien.
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Broken Arrow / La flèche brisée (Delmer Daves - 1950) et Devil's Doorway / La porte du diable (Anthony Mann – 1950)
par Lionel Gerin,
publié le 09/10/2017
- En juillet 1950 sort Broken Arrow, premier western de Delmer Daves. En septembre de la même année sort Devil's Doorway, premier western d'Anthony Mann.
Coïncidence ? Quelque chose semble être dans l'air et le genre est peut-être mûr pour une nouvelle approche de la représentation des amérindiens.
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Violent Saturday / Les inconnus dans la ville (Richard Fleischer – 1955)
par Lionel Gerin,
publié le 15/03/2017
- Trois hommes débarquent dans une petite ville américaine. Ils sont venus pour dévaliser la banque, un samedi, à la fermeture. Le hold-up va impliquer nombre d'habitants et révéler leurs secrets et les zones d'ombre de la ville en question. Le film, à l'instar du hold-up, est une mécanique de précision. En 90 minutes, savoir-faire oblige, Fleischer dresse un certain portrait de l'Amérique, à travers une galerie de personnages, tous crédibles, servis sur un pied d'égalité, sans moralisme bon marché.
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Laura (Otto Preminger – 1944)
par Lionel Gerin,
publié le 15/03/2017
- L'histoire, c'est celle de Pygmalion, revisitée par Hollywood, sous la direction d'Otto Preminger. Waldo Lydecker, chroniqueur aristocrate mondain, prend sous son aile une jeune publiciste, Laura. Il en fait sa "chose" et la conduit au succès. Elle rencontre Shelby, gigolo charmeur, et s'en éprend au point de vouloir l'épouser. Elle est assassinée. L'inspecteur Mark McPherson mène l'enquête. Film sur le pouvoir de la création et du désir, Laura marque une date dans l'histoire alors naissante du film noir, et lui donne une dimension autre.
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Little Fugitive / Le petit fugitif (Morris Engel, Ray Ashley and Ruth Orkin - 1953)
par Lionel Gerin,
publié le 25/11/2016
- En regardant les anciens reportages de Life, les photos de Vivian Maier et de Saul Leiter, on se prend parfois à rêver. C'était comment New York, Brooklyn, dans les années 50 ? Pour le savoir, on peut rechercher les articles et les photos susmentionnés, relire quelques romans. On peut également voir Little Fugitive. En cette décennie où Hollywood dominait, Le petit fugitif, film de photographes, en partie autofinancé, avait toutes les chances de passer inaperçu, et de finir aux oubliettes. Heureusement pour nous, il n'en fut rien.
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Antoine Sire présente L'héritière (William Wyler - 1949)
par Antoine Sire,
publié le 18/10/2016
- Antoine Sire est l'auteur de Hollywood, la Cité des femmes, premier ouvrage à retracer avec précision la trajectoire des femmes qui ont construit le mythe hollywoodien. Il est venu présenter le film L'héritière de William Wyler le 11 octobre 2016 au Comoedia dans le cadre du Festival Lumière et de la rétrospective consacrée aux actrices de l'âge d'or d'Hollywood.
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Vanishing Point / Point limite zéro (Richard Sarafian - 1971)
par Lionel Gerin,
publié le 13/09/2016
- Quand sort Vanishing Point, en 1971, le Nouvel Hollywood bat son plein. Initié dès les années 60 par des films comme The Graduate (Le lauréat) de Mike Nichols, ou Bonnie and Clyde d'Arthur Penn, ce "nouveau cinéma" a ouvert le champ à une autre Amérique, à ses laissés pour compte, ses losers. Longtemps tus, sinon interdits sur les écrans, beaucoup de problèmes commencent alors à être abordés: la sexualité sous tous ses aspects, les drogues, les violences conjugales et parentales, l'univers carcéral, la maladie mentale, le traitement des minorités, toutes les hypocrisies d'une société bourgeoise polissée, les mensonges de l'American Dream. La guerre même n'est plus héroïque, le Vietnam occupe toute l'actualité.
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Bertrand Tavernier sur le cinéma américain
par Bertrand Tavernier, Clifford Armion,
publié le 20/10/2014
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Dans le cadre du Festival Lumière 2014, Bertrand Tavernier évoque certaines grandes étapes de l’histoire du cinéma américain depuis les années 20 jusqu’aux années 60. Ancien critique, celui que l’on connait surtout pour ses films (L'Horloger de Saint-Paul, Un Dimanche à la campagne, Dans la brume électrique…) est aussi l’auteur de plusieurs livres sur le cinéma, notamment Amis Américains, un important ouvrage d’entretiens avec les grands auteurs d’Hollywood (Institut Lumière/Actes Sud, 2008).
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Rêve américain, Rêve d’Amérique : une introduction
par Morgane Jourdren ,
publié le 08/03/2010
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« J'avoue que dans l'Amérique, j'ai vu plus que l'Amérique ». Cette célèbre formule d'Alexis de Tocqueville ne résume-t-elle pas à elle seule l'histoire d'une terre qui, dès l'aube de l'Humanité, a habité les esprits, enflammé les imaginations et délié tant la plume que les langues ? Comment définir le rêve américain ? Comment l'Amérique, au sens métaphorique du terme, se manifeste-t-elle en terre américaine et à Hollywood en particulier ?
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Le Rêve Imposé ou la Machine Hollywoodienne au Service de l’Idéologie Dominante
par Morgane Jourdren ,
publié le 04/03/2010
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Hollywood, en particulier, dès les années 1930-1940, joue le premier rôle dans une véritable entreprise de conditionnement des esprits menée par la société dominante auprès des populations, notamment auprès de ces couches populaires que l'on juge potentiellement dangereuses. Comment la Mecque du cinéma a-t-elle progressivement mais sûrement imposé le rêve américain à l'écran ? Quelles images, ancrées dans l'inconscient collectif, a-t-elle projetées pour fédérer tout un peuple autour de l'American Way of Life ?