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Recherche multi-critères

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Narrative Identität in dem Hörspiel "Die Panne" von Friedrich Dürrenmatt par Matthias Leimbach, publié le 10/03/2014
Dans Die Panne (1956), Friedrich Dürrenmatt aborde la question de la justice (Gerechtigkeit) et de la culpabilité qui traverse toute son œuvre. Une nuit, suite à une panne de voiture, Alfredo Traps trouve l’hospitalité chez un juge retraité. À la demande des amis présents, Traps participe à la mise en scène de son propre procès et finit même par en accepter le verdict, la condamnation à mort. Comment expliquer l’attitude de Traps face à un jugement qui est parfaitement injuste ? Comment en vient-il à endosser une culpabilité qu’il niait au début du procès ? Mathias Leimbach propose une explication qui met en avant l’image que le personnage se construit de lui-même et la façon dont cette image fait l’objet d’une négociation permanente à travers le discours de chacun des protagonistes. Le récit de soi et sa version reformulée par le tribunal montrent le pouvoir manipulateur des mots. In der Panne steht das Gerichtsspiel der Alten im Vordergrund. Zu diesem gesellt sich das Spiel mit den Identitätsentwürfen, welches die Anwälte als eine Art mise en abyme betreiben und somit metatextuell auf Dürrenmatts Konzept der möglichen Erzählungen referieren. Dürrenmatt deckt die Macht der Erzählung auf. Die verschiedenen Erzählungen haben eine wichtige Bedeutung für Dürrenmatts Frage nach Schuld, denn sie zeigen, dass es in der modernen Welt keine eindeutigen Antworten mehr gibt. Die Bewertung von Schuld hat ihre objektiven Kriterien verloren. Um dies zu konkretisieren: Objektivität ist nicht mehr möglich, weil sie immer von einer Darstellung, einer Erzählung abhängig ist. Dürrenmatt zeigt auf, dass es immer verschiedene Versionen einer Wahrheit gibt. Somit ist die Erzählung an sich unbedeutend, da austauschbar.
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"Ulrike Meinhof als naturbelassene Bikinischönheit": Das Medienspektakel um Bettina Röhls Buch "So macht Kommunismus Spaß! Ulrike Meinhof, Klaus Rainer Röhl und die Akte Konkret" par Katrin Raehse , publié le 02/11/2010
Bettina Röhls Buch "So macht Kommunismus Spaß", 2006 erschienen, setzt sich mit der Vergangenheit ihrer Eltern, Ulrike Meinhof und Klaus Rainer Röhl, auseinander. Das Buch erzählt ihre Jugend, ihr politisches Engagement bis 1968 und ihre Zusammenarbeit bei der Zeitschrift Konkret. Ulrike Meinhof wurde in den siebziger Jahren mit Andreas Baader zur Leitfigur der Roten Armee Fraktion. Bei seiner Erscheinung hat Bettina Röhls Buch großes Aufsehen erregt. Anlässlich des Kolloquiums "Les mémoires des enfants. Héritages et narrations des années 1968" greift Katrin Raehse die Zeitungskritiken wieder auf und geht auf Bettina Röhls Verhältnis zur Mutter und zur 68er-Bewegung ein.
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"Der Untertan" de Heinrich Mann, un roman psychologique ? par Anne Lemonnier-Lemieux, publié le 31/01/2009
Anne Lemonnier-Lemieux analyse le personnage principal Diederich Heßling de Der Unetrtan de Heinrich Mann à la lumière de l’essai de Freud presque contemporain du roman puisque paru en 1921 et intitulé Massenpsychologie und Ich-Analyse. Il en ressort que le comportement de Diederich, individu de masse projetant sur la figure de domination qu’est Guillaume II, s’explique aussi par des ressorts psychologiques tels que le refoulement, l’identification à la masse et le complexe oedipien. Der Autor geht an den Roman Der Untertan von Heinrich Mann auf eine originelle Weise heran. Der Untertan hat einen unwiderlegbaren historischen und politischen Anspruch. Die Hauptfigur Diederich Heßling wird anhand von Freuds Essai Massenpsychologie und Ich-Analyse analysiert. Daraus geht hervor, dass Diederichs Verhalten, der ein Masseindividuum ist, auch psychologisch erklärt werden kann (Verdrängung, Identifizierung mit der Masse, Ödipuskomplex).
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DDR-Autor Ulrich Plenzdorf: die Helden der "Neuen Leiden des jungen W." und der "Legende von Paul und Paula" / "Legende vom Glück ohne Ende" als Quelle künstlerischer Erneuerung par Belinda Kunz-Burroni, publié le 07/10/2008
L’article décrit le rapport complexe de Plenzdorf au réalisme socialiste. Les personnages de Die Legende von Paul et Paula / Die Legende vom Glück ohne Ende et d’Edgar dans les Neuen Leiden des jungen W. ne sont pas comparables aux héros positifs du réalisme socialiste. Plenzdorf introduit la subjectivité dans la narration et invente un nouveau réalisme.
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La mémoire privée familiale : témoignages par Alice Volkwein, publié le 25/03/2008
On présentera ici des extraits issus d'entretiens menés avec deux familles opposées dans leur parcours biographiques et dans leur attitude actuelle face à la mémoire de la fuite et de l'expulsion. Il ne s'agit là que de deux exemples choisis volontairement pour leurs différences, le spectre de réactions et d'attitudes face à cette mémoire étant bien sûr beaucoup plus large.
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"Wer spricht?" Über Tempora, Pronomina und Grenzverwischungen in Christa Wolfs "Kein Ort. Nirgends" par Emmanuelle Prak-Derrington, publié le 06/03/2008
Christa Wolfs Bücher gehören zu den meistgelesenen Werken deutscher Schriftsteller im Ausland. Ihre Werke rufen bei dem Leser entweder ungeteilte Zustimmung oder auch heftige Ablehnung hervor. In diesem Aufsatz wird untersucht, warum ihre Prosa, die oft als « Bekenntnisdichtung » beschrieben wird, auch eine « stellvertretende » Dichtung ist - eine Dichtung, die neben den Stimmen der Figuren immer die Stimme des Lesers mit einbezieht. In « Kein Ort. Nirgends » werden nämlich die Grenzen zwischen der Frühromantik und der DDR, zwischen Fiktion und Nicht-Fiktion, zwischen Autorin und Leser, kunstvoll verwischt. Wann sagt wer wem was? Wer spricht? Die Mehrdeutigkeit des Lesepakts, der Gebrauch des Präsens, der Pronominalwechsel, schließlich der Gebrauch des deiktischen WIR werden untersucht, als die wichtigsten linguistischen Mittel, die zu diesen Grenzverwischungen beitragen. Gezeigt wird, wie diese Mittel erlauben, die damalige Zensur zu umgehen und die Kritik an den Verhältnissen in der DDR zu verschleiern.
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"Flucht und Vertreibung" dans la mémoire privée familiale par Alice Volkwein, publié le 25/04/2007
En s'appuyant sur la distinction établie par l'historien Reinhart Koselleck entre « l'Histoire au singulier » (« die Geschichte im Singular ») et « histoires au pluriel » (« Geschichten im Plural »), il s'agit ici de se pencher sur ces « histoires au pluriel » de la fuite et de l'expulsion. Le terme « d'histoires au pluriel » invite à s'interroger sur leur singularité ainsi que sur leur origine et leur évolution dans le jeu d'interaction constante avec « l'Histoire au singulier », comme science historique ou comme version officielle du passé. Il s'agit aussi de prendre en compte le caractère narratif de ces récits de mémoire privés qui se présentent à nous sous forme d'histoires au sens de fables, contes, historiettes. Ceux-ci ne sont pas soumis aux critères de vérité, mais relèvent, au contraire, d'un art du récit dont les règles influent de manière décisive sur la forme et le contenu de ces histoires et, par là, de cette mémoire communicative. On présentera ici quelques clefs pour l'analyse de récits de mémoire recueillis dans le cadre d'une étude menée fin 2005 auprès de 5 familles d'expulsés originaires de Silésie ou de Poméranie et résidant aujourd'hui à Berlin. Les récits de mémoire seront abordés dans leur contexte familial en s'interrogeant tout d'abord sur les différences au niveau de la forme et du contenu entre les familles. Il s'agira ensuite de se poser la question de l'influence du cadre générationnel sur ces récits de mémoire familiaux.
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