La dictature militaire argentine, de 1976 à 1983, est tristement célèbre pour l’énorme répression qui a été mise en place durant cette période, dans l’objectif d’une « réorganisation nationale » qui ne peut se faire qu’en luttant « contre la subversion ». Des milliers de personnes en ont été les victimes : la torture, les exécutions et les disparitions deviennent quelque chose de quotidien dans le pays. De nombreux centres clandestins de détention et de torture sont ouverts et une grande partie des prisonniers n’en est jamais revenue. Parmi ces personnes, il y avait des femmes avec des enfants ou des femmes enceintes. Cet article, comprenant des témoignages traitant du sujet de ces enfants disparus, détaille le contexte historique.
Con ocasión de la conmemoración de los 40 años del golpe de estado militar en la Argentina la asociación Sol-Ar (Solidaridad con Argentina) organizó un encuentro con víctimas de la represión. Aprovechamos la ocasión para pedirle una entrevista a Macarena Gelman que muy amablemente accedió. La entrevista tuvo lugar el 4 de abril de 2016 en un bar cerca del IEP de Lyon donde Macarena Gelman había dado una charla.
Tout au long des années de plomb en Argentine (1976-1983), une violence souterraine, clandestine et silencieuse règne dans le pays, par le biais de la généralisation de la « disparition forcée ». Cette méthodologie criminelle se cristallise en une multitude de stratégies mises en œuvre par la junte militaire au pouvoir. Le présent travail s'efforcera de mettre en lumière ces mécanismes silencieux.
Tras la noticia de la legalización del aborto en Argentina, parece pertinente cuestionar el alcance histórico del movimiento feminista argentino, caracterizado por su fuerza reivindicativa. Este estudio tendrá dos objetivos. Primero, presentar la construcción y el desarrollo del movimiento anarcofeminista argentino en los siglos XIX y XX, aún relativamente poco estudiado. Luego, iniciar un cuestionamiento sobre las raíces históricas de los feminismos argentinos contemporáneos.