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À consulter également

4 ressources contiennent le mot-clé Guillaume II.

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"Der Untertan", tableau critique de son temps

par Alain Muzelle, publié le 03/02/2009

article.png Heinrich Mann dans "Der Untertan" critique la bourgeoisie wilhelminienne, son matérialisme, son culte de l'argent. Il dénonce sa fascination pour une classe aristocratique qui pourtant les méprise, fascination servile incarnée par Diederich Heßling, ce sujet de l'empereur. Cette critique s'exprime tant dans le détournement ironique du genre romanesque du roman d'éducation que dans l'usage de la satire et la multiplication des perspectives narratives, qui empêchent l’identification du lecteur. Heinrich Mann in Der Untertan hat vor, die wilhelminische Gesellschaft satirisch darzustellen. Er kritisiert den Materialismus des Bürgertums, die Verehrung des Geldes. Er denunziert die Faszination der kleinen Bürger für die Aristokratie, die sie verachtet, die unterwürfige Faszination von Diederich Heßling. Diese Kritik drückt sich durch die parodistische Benutzung des Bildungsromans aus, die durch die Satire und den Wechsel der Erzählperspektive jegliche Identifizierung mit den Romanfiguren verhindert.

"Der Untertan" d’Heinrich Mann et la tradition du "Bildungsroman" : éléments de réflexion

par Frédéric Teinturier, publié le 02/02/2009

article.png Le roman Der Untertan entretient avec la tradition du Bildungsroman de langue allemande un rapport à la fois évident et complexe : Heinrich Mann reprend les éléments constitutifs du genre mais présente une négation stratégique de ce type de roman. En outre, la parodie ou le retournement du roman d'éducation hérité du XVIIIe siècle ne sont pas la seule allusion à l'histoire littéraire dans ce roman parfois contradictoire. Heinrich Manns Roman steht mit der Tradition des deutschen Bildungsromans in einem zugleich deutlichen und komplexen Verhältnis. Heinrich Mann nimmt die Elemente des Bildungsromans wieder auf, stellt aber eine strategische Negierung dieses Genres vor. Die Parodie des Bildungsromans aus dem 18. Jahrhundert sind nicht die einzigen Anspielungen auf die Literaturgeschichte.

"Der Untertan" de Heinrich Mann, un roman psychologique ?

par Anne Lemonnier-Lemieux, publié le 31/01/2009

article.png Anne Lemonnier-Lemieux analyse le personnage principal Diederich Heßling de Der Unetrtan de Heinrich Mann à la lumière de l’essai de Freud presque contemporain du roman puisque paru en 1921 et intitulé Massenpsychologie und Ich-Analyse. Il en ressort que le comportement de Diederich, individu de masse projetant sur la figure de domination qu’est Guillaume II, s’explique aussi par des ressorts psychologiques tels que le refoulement, l’identification à la masse et le complexe oedipien. Der Autor geht an den Roman Der Untertan von Heinrich Mann auf eine originelle Weise heran. Der Untertan hat einen unwiderlegbaren historischen und politischen Anspruch. Die Hauptfigur Diederich Heßling wird anhand von Freuds Essai Massenpsychologie und Ich-Analyse analysiert. Daraus geht hervor, dass Diederichs Verhalten, der ein Masseindividuum ist, auch psychologisch erklärt werden kann (Verdrängung, Identifizierung mit der Masse, Ödipuskomplex).

Agnes Göppel, héroïne romantique, inadaptée à "la dureté des temps"

par Aline Le Berre, publié le 29/01/2009

article.png Aline Le Berre se penche sur le rôle d’Agnes Göppel, amante malheureuse, repoussée par Diederich dans Der Untertan d’Heinrich Mann. S’appuyant sur plusieurs modèles littéraires (Fontane, Stendhal, Flaubert), Heinrich Mann oppose les aspirations romantiques d’Agnes, son caractère introverti, contemplatif et soumis, au tempérament petit-bourgeois, grégaire et matérialiste de Diederich, dont la double personnalité se dessine en surimpression. Agnes s’avère cependant un personnage plus complexe qu’il n’y paraît, à la fois « femme fragile » mais aussi femme autonome qui finit par s’insérer dans la société bourgeoise. Agnes Göppel wird im Roman der Untertan von Heinrich Mann von Diederich abgestoßen. Heinrich Mann stützt sich auf mehrere Vorlagen (Fontane, Stendhal, Flaubert) und setzt das romantische Temperament Agnes’, ihre zurückhaltende, passive und unterworfene Haltung, dem kleinbürgerlichen, ehrgeizigen und der Masse unterworfenen Charakter Diederichs, der eine sehr ambivalente Persönlichkeit ist.