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Recherche multi-critères

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Le corps dans les réécritures zombies de Pride and Prejudice par Véronique Maillard, Virginie Thomas, publié le 06/05/2015
Nombreuses sont les réécritures fantastiques de textes canoniques datant du XIXe siècle. Ce phénomène à la mode se caractérise par l’introduction de créatures surnaturelles au sein d’œuvres réalistes. Pride and Prejudice de Jane Austen est l’une de ces œuvres prisées des auteurs contemporains se livrant à ce type de pratique littéraire. C’est ainsi que deux auteurs différents, Seth Grahame-Smith et Steve Hockensmith, se sont intéressés à cette œuvre. Seth Grahame-Smith a, le premier, « révisé » le texte de Jane Austen en une version zombie intitulée Pride and Prejudice and Zombies (2009), suite à quoi Steve Hockensmith a écrit un prequel et un sequel respectivement intitulés Pride and Prejudice and Zombies, Dawn of the Dreadful (2010) et Pride and Prejudice and Zombies, Dreadfully Ever After (2011)
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Horizons nouveaux, Souli (Alexander Abela) et Stage Beauty (Richard Eyre) : deux versions d’Othello en marge, à l’horizon du texte par Anne-Marie Costantini-Cornède, publié le 21/10/2011
Le paradoxe de l'essai cinématographique, de l'adaptation « librement inspirée de William Shakespeare », nous est désormais familier. La réécriture hybridité, modernisation ou parodie post-moderne, qui inscrit l'espace du texte filmique dans d'autres horizons, créant nouveauté et surprise, relève d'une imitation différentielle, à la fois proche et différente du modèle. Alexander Abela et Richard Eyre bousculent les conventions dans leur version d'Othello, (2004) Alors qu'il explore les ressorts archétypaux de l'humeur jalouse, le cinéaste - auteur prend des libertés avec l'histoire, le contexte, ou les conventions d'un genre. La démarche interprétative, indirecte, est cependant de nature différente dans les deux films.
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De Saxo à Axel, de Hamlet au Prince de Jutland : du texte source au cinéma, réécritures et résurgences de l’Histoire par Anne-Marie Costantini-Cornède, publié le 12/09/2011
Le Prince de Jutland réalisé par le cinéaste danois Gabriel Axel en 1994 transpose à l'écran les Gesta Danorum, la chronique transcrite par le clerc Saxo Grammaticus vers 1200. Cet article étudie les enjeux culturels et esthétiques de cette fidèle transposition de la source de la tragédie de Shakespeare selon une approche contrastive entre le texte source, les dérivés et le film. Il envisage les écarts avec le héros tragique au travers du récit des exploits du prince Amled, la question de la transformation générique, le refus du tragique et le retour vers le genre épique, et le passage du mode verbal à un mode visuel dépouillé.
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En attendant les barbares de Coetzee : réécrire la mort du Christ, refuser la Croix par Maxime Decout, publié le 09/10/2009
Ecrivain du XXIe siècle, Coetzee propose dans Waiting for the Barbarians une réécriture de la Passion du Christ qui interroge le rôle de la souffrance individuelle ou collective. L’homme chargé de vivre ce nouveau Calvaire découvre la vanité de la souffrance dans un monde privé de Dieu ainsi que l’impossibilité de toute rédemption. Cette communication tente de dépasser une lecture politique du texte en s’intéressant au fonctionnement de l’intertexte biblique.
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Une réécriture gourmande du roman de langue anglaise : celle du pasticheur par François Gallix, publié le 09/10/2009
Cette communication a deux axes. Quelques considérations théoriques sur la technique du pastiche littéraire comme écriture imitative intertextuelle sont suivies d’ exemples extraits de la littérature de langue anglaise contemporaine (notamment Peter Ackroyd, David Lodge et Mark Crick), soulignant ce qu’A.S. Byatt appelle “greedy rewriting“, cette réécriture gourmande des textes canoniques qui fait littéralement revivre les récits des écrivains du passé proche ou lointain.
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Intertextualité et interculturalité par Redouane Abouddahab, publié le 09/10/2009
La parodie des Mille et une nuits par Poe dans « The Thousand-And-Second Tale Of Scheherazade » est bien plus qu’un exercice littéraire ludique comme on l’a souvent souligné. Cette parodie a été écrite pendant la grande période de développement du nationalisme américain dans un contexte particulièrement marqué par le populisme. C’est pendant cette période que la volonté d’avoir une littérature et une langue « purement américaines » commencent à s’imposer. Triomphe aussi de l’idéologie puritaine bien implantée, qui assujettit les nouveaux arrivants à sa propre vision et à ses propres mythes fondateurs.
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Actes de la Journée d'étude sur l'intertextualité dans le roman contemporain de langue anglaise par Emilie Walezak, Jocelyn Dupont, publié le 18/09/2009
C'est en 1969, une fois l'auteur laissé pour mort par Roland Barthes, que Julia Kristeva inaugura en français le terme d'« intertextualité » pour caractériser cette pluralité sémantique inhérente à tout système textuel, selon laquelle « tout texte se construit comme une mosaïque de citations, tout texte est absorption et transformation d'un autre texte » (Kristeva 145).
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