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Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 3 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Jonas Lüscher: "Haben Sie Humor, wenn Sie alleine sind?"... par Jonas Lüscher, publié le 10/05/2019
Ce texte inédit de Jonas Lüscher a été rédigé en avril 2018 dans le cadre des Assises Internationales du Roman (Lyon, mai 2018). Lüscher y évoque l'importance de l'humour et de l'ironie dans son écriture, qu'il voit par ailleurs comme les racines du roman.
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"Nußknacker und Mausekönig", conte de Hoffmann par Aline Le Berre, publié le 04/05/2009
Dans Nußknacker und Mausekönig, tous les ingrédients du conte populaire sont présents: recours à des types plutôt qu'à des caractères, trame narrative conventionnelle, large place accordée au merveilleux. Il est question d'un casse-noisettes, qui se révèle être un prince envoûté, et d'une petite fille, Marie, appelée à le délivrer en surmontant un certain nombre d'épreuves. Pourtant Hoffmann, reste un écrivain ambivalent, qui pratique en virtuose la célèbre ironie romantique. Aussi met-il en place un système de distanciation par l'utilisation du grotesque, de la parodie, de l'inadéquation. Ecrivain du XIXe, il entreprend toute une réflexion sur le conte populaire qui passe par la distanciation ironique.
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"Der Untertan", tableau critique de son temps par Alain Muzelle, publié le 03/02/2009
Heinrich Mann dans "Der Untertan" critique la bourgeoisie wilhelminienne, son matérialisme, son culte de l'argent. Il dénonce sa fascination pour une classe aristocratique qui pourtant les méprise, fascination servile incarnée par Diederich Heßling, ce sujet de l'empereur. Cette critique s'exprime tant dans le détournement ironique du genre romanesque du roman d'éducation que dans l'usage de la satire et la multiplication des perspectives narratives, qui empêchent l’identification du lecteur. Heinrich Mann in Der Untertan hat vor, die wilhelminische Gesellschaft satirisch darzustellen. Er kritisiert den Materialismus des Bürgertums, die Verehrung des Geldes. Er denunziert die Faszination der kleinen Bürger für die Aristokratie, die sie verachtet, die unterwürfige Faszination von Diederich Heßling. Diese Kritik drückt sich durch die parodistische Benutzung des Bildungsromans aus, die durch die Satire und den Wechsel der Erzählperspektive jegliche Identifizierung mit den Romanfiguren verhindert.
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