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«Zwei Männer in Betrachtung des Mondes» (1819) - Caspar David Friedrich

par Claire Milcent, publié le 29/11/2020

article.png Analyse du célèbre tableau "Zwei Männer in Betrachtung des Mondes" (1819) de Caspar David Friedrich, chef d’œuvre du Romantisme allemand

La rue dans le cinéma expressionniste allemand de 1919 à 1927

par Tamara Eble, publié le 02/04/2013

article.png Dans le cinéma expressionniste, les rues sombres contribuent au sentiment de désorientation et de menace créé par les décors de studio extrêmement stylisés, aux perspectives fausses et aux maisons et toits, plongés dans l’obscurité environnante. Dans ces rues labyrinthiques, le danger rôde dans tous les recoins, sous la forme de créatures inquiétantes qui sèment la mort et la terreur : le somnambule Cesare qui exécute les ordres du terrible Dr. Caligari dans Das Cabinet des Dr. Caligari (1919/1920), le Golem dans Der Golem (1920), le vampire Nosferatu dans Nosferatu (1922), le diable Méphisto dans Faust (1926)… c’est le cas dans Von morgens bis mitternachts (1920) ou dans Faust (1926).

Comment finir ? La fin et l’après-la-fin dans les récits de fiction

par Emmanuelle Prak-Derrington , publié le 31/08/2012

article.png Le récit est lié à la successivité temporelle ; parler de la fin, cela veut donc dire parler aussi de l'après-la-fin, et tous les récits inscrivent leur explicit dans un entre-deux, entre le visible (les derniers mots, le point final) et l'invisible (le blanc terminal). C'est le choix de l'auteur d'inclure ou d'exclure la dimension du re-commencement et de l'après-la-fin, qui ferme ou au contraire ouvre le récit, lui donne une tonalité dysphorique ou euphorique. L'article se penche sur deux types de conventions clausulaires qui semblent être les réponses universelles à la question "comment finir" que pose tout récit : la fin comme fin ultime, avec la mort du personnage, fin mimétique par excellence qui fait coïncider la disparition du récit et sa "saturation", et la fin comme "happy end", défini non pas comme "tout est bien qui finit bien" mais comme "tout est bien qui augure bien". La dernière partie, consacrée à la répétition, évoque ensuite le procédé, qui, en unissant incipit et explicit, fin et commencement, s’affranchit du temps linéaire et crée un hors-le-temps, où le passé côtoie le présent. La boucle réflexive de la répétition, parce qu’elle touche forme et/ou fond apparaît alors comme le procédé de clôture ou d’ouverture suprême.