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À consulter également

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Nikolai Grozni: The Whispers of Music Lost

par Nikolai Grozni, publié le 10/09/2014

article.png “Only the words break the silence, all other sounds have ceased,” writes Beckett in his Texts for Nothing. Or does he sing it? If words were the only sounds, then a sentence would be the only melody. We might never understand which came first—the words or the melody. Perhaps the first humans knew how to sing long before they knew how to talk. In this Dionysian vision of antiquity, all mortals were originally musicians. Music was the only thing that mattered. People understood each other by inventing mimetic melodies and singing together in tune. They appeared, loved, suffered, worshipped the gods and died like opera singers on stage.

American Indians - A conversation with David Treuer

par David Treuer, Clifford Armion, publié le 08/09/2014

type-video.png texte.png entretien.png David Treuer took part in the eighth edition of the Assises Internationales du Roman, organised by the Villa Gillet and Le Monde. He answered our questions on his involvement in the protection of Indian culture.

Blessure du corps et blessure du langage chez Shakespeare

par Clifford Armion, publié le 25/04/2014

article.png Cet article se propose d’étudier les rapports dialectiques qui unissent la violence représentée à la parole dans le théâtre de Shakespeare. Nous verrons que le langage immédiat de la blessure physique peut prendre le pas sur le texte prononcé par les acteurs. La crainte de la mort et de la dissolution du corps, exprimée par la blessure, est associée dans le texte shakespearien à l’économie et à l’extinction du langage. Le silence, corrélat de la mort, peut ainsi être lu comme une griffure à la surface du texte théâtral. Il apparaîtra que la violence physique entre en écho avec les silences, les incohérences du langage, mais aussi les ruptures de genre, constituant une forme de blessure du langage.

The Truth of Pussy Riot

par Masha Gessen, publié le 21/02/2014

article.png A great work of art is also often not immediately recognizable. Five young women entered the enormous Cathedral of Christ the Savior early in the morning on February 21, 2012, took off their overcoats to expose differently colored dresses and neon-colored tights, pulled on similarly neon-colored balaclavas, climbed up on the soleas (having lost one of their number in the process—she had been grabbed by a security guard), and proceeded to dance, play air guitar, and sing a song they called a “punk prayer,” beseeching Mother of God to “get rid of Putin.”

Shakespeare’s The Rape of Lucrece: the wound that cannot heal

par Clifford Armion, publié le 17/09/2010

article.png In Shakespeare's works, the assaults on the body and the marks they leave in the flesh constitute a complex form of language. The shape of the wound, its seriousness, its position on the body, the situation in which it was inflicted, the terms and metaphors used to describe it: all these elements contribute to its semantic load.

An interview with Beverley Naidoo

par Beverley Naidoo, Clifford Armion, publié le 01/06/2010

entretien.png texte.png Un entretien accordé à La Clé des langues par Beverley Naidoo suite à son déplacement dans l'académie de Rouen.

King Lear comme fable

par Gérard Hocmard, publié le 18/01/2010

article.png Pièce hors normes, Le Roi Lear a trouvé une résonance particulière dans le monde contemporain. Mais la construction se résume à une suite de confrontations; les personnages n'ont pas toujours beaucoup d'épaisseur et la catharsis attendue fait place à une série de paraboles qui s'emboîtent les unes dans les autres, tandis que le langage semble échapper aux protagonistes pour insister sur ce qui en l'homme est humanité et sur l'importance du lien social. En fait, toute la technique dramatique semble au service d'un récit à caractère de conte, un peu comme celui que Mamillius définira comme « un conte d'hiver » dans la pièce éponyme. Il est permis de considérer Le Roi Lear comme une fable splendide et cruelle et là peut-être se trouve le secret de la fascination que la pièce exerce.