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À consulter également

8 ressources contiennent le mot-clé Risorgimento.

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Être italien : voyage dans l’imaginaire national des Italiens

par Giovanni Stranieri, publié le 10/10/2022

article.png La construction de l’État italien à partir de 1861 a été accompagnée et justifiée par la fixation progressive d’un roman national. Cette narration sera poussée jusqu’à la caricature et à l’imposture par le fascisme tout-puissant, ce qui explique la longue phase de mise en sommeil des thèmes de la patrie, de la nation et de l’identité nationale, qui coïncide avec les quatre premières décennies de l’après-guerre. Puis, au début des années 1990, la réflexion sur ce qu'"être italien" signifie est devenue un sujet de discussion et de clivage à tous les niveaux de la société.

L’immaginario risorgimentale: tempo e spazio nelle opere di Verdi

par Elena Paroli, publié le 18/11/2021

article.png L'articolo tratta dell'uso del tempo e dello spazio nelle opere di Giuseppe Verdi come strumento politico, volto alla mitizzazione della figura dell'eroe e alla sacralizzazione della patria.

La postérité d’une idée politique de Dante : le rôle des artistes et écrivains dans la création du sentiment national italien au XIXe siècle

par Jean-Philippe Cénat, publié le 27/05/2021

article.png Dans la première moitié du XIXe siècle, plus que les politiques, ce sont les écrivains et les artistes, avec notamment les opéras de Verdi, qui jouent un rôle majeur dans la création d’une identité et d’un sentiment patriotique italien, par leur volonté d’écrire en italien, par leurs œuvres engagées ou par la reprise d’une rhétorique, d’attitudes et de costumes venant du théâtre et de l’opéra.

Le royaume de Naples et la modernité politique, des révolutions à l'Unité italienne

par Pierre-Marie Delpu, publié le 19/11/2015

type-video.png article.png À partir d'un bilan historiographique, l'intervention illustrera le rapport paradoxal du royaume de Naples, souvent érigé en symbole du mauvais gouvernement par les observateurs étrangers, à la modernité politique qu'entendent construire des acteurs spécifiques, qualifiés d'abord de "patriotti" puis de "liberali". L'attention sera portée aux acteurs et aux stratégies de la politisation libérale, aux révoltes et révolutions politiques, réalité mobile à la chronologie complexe (1820-21 et 1848-49 essentiellement, outre des insurrections plus ponctuelles dans les provinces périphériques du royaume).

Le palimpseste révolutionnaire et la révolution napolitaine de 1647-1648

par Alain Hugon, publié le 10/05/2013

conference.png type-video.png Dans le cadre du séminaire d'études italiennes organisé par l'ENS de Lyon et l'Université Lyon 3, Alain Hugon vient parler des 9 mois de révolution napolitaine entre 1647-1648 souvent associés à un des protagonistes de ses tout débuts, Masaniello. Son analyse permet de remettre en perpective certaines interprétations téléologiques souvent fondées au moment du Risorgimento tendant à présenter cette révolution comme une révolte anti-espagnole. Il montre plutôt comment ces mois insurrectionnels ont été l'occasion de poser la question de la représentation politique du popolo face à l'aristocratie.

Intervista a Alberto Toscano

par Alberto Toscano, Damien Prevost, publié le 25/03/2011

type-video.png Alberto Toscano, in occasione dell'uscita del suo libro Vive l'Italie! ha accettato di rispondere alle nostre domande relative al 150° anniversario dell'Unità d'Italia. Ci offre la sua opinione sul processo di unificazione italiana e sui suoi rapporti con la Francia e ragiona sulla sua problematica odierna.

Emilio Gentile, Né stato né nazione – Italiani senza meta

par Maurizia Morini, publié le 18/02/2011

article.png Gentile con un interessante e a tratti ironico percorso nella storia italiana, ci fa attraversare un secolo di storia per riflettere sui motivi che hanno condotto allo smarrimento attuale degli italiani.

Cours de littérature italienne à l'école fasciste

par Stéphanie Lanfranchi, publié le 14/09/2009

article.png Dans un récit autobiographique publié en 1991, l'intellectuel Vittorio Foa revient sur les années de sa jeunesse marquées par l'expérience de l'antifascisme et de l'emprisonnement (de 1936 à 1944). Lorsqu'il s'interroge sur les racines profondes de son opposition au régime, il cite l'empreinte familiale, mais également l'influence exercée par ses professeurs et par leurs enseignements. Il émet notamment l'hypothèse selon laquelle l'enseignement littéraire serait devenu, dans son cas, une véritable école de liberté.