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Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 8 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
La Scuola di mistica fascista : une jeunesse fasciste face au choix du mysticisme par Claire Lorenzelli, publié le 11/05/2020
La Scuola di mistica fascista, fondée à Milan en 1931, est une institution destinée à la formation politique et intellectuelle de la future classe dirigeante fasciste. Créée, composée et dirigée presque exclusivement par des jeunes, cette École se présente comme une exception dans le panorama des organisations pour l’encadrement de la jeunesse de l’époque. D’autre part, cette institution qui met au centre de son nom et de son enseignement la notion de "mystique", fait de ces jeunes non seulement des ambassadeurs de l’Idée fasciste, mais aussi des missionnaires d’un fascisme interprété et vécu comme "religion politique". C’est donc cette tension entre jeunesse et mysticisme, ses enjeux et ses conséquences, que l’on interrogera à travers cet article.
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Dossier sur La Fameuse invasion des ours en Sicile par Alison Carton-Vincent, publié le 10/10/2019
Sorti en octobre 2019, ce film d'animation est une adaptation par Lorenzo Mattotti de l’œuvre originale de l'écrivain Dino Buzzati, La famosa invasione degli orsi in Sicilia, un roman jeunesse publié pour la première fois en 1945.
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Béatrice et Marie : de la "Vie nouvelle" à la "Comédie" par Cécile Le Lay, publié le 23/01/2015
De nombreux passages de la "Vie nouvelle" de Dante Alighieri montrent l’influence du modèle marial sur la description de sa bien-aimée. Sans pour autant assimiler le "libello" à une "Legenda sancte Beatricis" qui, dans le sillage de celle de sainte Claire, proposerait une nouvelle figure de Marie à la dévotion des « fidèles » (comme une partie de la critique l’a suggéré autrefois), ni chercher seulement à contrebalancer le modèle christique qui s’est imposé pour Béatrice depuis les recherches de Charles S. Singleton (portant à la fois sur l’œuvre de jeunesse et la "Comédie"), il nous semble intéressant de reprendre et de comparer certaines allusions mariales significatives qui sont proposées au début, au cœur et à la fin des deux récits, pour mieux comprendre les fonctions respectives attribuées aux deux femmes qui ont guidé le parcours du protagoniste (sachant que la troisième, Lucie, n’intervient pas dans le "libello").
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La bibliothèque de Dante : questions méthodologiques par Raffaella Zanni, publié le 20/09/2013
Dans cette présentation, on cherchera à faire le point sur ce qu’a pu contenir la bibliothèque de Dante. Il s’agit bien sûr d’un sujet éminemment virtuel, vu la perte matérielle de tous les livres que Dante a pu à la fois lire et étudier, éventuellement apostiller, et bien évidemment posséder. Son statut d’exilé rend encore plus virtuelle l’existence d’une bibliothèque personnelle qui aurait pu l’accompagner pendant ses déplacements. Compte tenu de toutes ces restrictions documentaires, on essaye de reconstruire les étapes de la formation intellectuelle de Dante, à partir de sa jeunesse mais surtout pendant la maturité, lors des années d’exil qui ont malgré tout donné à Dante la possibilité de se déplacer et d’avoir accès à plusieurs lieux du savoir de son époque (entre autres les bibliothèques des religieux mais surtout des laïcs). En particulier, on se concentre sur la ville de Bologne, où Dante a pu résider à diverses reprises, notamment pendant son exil. C’est là que Dante a certainement eu accès à des textes importants pour sa formation, en particulier les ouvrages de maîtres bannis de la faculté de Théologie de Paris (y compris ceux de Sigier de Brabant et de Boèce de Dacie), comme le montre l’étude des inventaires des bibliothèques personnelles de maîtres ès arts du Studium, à la fois logiciens, grammairiens ou encore médecins, qui ont vécu entre le XIIIème et le XIVème siècles. Le travail sur les archives des maîtres bolonais offre ainsi des résultats fructueux permettant de renforcer la consistance de la bibliothèque matérielle de Dante ; une possibilité qui permet ainsi de faire face au manque de documents concernant sa formation intellectuelle. D’autre part, cela permet aussi de mieux comprendre son atelier d’écriture, avec la conviction que la Quellenforschungen dans l’œuvre de n’importe quel auteur doit obligatoirement passer par la recherche de tout ce qui a circulé réellement à son époque.
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L'Italia in musica - Quarta parte: Gli anni settanta par Cesare Grazioli, publié le 16/11/2012
Quarta parte dell'articolo "L'Italia in musica".
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Incontro con Roberto Piumini par Roberto Piumini, Giacomo Anastasi, publié le 28/09/2012
Lo scrittore Roberto Piumini dopo la lettura di una poesia e di un racconto in musica ci parla della sua esperienza di scrittore per giovani ma anche per adulti. Evoca il legame particolare con il suo pubblico e spiega com'è difficile - a volte - cambiare strada e trovare la legittimità di scrivere per gli adulti...
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Le corps à corps avec le contexte : langue et éthique dans La notte che Pinelli d’Adriano Sofri par Jean-Claude Zancarini, publié le 17/12/2010
Jean-Claude Zancarini évoque le destin de Giuseppe Pinelli, cet anarchiste accusé à tort d'avoir participé à l'attentat de Piazza Fontana le 12 décembre 1969 et qui trouvera la mort en tombant du 4ème étage de la préfecture de Police de Milan 3 jours plus tard. Il évoque ce destin par l'entremise du livre d'Adriano Sofri : une oeuvre à la fois littéraire et historique. Un livre qui - sans concession - sait faire le point sur des années qui ont eu leurs jours tragiques. Ce n'est pas seulement un livre "à charge" contre les institutions c'est aussi un livre qui se propose d'établir un lien entre la jeunesse d'alors et celle d'aujourd'hui.
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Cours de littérature italienne à l'école fasciste par Stéphanie Lanfranchi, publié le 14/09/2009
Dans un récit autobiographique publié en 1991, l'intellectuel Vittorio Foa revient sur les années de sa jeunesse marquées par l'expérience de l'antifascisme et de l'emprisonnement (de 1936 à 1944). Lorsqu'il s'interroge sur les racines profondes de son opposition au régime, il cite l'empreinte familiale, mais également l'influence exercée par ses professeurs et par leurs enseignements. Il émet notamment l'hypothèse selon laquelle l'enseignement littéraire serait devenu, dans son cas, une véritable école de liberté.
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