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Atelier N°2a : L'inattendu dans l'écriture littéraire.
par ENS Lyon La Clé des Langues, publié le 31/01/2014Page d'accueil du deuxième atelier du colloque "L'inattendu dans l'écriture littéraire", permettant d'accéder aux six interventions : 1. Dicible / indicible en lien avec les tentatives de coups d'Etat ratés au Maroc / 2. Les prémices d'un "printemps" : la fonction augurale de la littérature carcérale / 3. Le printemps arabe du texte romanesque / 4. Voyage littéraire dans un inattendu poético-politique / 5. Histoire occultée, histoire assumée : les paradoxes de la révolution tunisienne et l'émergence de l'individu et d'une nouvelle expression artistique / 6. Le désordre du texte
La métrique d'al-Khalîl
par Georges Bohas, publié le 02/11/2009Dans une communication donnée au mois d'octobre 2009 au Laboratoire d'histoire linguistique, Georges Bohas présente pour non spécialistes le fonctionnement ingénieux de la théorie métrique d'al-Khalil ainsi que ses principaux défauts.
Intertextualité et création
par Mohamed Bakhouch, publié le 16/10/2009Pour un poète, la muaradha consiste à composer un poème dans lequel il imite celui d'un autre, en utilisant le même mètre et la même rime. On considère habituellement cet exercice comme étant à la fois, un "hommage délibéré", parce que le fait de prendre une œuvre comme modèle est en soi une forme de reconnaissance de sa grande valeur, et un défi poétique et ce dans la mesure où l'auteur d'une muaradha cherche, par sa démarche même, à rivaliser avec son modèle et à le dépasser. Nous nous proposons dans cet article de mettre à jour, d'une manière concrète et à des niveaux divers, les implications et les enjeux de cet art poétique, en étudiant un poème de Zuhayr b. Abî Sulma (m. 609) et sa muaradha composée par le poète umayyade al-Akhtal (m. 710).
Génèse de la poésie bachique arabe. Les précurseurs d'al-Hîra
par Bruno Paoli, publié le 02/09/2008Lorsqu'on évoque la poésie bachique arabe, le nom d'Abû Nûwâs (m. 815) vient immédiatement à l'esprit, tant il vrai que ce poète, qui a donné à la khamriyya (poème bachique) ses lettres de noblesse, est incontestablement le maître du genre, à tel point qu'il en est souvent considéré comme l'inventeur.