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Recherche multi-critères

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La construction d'une mémoire publique de la lutte contre la mafia autour d'un martyrologe : Pio La Torre, Carlo Alberto Dalla Chiesa, Giovanni Falcone et Paolo Borsellino (1982-2002) par Charlotte Moge, publié le 11/02/2016
Si la mafia est un objet d’étude, certes récent, l’antimafia reste en revanche un trou noir de l’historiographie du Mezzogiorno alors que les assasssinats des représentants de l’État sont des moments de tensions dans l’histoire de l’Italie républicaine. Charlotte Moge a choisi de se concentrer sur quatre figures emblématiques assassinées au cours des crises de violence mafieuse de 1982 et 1992 : Pio La Torre (député et secrétaire régional du PCI) ; Carlo Alberto dalla Chiesa (assassiné alors qu’il était préfet de Palerme) ; Giovanni Falcone et Paolo Borsellino (magistrats). Afin d’observer le processus de construction d’une mémoire publique de la lutte contre la mafia, elle utilise un panel de sources typique de l’histoire du temps présent, archives, presse, productions mémorielles écrites et audiovisuelles, mais aussi des sources orales grâce aux entretiens réalisés lors de son enquête de terrain. Ces sources lui permettent tant de comprendre le contexte que d’analyser l’évolution des représentations des martyrs de la lutte contre la mafia.
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L'immigration italienne à Lyon par Jean-Luc de Ochandiano, Damien Prevost, publié le 30/05/2014
Au cours de cet entretien, Jean-Luc de Ochandiano nous parle de la question de l'immigration italienne au cours des XIXème et XXème siècles en centrant son discours sur le cas spécifique de Lyon. Jean-Luc de Ochandiano, tout en récusant le terme de "communauté italienne" aborde également l'épineux problème de la mémoire entre héritage et reconstruction à travers deux "événements" : la sortie de son livre l'année dernière et l'exposition aux archives municipales de Lyon.
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La bibliothèque de Dante : questions méthodologiques par Raffaella Zanni, publié le 20/09/2013
Dans cette présentation, on cherchera à faire le point sur ce qu’a pu contenir la bibliothèque de Dante. Il s’agit bien sûr d’un sujet éminemment virtuel, vu la perte matérielle de tous les livres que Dante a pu à la fois lire et étudier, éventuellement apostiller, et bien évidemment posséder. Son statut d’exilé rend encore plus virtuelle l’existence d’une bibliothèque personnelle qui aurait pu l’accompagner pendant ses déplacements. Compte tenu de toutes ces restrictions documentaires, on essaye de reconstruire les étapes de la formation intellectuelle de Dante, à partir de sa jeunesse mais surtout pendant la maturité, lors des années d’exil qui ont malgré tout donné à Dante la possibilité de se déplacer et d’avoir accès à plusieurs lieux du savoir de son époque (entre autres les bibliothèques des religieux mais surtout des laïcs). En particulier, on se concentre sur la ville de Bologne, où Dante a pu résider à diverses reprises, notamment pendant son exil. C’est là que Dante a certainement eu accès à des textes importants pour sa formation, en particulier les ouvrages de maîtres bannis de la faculté de Théologie de Paris (y compris ceux de Sigier de Brabant et de Boèce de Dacie), comme le montre l’étude des inventaires des bibliothèques personnelles de maîtres ès arts du Studium, à la fois logiciens, grammairiens ou encore médecins, qui ont vécu entre le XIIIème et le XIVème siècles. Le travail sur les archives des maîtres bolonais offre ainsi des résultats fructueux permettant de renforcer la consistance de la bibliothèque matérielle de Dante ; une possibilité qui permet ainsi de faire face au manque de documents concernant sa formation intellectuelle. D’autre part, cela permet aussi de mieux comprendre son atelier d’écriture, avec la conviction que la Quellenforschungen dans l’œuvre de n’importe quel auteur doit obligatoirement passer par la recherche de tout ce qui a circulé réellement à son époque.
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Una lotta per la memoria par Massimo Storchi, publié le 02/09/2008
A partire dal 1990, dalla vicenda al limite del grottesco definita “Chi sa parli”, non casualmente sviluppatasi proprio a Reggio Emilia, le vicende legate all’uso della violenza durante e dopo la Resistenza sono divenute, in maniera ricorrente ed estesa, uno degli oggetti di scontro e propaganda politica, in quella vera e propria «lotta per la memoria» che ha segnato questo ultimo quindicennio.
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Memoria, dolore, vendetta: La violenza del dopo Liberazione par Massimo Storchi, publié le 10/06/2008
Il 25 aprile, o comunque il momento del disarmo ufficiale delle forze partigiane avvenuto il 2 maggio, non sono date significative per quanto riguarda il problema dell’uso della violenza al termine della Resistenza. Come la recente storiografia ha proposto, è indispensabile proporre un percorso più articolato che rifletta sull'esplodere di quella violenza (insurrezionale e non) che ha segnato non solo le provincie emiliane ma tutto il nord Italia all’indomani della ritirata delle truppe tedesche e della caduta della Repubblica di Salò.
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L'ERA - L'Archivio Europeo della Resistenza par Alessandra Fontanesi, publié le 16/01/2008
L'Istituto storico per la storia della Resistenza e della società contemporanea in provincia di Reggio Emilia, ISTORECO, è stato il promotore della creazione di un archivio multimediale on line che raccoglie videointerviste a protagonisti della Resistenza europea. Istoreco, grazie a sovvenzioni dell'Unione Europea, ha condotto un lavoro di formazione, ricerca e archiviazione assieme ad altri cinque partners europei (Francia, Germania, Polonia, Slovenia, Austria) dal settembre del 2006 - quando è avvenuto l'incontro organizzativo di progetto a Reggio Emilia - sino a maggio 2007 quando nella Casa della Cultura Europea di Berlino è stato presentato ufficialmente il sito web.
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