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En attendant les barbares de Coetzee : réécrire la mort du Christ, refuser la Croix
par Maxime Decout,
publié le 09/10/2009
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Ecrivain du XXIe siècle, Coetzee propose dans Waiting for the Barbarians une réécriture de la Passion du Christ qui interroge le rôle de la souffrance individuelle ou collective. L’homme chargé de vivre ce nouveau Calvaire découvre la vanité de la souffrance dans un monde privé de Dieu ainsi que l’impossibilité de toute rédemption. Cette communication tente de dépasser une lecture politique du texte en s’intéressant au fonctionnement de l’intertexte biblique.
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"People tried to figure if they were offended and why" : L'intertextualité dans le roman américain contemporain ou la lecture en procès
par Françoise Sammarcelli,
publié le 09/10/2009
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L’objet de ce travail est de problématiser la notion d’intertexte en prenant appui sur le court roman de Louise Welsh : Tamburlaine Must Die. Dans le sillage des études du généticien Louis Hay qui proposait dès 1985 que le texte n’existe pas, l’introduction propose d’argumenter que l’intertexte n’existe pas, il n’existe que des modalités d’intertextualité dont le point commun est le fantasme originaire : l’illusion que l’on pourrait identifier un point d’origine fixe et stable à l’écriture. En lieu et place de l’intertexte est alors postulée l’existence de ce qu’on pourrait appeler la voix textuelle, distincte de la voix auctoriale de l’autorité de l’auteur, qui serait en partie fondée sur la co-présence de multiples modalités d’intertextualité mais qui dépasse largement ce cadre si on la relie à la problématique analytique de l’objet-voix lacanien.
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La mort de l'intertexte : Les voies tortueuses de la voix textuelle dans Tamburlaine Must Die de Louise Welsh
par Claude Maisonnat,
publié le 09/10/2009
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L’objet de ce travail est de problématiser la notion d’intertexte en prenant appui sur le court roman de Louise Welsh : Tamburlaine Must Die. Dans le sillage des études du généticien Louis Hay qui proposait dès 1985 que le texte n’existe pas, l’introduction propose d’argumenter que l’intertexte n’existe pas, il n’existe que des modalités d’intertextualité dont le point commun est le fantasme originaire : l’illusion que l’on pourrait identifier un point d’origine fixe et stable à l’écriture. En lieu et place de l’intertexte est alors postulée l’existence de ce qu’on pourrait appeler la voix textuelle, distincte de la voix auctoriale de l’autorité de l’auteur, qui serait en partie fondée sur la co-présence de multiples modalités d’intertextualité mais qui dépasse largement ce cadre si on la relie à la problématique analytique de l’objet-voix lacanien.
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Stevenson ou le bonheur
par Alberto Manguel ,
publié le 18/05/2009
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Dans le cadre du cycle de conférences "Ecrivains de toujours", la Bibliothèque municipale de la Part-Dieu (Lyon), invite des auteurs à venir parler des écrivains qu'ils aiment. Le 25 mars 2009, elle recevait Alberto Manguel, qui avait choisi, parmi ses multiples amours, l'écrivain écossais Robert Louis Stevenson (1850-1894), auquel il avait consacré un roman, Stevenson sous les palmiers (Actes Sud, 2005).