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L’expérience de la limite chez Rainer Maria Rilke : "Les Carnets de Malte Laurids Brigge"
par Laetitia Faivre,
publié le 08/05/2011
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Dans Die Aufzeichnungen des Malte Laurids Brigge de Rilke, le jeune narrateur-poète installé en exil à Paris consigne ses pensées sous forme de notes, proches du journal intime. Ses carnets expérimentent la notion de « limite » : les limites du récit, de l’espace, du temps et du sens, pour mieux les transgresser et apprendre au lecteur un nouveau regard sur le monde qui accueille le merveilleux et l’étrange, les fantômes et la subjectivité.
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Kohärenz und Vorstellungswelt bei Textanfängen
par Marie-Hélène Pérennec ,
publié le 07/03/2010
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Les incipit de romans mettent en place un monde fictif que les lecteurs se représentent à l’aide de scénarios, scripts, frames pour reconstituer la cohésion et la cohérence du texte.
Dieser Artikel zeigt wie textanfänge eine fiktive Welt entstehen lassen. Der Leser gewinnt durch Szenarios, frames, skripts eine Weltvorstellung und rekonstruiert die Kohäsion und Kohärenz des Texts.
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De quoi le Rhin est-il la frontière ?
par Hélène Miard-Delacroix, Franck Baasner,
publié le 28/09/2009
- Vidéo d'une table ronde organisée dans le cadre du "Forum Libé" intitulé "20 ans après la Chute du mur" qui s'est tenu en septembre 2009 à Lyon. Le Rhin, qui a longtemps marqué la limite entre deux blocs opposants et fut un support d'identité et d'imaginaire au cours de l'histoire, est devenu aujourd'hui un point de passage autour duquel s'organise l' "espace rhénan", véritable lieu de vie commune entre transfrontaliers, même si deux systèmes administratifs étanches subsistent en France et "Outre-Rhin". La réalité vécue de l'espace rhénan n'est pas toujours perçue par ceux qui habitent "loin" de la frontière. Hélène Miard-Delacroix et Franck Baasner reviennent, non sans humour, sur les différences, les malentendus et les idées reçues entre Français et Allemands pour constater une uniformisation croissante des modes de vie et l'existence de différences qui, souvent, ne sont pas nationales mais qui traversent tout tissu social. Le dépassement des "fondamentaux de l'imaginaire" qui subsistent n'est possible que par la connaissance de la réalité de chaque pays qui, seule, permet de comprendre le voisin, et donc par l'apprentissage de la langue de l'autre. Est-il cependant souhaitable que toute frontière soit abolie ?