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«Zwei Männer in Betrachtung des Mondes» (1819) - Caspar David Friedrich
par Claire Milcent, publié le 29/11/2020
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Analyse du célèbre tableau "Zwei Männer in Betrachtung des Mondes" (1819) de Caspar David Friedrich, chef d’œuvre du Romantisme allemand
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Le romantisme allemand dans la littérature et la pensée
par Jean-Charles Margotton, publié le 14/12/2010
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Jean-Charles Margotton resitue le courant romantique dans le contexte historique et socioculturel de son époque (fin du XVIIIe-début du XIXe siècle), par rapport aux courants de pensée dont il se nourrit (l’idéalisme, le piétisme) et ceux dont il se distancie (Aufklärung, classicisme, matérialisme…). Les œuvres majeures du romantisme sont visitées à travers les motifs littéraires et les principes de l’idéologie romantique. Le héros romantique, souvent influencé par une rencontre avec un personnage étranger ou étrange jouant le rôle de médiateur, est animé par une aspiration vers un ailleurs et s’efforce de transposer dans le réel cette tension vers l’idéal. L’utopie côtoie alors la fascination pour l’obscurité et les thèmes sombres. Eine Reise durch die Literatur der Romantik. Die wichtigsten Werken, die romantische Motive, der romantische Held sehnt sich nach einer idealen Welt.
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Art et politique dans l’œuvre de Franz Radziwill
par Claire Aslangul, publié le 07/09/2009
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Claire Aslangul démontre précisément comment la réception de l'œuvre de Radziwill a varié, lui dont les peintures furent un temps estampillées « art dégénéré » par le régime national-socialiste puis dont des études récentes révèlent l'ambiguïté fondamentale et la polysémie de certains motifs et mises en scène : critique ou apologie de la guerre ? traumatisme ou fascination du champ de bataille ? artiste persécuté ou peintre nazi ? Les retouches mises à jour dans les tableaux et dans la biographie du peintre soulèvent la controverse.
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Friedrich Nietzsche et la musique
par Dorian Astor , publié le 06/07/2009
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La méfiance de Nietzsche pour l'abstraction du langage l'amène à se tourner vers la musique qui joue dans sa vie et sa philosophie un rôle exceptionnel. Nietzsche entend interroger l’art dans son rapport à la vie et à la connaissance. Interprétant la musique comme le reflet des valeurs de son temps, sa critique de Wagner en qui il crut voir un temps l’artiste capable de réconcilier l’apollinien et le dionysiaque avant de reconnaître et de rejeter avec virulence les relents nihilistes et destructeurs de vie de la musique wagnérienne, n’est pas un simple jugement esthétique ; elle a un fondement philosophique. Nietzsche misstraut der Sprache. Die Musik spielt eine wichtige Rolle in seinem Leben und in seiner Philosophie. Die Musik widerspiegelt die Werte seiner Zeit: nachdem er Wagners Oper lobgepriesen hat, die das Apollonische mit dem Dionysischen in Einklang bringen, wendet er sich von ihm ab, weil er darin Nihilismus und Zerstörung des Willen zur Kraft sieht.
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Agnes Göppel, héroïne romantique, inadaptée à "la dureté des temps"
par Aline Le Berre, publié le 29/01/2009
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Aline Le Berre se penche sur le rôle d’Agnes Göppel, amante malheureuse, repoussée par Diederich dans Der Untertan d’Heinrich Mann. S’appuyant sur plusieurs modèles littéraires (Fontane, Stendhal, Flaubert), Heinrich Mann oppose les aspirations romantiques d’Agnes, son caractère introverti, contemplatif et soumis, au tempérament petit-bourgeois, grégaire et matérialiste de Diederich, dont la double personnalité se dessine en surimpression. Agnes s’avère cependant un personnage plus complexe qu’il n’y paraît, à la fois « femme fragile » mais aussi femme autonome qui finit par s’insérer dans la société bourgeoise. Agnes Göppel wird im Roman der Untertan von Heinrich Mann von Diederich abgestoßen. Heinrich Mann stützt sich auf mehrere Vorlagen (Fontane, Stendhal, Flaubert) und setzt das romantische Temperament Agnes’, ihre zurückhaltende, passive und unterworfene Haltung, dem kleinbürgerlichen, ehrgeizigen und der Masse unterworfenen Charakter Diederichs, der eine sehr ambivalente Persönlichkeit ist.
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La composante réaliste, entre rupture et fidélité : Grit Poppe, Annett Gröschner, Jana Simon, trois jeunes auteures des nouveaux Bundesländer
par Anne Lemonnier-Lemieux, publié le 05/05/2008
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Anne Lemonnier-Lemieux s'interroge sur le rapport des auteurs de la jeune génération au réalisme socialiste tel qu'il a été énoncé en 1934 par Maxime Gorki et théorisé par Georg Lukács, et surtout à la tradition réaliste de RDA, telle que l'ont pratiquée les auteurs est-allemands qui dérogeaient déjà aux principes officiellement prescrits (Christa Wolf, Franz Fühmann, Günter Kunert...). La réflexion s'appuie sur trois romans de jeunes auteures nées en Allemagne de l'Est (Andere Umstände de Grit Poppe (2000), Moskauer Eis d'Annett Gröschner (2002) et Denn wir sind anders de Jana Simon (2002)) ayant tous trois pour toile de fond l'ex-RDA. Bien que le ton diffère, ils ont en commun de décrire le parcours de « personnages jeunes et déjà à bout de souffle », en quête de repères politiques, moraux, sociaux, familiaux, et dont l'histoire personnelle est intimement liée à la fin du régime est-allemand. S'il semble évident que les trois romans s'éloignent des préceptes du réalisme socialiste tant dans la représentation - ou l'absence signifiante - des idéologies politiques que dans les choix esthétiques, dans quelle mesure s'inscrivent-ils dans le courant réaliste né en RDA à la fin des années 60 ?
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"Wer spricht?" Über Tempora, Pronomina und Grenzverwischungen in Christa Wolfs "Kein Ort. Nirgends"
par Emmanuelle Prak-Derrington, publié le 06/03/2008
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Christa Wolfs Bücher gehören zu den meistgelesenen Werken deutscher Schriftsteller im Ausland. Ihre Werke rufen bei dem Leser entweder ungeteilte Zustimmung oder auch heftige Ablehnung hervor. In diesem Aufsatz wird untersucht, warum ihre Prosa, die oft als « Bekenntnisdichtung » beschrieben wird, auch eine « stellvertretende » Dichtung ist - eine Dichtung, die neben den Stimmen der Figuren immer die Stimme des Lesers mit einbezieht. In « Kein Ort. Nirgends » werden nämlich die Grenzen zwischen der Frühromantik und der DDR, zwischen Fiktion und Nicht-Fiktion, zwischen Autorin und Leser, kunstvoll verwischt. Wann sagt wer wem was? Wer spricht? Die Mehrdeutigkeit des Lesepakts, der Gebrauch des Präsens, der Pronominalwechsel, schließlich der Gebrauch des deiktischen WIR werden untersucht, als die wichtigsten linguistischen Mittel, die zu diesen Grenzverwischungen beitragen. Gezeigt wird, wie diese Mittel erlauben, die damalige Zensur zu umgehen und die Kritik an den Verhältnissen in der DDR zu verschleiern.