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Recherche multi-critères

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À la "Cour" d’Isabella Andreini, actrice Gelosa et académicienne Intenta : les "nobil donne" dédicataires des Rime (Milano, Bordoni, 1601) par Cécile Berger, publié le 19/03/2021
Figure de proue de l’avènement des femmes dans le théâtre professionnel italien, la comédienne des Gelosi et femme de lettres académicienne (Intenti, Pavie) Isabella Andreini publie en 1601 à Milan un recueil de Rime, dont près de 200 sonnets. La plupart sont des éloges dédiés aux nobles dames italiennes les plus en vue des Cours de Mantoue, Ferrare ou Florence. L’analyse de ces sonnets permet aussi bien de dresser une galerie de portraits historiques que d’ébaucher les fondements d’une matrice culturelle commune où les codes du féminin de Cour en Italie rejoignent étonnamment les qualités d’actrices d’Isabella Andreini.
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La Clizia de Machiavel : une comédie mineure du Cinquecento ? par Fanélie viallon, publié le 06/12/2020
Dans cette époque faste de la Renaissance italienne, les hommes de lettres se sont livrés à tous les exercices à leur disposition : Laurent le Magnifique écrivait des madrigaux et les penseurs conservaient jusqu’à leurs correspondances et leurs livrets de famille où ils discutaient avec leurs contemporains ou avec les auteurs antiques leurs conceptions du quotidien comme de la politique. Ainsi, Machiavel nous a transmis plusieurs supports de ses réflexions, dont deux comédies : la Mandragore et la Clizia, représentées en 1526 et 1527. La Clizia est considérée comme mineure en tant que réécriture d’une pièce de Plaute, tandis que la Mandragore est reconnue à travers les époques comme un chef-d’œuvre de son temps par sa vivacité et son statut de première pièce originale, non adaptée d’une pièce antique. Dans l’ombre de la Mandragore, la deuxième pièce de Machiavel mérite qu’on s’y arrête. Cet article s’appuie sur un mémoire de traduction soutenu à l’Université Lyon 3 en 2007
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Vittore Carpaccio, Ritratto di cavaliere par Sarah Vandamme, publié le 23/01/2015
Il s’agit du portrait en pied d’un très jeune chevalier en armure, inscrit dans un décor foisonnant de détails : un château presque en ruine, et un cavalier à cheval portant une lance à gauche, deux arbres, une colline et un plan d’eau à droite, ainsi qu’une faune et une flore très importantes. Malgré cette richesse des détails, la composition est suffisamment simple pour permettre aux élèves de s’entraîner à la description d’image.
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