Vous êtes ici : Accueil / Recherche multi-critères

Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 17 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Some Like It Hot (1959), Billy Wilder par James Thierrée, Nathalie De Biasi, publié le 11/02/2019
James Thierrée est comédien, metteur en scène, acrobate, danseur et musicien, petit-fils de Charlie Chaplin à l’honneur en 2018 au festival à travers une exposition photographique. Il est venu présenter le film Certains l’aiment chaud de Billy Wilder le 17 octobre 2018 au Cinéma Gérard Philipe de Vénissieux dans le cadre du Festival Lumière et du cycle Nouvelles Restaurations, une programmation de films restaurés récemment pour une nouvelle sortie en salles [meilleure qualité que les restaurations pour une diffusion en DVD, nda]. Ce texte est une retranscription de sa présentation, qui a été par endroits modifiée pour l'adapter au format écrit.
type-video.png article.png
Two for the Road / Voyage à deux (Stanley Donen - 1967) par Lionel Gerin, publié le 16/02/2017
Tout le monde connait le Stanley Donen de Singing in the Rain (Chantons sous la pluie, 1952), ou de On the Town (Un jour à New York, 1949), comédies musicales brillantes et hautement toniques, à revoir évidemment. On connaît moins le Stanley Donen de Charade (1963), et pas davantage celui de Two for the Road (Voyage à deux, 1967). Le film raconte une quinzaine d'années de la vie d'un couple, en l'occurence Albert Finney et Audrey Hepburn. Thème simple, banal même. Pourtant, il pose d'emblée le problème de la forme. Faut-il opter pour la linéarité et user de stratagèmes pour évoquer le passage du temps, ou bien recourir aux bons vieux flash-backs ?
type-video.png article.png
Seeing Between the Lines: Terence Davies’s The House of Mirth and the art of adaptation par Wendy Everett, publié le 02/03/2015
Examining Terence Davies’s adaptation of Edith Wharton’s The House of Mirth, this article identifies ways in which the creative interpretation of the filmmaker may serve to open up new insights into both the original text and the language of cinema itself. It considers, in particular, aspects such as music, painting, and visual metaphor in its presentation of cinema as an essentially multilayered and complex medium which requires of the spectator an imaginative and creative engagement, just as the novel requires of the reader.
article.png
Nikolai Grozni: The Whispers of Music Lost par Nikolai Grozni, publié le 10/09/2014
“Only the words break the silence, all other sounds have ceased,” writes Beckett in his Texts for Nothing. Or does he sing it? If words were the only sounds, then a sentence would be the only melody. We might never understand which came first—the words or the melody. Perhaps the first humans knew how to sing long before they knew how to talk. In this Dionysian vision of antiquity, all mortals were originally musicians. Music was the only thing that mattered. People understood each other by inventing mimetic melodies and singing together in tune. They appeared, loved, suffered, worshipped the gods and died like opera singers on stage.
article.png
Kirsty Gunn: Sound and Writing par Kirsty Gunn, publié le 08/09/2014
That sound you hear, as though coming off the lonely Scottish hills, through the fine Highland air, passing across straths and glens, along rivers and to the sea... Is the sound of the piobaireachd, the classical music of the great Highland bagpipe, a music made for Gatherings, Salutes and Laments, a grand and grave and complicated music - Ceol Mor it is in Gaelic - The Big Music. The Big Music, too, is the title of my latest work of fiction - not a novel, but an elegy, as Virginia Woolf described all her work - a story that sounds as much as it says... An experience of words, of a story of people and a landscape, of a love story played across generations, that nevertheless sounds in the mind...
article.png
Nonsense (Alfred Brendel) par Alfred Brendel, publié le 03/07/2014
Chaque année les invités des Assises Internationales du Roman rédigent la définition d'un mot de leur choix : il s'agit ici du mot "nonsense", défini par le musicien et écrivain autrichien Alfred Brendel.
article.png
Swim Little Fish Swim (Lola Bessis et Ruben Amar) par Clifford Armion, publié le 13/05/2014
Après Frances Ha (Noah Baumbach, 2013), voici une nouvelle comédie New Yorkaise rafraîchissante. Production franco-américaine de Ruben Amar et Lola Bessis, Swim Little Fish Swim nous plonge dans l’univers de la colocation assumée. Une jeune artiste française, Lilas, squatte le canapé d’un couple que tout semble séparer. Leeward, musicien qui n’a jamais enregistré un disque, croit en l’idéologie contestataire des années 60 et refuse de compromettre son ‘intégrité artistique’ pour gagner de l’argent. Mary, infirmière fatiguée, rêve d’une petite maison de banlieue avec des meubles IKEA et un arbre devant...
type-video.png article.png
"As Many Fingers as Needed": The Body as Musician and its Fetishes par Peter Szendy, publié le 19/12/2013
"To comfortably acquire, so to speak, as many fingers as needed," said one of Bach’s sons, Carl Philipp Emanuel, in his Essay on the True Art of Playing the Keyboard (1753). And these words are remarkable, as long as we are prepared to take them literally, and not hastily consider them as one of the metaphors that adorn discourse about music and on the bodies that it evokes.
article.png
Feel the Sound, Thoughts on Music and the Body par Elena Mannes, publié le 19/12/2013
Our relationship with sound is an intimate one – arguably the most intimate with any of our five senses. We live in a visual society. Many people would say that sight is our primary sense. We hear before we see. In the womb, the fetus begins to develop an auditory system between seventeen and nineteen weeks. Already we are in a world of sound, of breath and heartbeat, of rhythm and vibration. Already, we are feeling the sound with our bodies.
article.png
Les tubes de la Grande Guerre en Angleterre par John Mullen, publié le 27/08/2013
La vie des Britanniques il y a un siècle était souvent très dure. Comme à toute époque, le divertissement, et spécialement la musique, était essentiel pour toutes les classes sociales. Les couches privilégiées organisaient des concerts chez elles, aidées par leurs domestiques, ou allaient dans les salons de danse. La classe ouvrière rejoignait des fanfares ou des chorales, mais surtout allait au music-hall. Dans cet article nous avons choisi 10 chansons à succès des années de guerre qui peuvent illustrer les priorités de leur public. Pour chacune, nous fournissons un extrait des paroles, un enregistrement de l’époque, et une image.
article.png son.png type-image.png
William Hogarth - The Enraged Musician par Vincent Brault, publié le 26/03/2013
Reproduction commentée de l'oeuvre "The Enraged Musician" du graveur anglais William Hogarth.
article.png type-image.png telechargement.png
Three Words for Dmitri Dmitriyevich Shostakovich par Wendy Lesser, publié le 14/02/2012
As an element in Shostakovich's music, the shame is perhaps not as audible as the dread, but it is everpresent nonetheless. One cannot point to a precise place in the music where you can hear it, but it underlies and supports most of the other painful emotions, and if it were removed from the mix, you would certainly notice the difference. The shame is apparent in the harshness with which Shostakovich treats himself and his own feelings; it saves the saddest quartets (like the Eighth) from self-pity, and it saves the more cheerful ones (like the Sixth) from any tincture of smugness or self-assurance...
article.png
Chords and Discords - Musical Patterns of Affinities par Pierre Bayard, Wendy Lesser, François Noudelmann, publié le 20/01/2012
Les « tables d'affinités » établies par les chimistes ont souvent servi de modèle aux rencontres sentimentales. Or, la concordance et la discordance qui résultent des affinités sont plus proches des phénomènes musicaux, où les associations redistribuent infiniment les correspondances harmoniques. Pierre Bayard, auteur de Comment parler des livres que l'on n'a pas lus, abordera cette question avec Wendy Lesser, auteur de Music for Silenced Voices : Shostakovich and His Fifteen Quartets, et François Noudelmann, qui explore, dans Le Toucher les philosophes (en cours de traduction) la relation que Barthes, Sartre et Nietzsche avaient avec leur propre pratique du piano. The affinity tables established by chemists served as models for sentimental encounters. But the concordance and discordance resulting from affinities are closer to musical phenomena, where associations infinitely redistribute harmonic correlations. Pierre Bayard, author of How to Talk About Books You Haven't Read, will discuss this topic with Wendy Lesser, author of Music for Silenced Voices: Shostakovich and His Fifteen Quartets, and François Noudelmann, who explores in Le toucher des philosophes (to be translated) the relationship that Barthes, Sartre and Nietzsche had to their own practise of the piano.
conference.png type-video.png
Sonic Affinities par Jay Gottlieb, publié le 20/01/2012
En jouant, littéralement, avec la notion d'« affinités » et ses amples résonances, Jay Gottlieb a élaboré un programme constitué de morceaux des compositeurs desquels il se sent proche, en incorporant les relations variées que ces compositeurs ont avec leur matériau sonique.Il a créé, par exemple, une vaste sculpture de sons qui inclut des passages des dix symphonies de Mahler. Il jouera aussi des morceaux de Donatoni, qui montre comment les affinités peuvent être instables ; de Berio, qui joue brillamment avec le temps libre et le temps mesuré ; de Crumb, le transcendantaliste moderne américain, qui montre qu'il existe de l'unité dans la diversité ; d'Ohana, dont les contrepoints libres se déploient de manière organique et s'amalgament à loisir ; et de Mantovani enfin, qui, comme Mahler, allie la musique de concert la plus exigeante à des moments de pure exubérance. Literally playing with the notion of "affinities" with its vast resonances, Jay Gottlieb has constructed a program not only of works by composers with whom he feels a particular bond, but also incorporating the diverse relationships of the chosen composers with their sonic material. He created for instance a vast sound sculpture that incorporates moments from all of Malher's ten symphonies. He will also play pieces by Donatoni, who shows how affinities can be volatile, Berio, who brilliantly manipulates free time versus measured time, Crumb, the modern American transcendentalist, who demonstrates the unity in diversity, Ohana, whose free counterpoints unfold organically and amalgamate as they will, and Mantovani, who, like Mahler, fuses the most exigent concert music with moments of carefree ebullience.
conference.png type-video.png
Wayne Koestenbaum - Notes on Affinity par Wayne Koestenbaum, publié le 18/04/2011
Wayne Koestenbaum (États-Unis), poète, romancier et essayiste, est l'auteur d'une œuvre protéiforme et subversive qui explore les multiples facettes de l'identité américaine à travers de nombreux thèmes (les arts, la célébrité, les gender studies...) et où se mêlent les cultures littéraire, artistique, musicale et populaire. Dans Hotel Theory, il met en regard une enquête philosophique sur les hôtels et le récit d'une rencontre improbable entre deux icônes de la culture américaine : l'actrice mythique Lana Turner et la star du music-hall Liberace.
article.png
Langston Hughes : poète jazz, poète blues par Frédéric Sylvanise, publié le 21/02/2011
Langston Hughes (1902-1967) fait partie de ces poètes qui ont nourri leur travail de l'exploration d'autres arts, en l'occurrence de la musique et des arts plastiques. Omniprésente dans des pans entiers de sa carrière, la musique n'a pas fait office chez lui de simple source d'inspiration, mais d'une sorte de matrice à un travail d'alchimie : déplacer les rythmes du jazz ou du blues vers le territoire poétique, c'est-à-dire « adapter » le langage musical au langage poétique.
article.png
Musique et théâtre : la scène shakespearienne par Francis Guinle, publié le 27/11/2009
De nombreux ouvrages ont été écrits qui se penchent sur la spécificité du théâtre anglais au XVIe et au début du XVIIe siècle. D'autres, tout aussi nombreux, traitent de la musique élisabéthaine, comme "l'âge d'or" de la musique anglaise. Peu d'ouvrages, en revanche, ont pris en compte les rapports qui s'instaurent entre ces deux formes d'art. Sans vouloir refaire ici un long historique, déjà entrepris dans un travail de recherches précédent, il me faut malgré tout énoncer au moins les grandes étapes de cette collaboration entre musique et théâtre.
article.png