Liste des résultats
Il y a 6 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
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Hélène Cixous et Cécile Wajsbrot: "Une autobiographie allemande"
par Hélène Cixous, Cécile Wajsbrot,
publié le 18/03/2016
- La Clé des Langues a eu le plaisir de rencontrer Hélène Cixous et Cécile Wajsbrot dans le cadre de la publication, aux éditions Bourgois, de leur relation épistolaire sous le titre "Une autobiographie allemande". Ce fut l'occasion d'aborder les origines allemandes de Mme Cixous, les notions de plurilinguisme et d'errance moderne, ainsi que le rapport de ces deux auteures à l'Allemagne actuelle.
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Olga Grjasnowa: "Der Russe ist einer, der Birken liebt"
par Olga Grjasnowa; Anne Lemonnier-Lemieux,
publié le 30/01/2015
- Olga Grjasnowa wurde 1984 in Baku, Aserbaidschan, in einer russisch-jüdischen Familie geboren. Neuester Roman: Die juristische Unschärfe einer Ehe, Hanser Verlag, 2014.
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Nellja Veremej: "Berlin liegt im Osten"
par Nellja Veremej,
publié le 29/08/2014
- Nellja Veremej était l’invitée du Goethe Institut de Lyon pour une lecture de son premier roman "Berlin liegt im Osten", animée par Anne Lemieux, maître de conférences en littérature allemande à l’ENS de Lyon.Une rencontre en allemand et en français, grâce à la traduction de Romain Becker. La lecture est suivie d’un entretien mené par Anne Lemieux. Dans cette deuxième partie, il est question des parallèles possibles entre "Berlin liegt im Osten" et la peinture magistrale de Berlin faite par Döblin dans "Berlin Alexanderplatz". Nellja Veremej est interrogée par le public sur son rapport à la langue allemande, qui est sa langue d’écriture mais n’est pas sa langue maternelle et reste pour elle une langue qui lui « résiste ». Nellja Veremej ne se reconnaît pas vraiment dans la dite littérature de la migration (Migrationsliteratur), chacun faisant l’expérience du départ et de la migration à plus ou moins grande échelle au cours de son existence.
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Pour une approche (un peu) plus systématique du lexique
par René Métrich,
publié le 06/03/2013
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René Métrich propose, dans une communication enregistrée lors de l’AG de l’ADEAF en 2012, une réflexion sur l’apprentissage du lexique. Partant du constat que l’importance de la grammaire dans l’enseignement est souvent bien supérieure à celle accordée au lexique, René Métrich rappelle que le lexique est le pilier de la compétence de communication.
René Métrich critique la place trop grande accordée aux expressions idiomatiques et aux synonymes dans l’apprentissage du vocabulaire. En revanche, dans cet apprentissage, la dimension syntagmatique du lexique est délaissée : or un mot doit être appris avec ceux qui l’accompagnent habituellement (relations de valence et collocations telles que ich bin der Meinung, dass). Concernant la méthode à adopter pour l’apprentissage du vocabulaire, les dix commandements de la didactique lexicale proposés par René Métrich constituent un credo que chaque enseignant consultera avec profit.
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Judith Zander : "Dinge, die wir heute sagten"
par Marie-Laure Durand, Judith Zander,
publié le 31/10/2012
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Als ihre Mutter Anna stirbt, kommt Ingrid mit ihrer Familie aus Irland zur Beerdigung nach Bresekow, ein abgelegenes Dorf in Vorpommern. Mit der Rückkehr Ingrids in ihr Heimatdorf kommen den Menschen in Bresekow längst vergessen geglaubte Geschichten wieder in den Sinn. Einige beginnen, sich an Ingrids Flucht in den Westen zu erinnern.
Aus der Perspektive neun Protagonisten heraus erzählt Judith Zander die komplexen Menschenbeziehungen in einem Dorf der ehemaligen DDR. Geheimes und Verschwiegenes kommt langsam ans Licht und klärt sich allmählich durch die Kombination der einzelnen Aussagen und Selbstgesprächen. Neben den Perspektivwechseln machen treffende Bilder, messerscharfe Beobachtungen und Sprachspiele den besonderen Reiz des Romans aus und lassen deutlich die Lyrikerin erkennen.
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Julia Franck
par Julia Franck, Catherine Dolt,
publié le 15/06/2010
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Julia Franck, 1970 in Berlin geboren, erhielt 2007 den Deutschen Buchpreis für ihren erschütternden Roman, Die Mittagsfrau, der das Schicksal einer Frau im 20. Jahrhundert schildert. Der Prolog erzählt, wie Helene ihr Kind 1945 in einer Bahnhofshalle alleine zurücklässt.
Das Buch wurde inzwischen in 35 Sprachen übersetzt.