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Lire "La chose publique ou l’invention de la politique" avec des étudiants tunisiens.
par Kmar Bendana, Françoise Coupat,
publié le 26/03/2018
- Dans le cadre du Forum Enseigner les mondes musulmans, Françoise Coupat (metteur en scène) et Kmar Bendana (professeur d’histoire contemporaine) nous font le récit, à deux voix - l'oralité tenant une place dans la dramaturgie du projet - d'une expérience pédagogique et artistique en cours, à partir d'un texte « La chose publique ou l’invention de la politique » écrit par Philippe Dujardin (politologue), qui, voulant quitter le cénacle des savants, a écrit ce conte, pour ses petites filles, figure du public, des citoyens.
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Ibn Khaldûn, historicité et origines : l'exemple des Berbères
par Gabriel Martinez-Gros,
publié le 18/05/2017
- Conférence de Gabriel Martinez-Gros, effectuée dans le cadre du Forum Enseigner les mondes musulmans, lors de la session : Récits des origines et historicités.
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Alexandrie entre mythe et historiographie
par Ghislaine Alleaume, Narimane Abd Alrahman,
publié le 30/01/2017
- le regard critique de l'historienne G. Alleaume sur les récits historiographiques concernant Alexandrie, ainsi que ses recherches minutieuses font voler en éclat cette image idyllique d'une ville cosmopolite et ouverte, pour nous dévoiler une Alexandrie méconnue voire occultée.
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La biographie de Salmān al-Fārissī et sa place dans la sīra : entre authenticité et falsification
par Brahim Jadla, Narimane Abd Alrahman,
publié le 07/03/2016
- Dans les Maġāzī d’Ibn Isḥāq (m. 151 / 768 ), le récit se rapportant à Salmān al-Fārissī, avec l’aspect légendaire qui s’en dégage, fut transmis de la même manière par au moins trois de ses disciples. Ces trois transmetteurs vivaient à Kūfa : al-Bakkāʾī (m. 183 / 799), ʿAbdullāh b. Idrīs (m. 192 / 807) et Ibn Bukayr (m. 199 / 814). D’après les sources, il s’agissait de trois transmissions écrites. En tenant compte des polémiques du début du IIe siècle de l’Hégire entre musulmans et chrétiens, mais aussi entre la jeune dynastie abbasside et ses détracteurs. Cette communication part de l’absence de différences entre ces trois narrations, pour s’interroger sur leurs auteurs. Sont-elles toutes de la plume d’Ibn Isḥāq ? Ou bien sont-elles dues à son informateur direct, ʿĀṣim b. ʿUmar b. Qatāda (m. 120 / 737) ?
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Récit de guerre. Une étude comparative des récits de Badr et Uḥud par Ibn Hišām et al-Wāqidī
par Yousef Taharraoui, Narimane Abd Alrahman,
publié le 07/03/2016
- La bataille de Badr a fait l’objet, dès les débuts de l’historiographie musulmane, de trois récits importants : Ibn Isḥāq (m. 150/767), Wāqidī (m. 207/823) et Ibn Sa ‘d (m. 230/845). Cette communication traite succinctement, dans la version la plus riche, à savoir celle de Wāqidī, des points suivants : les grandes articulations du récit, ses éléments constitutifs, les rêves prémonitoires, le commandement militaire et quelques scènes de batailles. Cette étude d’un récit de guerre, parmi d’autres du même auteur, contribue à l’étude des débuts de l’historiographie musulmane tout en inscrivant celle-ci dans une perspective littéraire.
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Le Mīlād musulman ou l'écriture par collation
par Slimane LAMNAOUI, Narimane Abd Alrahman,
publié le 02/03/2016
- La Sīra Nabawiyya, récit de vie du prophète de l’islam, est une narration inspirée du fond commun de la culture et de l’histoire des mentalités et croyances, s’autorisant du Musée imaginaire de l’Arabie. À partir des premiers textes d’Ibn Ishāq et Ibn Hišām, mais aussi des œuvres épigones, l’auteur s’interroge sur la construction du récit et la forme narrative à travers laquelle se justifie une typologie de la Nativité conforme au topos de la naissance sacrée.
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Hospitalité et art du recevoir : Un ambassadeur du Khan Argun en Occident
par Claire Fauchon,
publié le 02/06/2009
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Au Moyen Âge, les voyageurs d'Occident en Orient sont relativement bien connus. Marco Polo a ainsi laissé un récit vif et coloré des contrées orientales. En revanche, les voyageurs d'Orient en Occident sont plus rarement connus, car leurs ouvrages et leurs langues nous sont moins familiers. Néanmoins, ils offrent matière à étude comme le montre l'ouvrage italien de P. G. Borbone récemment paru en France dans une traduction en français d'E. Alexandre et une mise à jour de l'auteur.
Cet article n'est pas un compte rendu exhaustif de l'ouvrage mais se propose d'étudier trois thèmes : le voyage comme structure du récit, les types d'hospitalités, les biais et les silences du récit. Il espère ainsi proposer quelques pistes de réflexion sur l'art du recevoir en Orient et en Occident, sur l'organisation de l'Église d'Orient au XIIIe siècle et sur un pan méconnu de l'histoire mongole.
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Manières de table dans l'empire ottoman à l'orée du XVIIIe siècle
par Henri Duranton,
publié le 08/09/2008
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Extraits du voyage du Sieur Paul Lucas dans le Levant. Paul Lucas est d'abord un commerçant, faisant trafic de pierres précieuses. Pour les besoins de son activité professionnelle il sillonne l'empire ottoman de Constantinople à Tunis, du Caire à Jérusalem, parcourant à maintes reprises la Turquie, l'Asie mineure, l'Egypte, la Palestine, l'actuel Maghreb, sans compter toutes les îles de la Méditerranée, et, à l'occasion, la Perse et l'Arménie.