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Recherche multi-critères

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Il y a 8 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Una gran voglia di litigare : Il Gruppo 63, Bassani et alii... par Elisabeth Kertesz-Vial, publié le 06/12/2021
En octobre 1963, lors d’un premier congrès, un groupe d’intellectuels se réunit dans le but avoué de confronter les travaux des uns et des autres. Ce groupe se définit autour de la notion d'avant-garde, en se réclamant à la fois de la nouveauté créatrice et d’un héritage, celui des révolutions littéraires qui les précédaient. La polémique – envisagée comme une vertu – constitue la base de cette session de travaux. Certains jeunes écrivains se lancent dans une violente attaque contre les valeurs littéraires établies. Un trait d’esprit est alors lancé contre les deux auteurs de romans parmi les plus célèbres de leur temps : Giorgio Bassani et Vasco Pratolini, accusés d’être les "Lialà de leur temps" et de verser dans le sentimentalisme, alors que les néo-avant-gardistes prônent la déconstruction du langage et privilégient la forme plutôt que le contenu. La communication veut approfondir ce que venait de révéler cette attaque brutale et cette accusation de la part des membres du "Gruppo 63" et la confronter à la défense de Giorgio Bassani. L'intervention a été enregistrée à l'occasion du colloque "Esclandre" qui s'est tenu du 15 au 17 avril 2021, organisé par l'Université Clermont Auvergne et l'IHRIM.
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L'immigration italienne à Lyon par Jean-Luc de Ochandiano, Damien Prevost, publié le 30/05/2014
Au cours de cet entretien, Jean-Luc de Ochandiano nous parle de la question de l'immigration italienne au cours des XIXème et XXème siècles en centrant son discours sur le cas spécifique de Lyon. Jean-Luc de Ochandiano, tout en récusant le terme de "communauté italienne" aborde également l'épineux problème de la mémoire entre héritage et reconstruction à travers deux "événements" : la sortie de son livre l'année dernière et l'exposition aux archives municipales de Lyon.
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Conclusion de la journée "Le memorie dei figli" par Jean-Claude Zancarini, Boris Gobille, publié le 26/11/2010
Jean-Claude Zancarini et Boris Gobille concluent cette journée en synthétisant les différences et les points de convergence des trois expériences retenues. Il apparaît donc, qu'il n'y a pas un héritage mais bien des héritages de ces années-là. Par ailleurs, Boris Gobille tient à insister sur le caractère particulier du registre de l'intime qui est souvent l'élément central de ces narrations : un intime souvent dépolitisé, désociologisé et déshistoricisé. Jean-Claude Zancarini finira en évoquant les vertus de la fusion de l'histoire et de la littérature.
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Hériter d'un père maoïste. À propos de Le jour où mon père s'est tu de Virginie Linhart par Xavier Vigna, publié le 19/11/2010
Au cours de son intervention, Xavier Vigna nous offre un regard piquant sur l'ouvrage de Virginie Linhart. En effet, il montre comment ce livre qui se propose - sans le dire - de donner une réponse à la question de l'héritage de 68 chez les enfants des acteurs de ces années-là se perd entre la question privée et la volonté de recherche sociologique. En réalité, ce livre relève bien plus de la réflexion personnelle dans un cadre familial et privé (les relations entre Virginie Linhart et son père - Robert Linhart) que d'une histoire commune fondée sur l'analyse sociologique - à laquelle Virginie Linhart ne se réfère pas - mais qui transparaît dans sa démarche.
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Mai 68 en héritage : Socialisation contre-culturelle et genèse d'une "génération dyssocialisée" par Julie Pagis, publié le 12/11/2010
Julie Pagis aborde les enfants héritiers des années 70 sous l'angle de l'étude sociologique. Elle développe l'exemple de Mikaël fils de "soixante-huitards" et nous explique les tensions identitaires auxquelles il est confronté. Plus généralement Julie Pagis montre clairement l'hétérogénéité de la catégorie "d'enfants de soixante-huitards" et de l'impossibilité d'établir un profil type unique.
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Être fille d'une mère terroriste : l'image d'Ulrike Meinhof dans la biographie rédigée par sa fille (Bettina Röhl, So macht Kommunismus Spass) par Anne Lagny, publié le 05/11/2010
Anne Lagny pose des questions au livre de Bettina Rhöl à travers deux arrière-plans (Norbert Élias et Franz Fühmann) qui nous permettent de mieux comprendre la spécificité du mouvement allemand. Ainsi, elle montre comment le passé nazi pèse sur ces années et comment l'absence d'un discours sur le nazisme est un facteur déclenchant de la crise que la RFA a traversé dans les années 70. Par ailleurs, elle montre également comment Bettina Röhl ne parvient pas à nous faire comprendre ni Ulrike Meinhof - sa propre mère - ni même le contexte de l'époque vu l'absence de transmission directe entre les deux femmes. Il s'agit plus donc plus d'un "dossier" qui a ses vertus que d'une biographie qui donne accès à l'essence de cette femme.
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Più storia che memoria par Giovanni De Luna, publié le 08/06/2010
Giovanni De Luna ci parla in questo intervento della memoria, del suo uso e del suo rapporto con la storia. Più particolarmente, spiega le vicissitudini della cosidetta "memoria ufficiale" e della sua strumentalizzazione.
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Introduction à la Journée d'étude "Le memorie dei figli" par Maurizia Morini, publié le 25/05/2010
Maurizia Morini ci presenta in questo video gli interventi e gli obiettivi della giornata del 21 maggio. Il tema della giornata, "Memorie dei figli - eredità rivelate nella narrazione presente degli anni '70 ", si ispira alle recenti pubblicazioni di tanti libri sugli anni '70, libri scritti dai figli degli attori di quel periodo. La giornata sarà anche l'occasione di mettere a confronto le esperienze di tre paesi vicini per quanto riguarda questi tipi di eredità - la Francia, la Germania e l'Italia
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