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Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 13 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Faire mémoire de la dernière dictature argentine : étude de cas de la chronique graphique ESMA (2019). par Aurélia Gafsi, publié le 12/04/2022
En 2019, le journaliste Juan Carrá et l’illustrateur Iñaki Echeverría publient un roman graphique intitulé ESMA. Le titre renvoie à la période de la dernière dictature argentine (1976-1983) dans un contexte où la société argentine continue de se mobiliser pour la vérité, la mémoire et la justice au nom des victimes disparues et survivantes de la violence répressive. Cet ouvrage crée une histoire visuelle de ce passé récent, faisant ainsi mémoire à travers un outil original : le roman graphique.
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L'école Isidro Burgos d'Ayotzinapa, construction narrative de la marge et du centre par Claire Delacourt, publié le 15/03/2022
Podcast d'une communication sur deux textes de journalisme narratif contemporain qui abordent le drame d'Ayotzinapa. Cette étude rappelle les événements survenus au Mexique en 2014 et analyse l'écriture de l'immersion.
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La violencia del primer año de la dictadura argentina en el diario La Opinión par Aurélia Gafsi, publié le 18/01/2022
El golpe de Estado militar del 24 de marzo de 1976 marcó el inicio de la última dictadura argentina que duró hasta 1983. El primer año de la dictadura se caracterizó por una violencia omnipresente que la prensa del país hizo visible. Un estudio de la cobertura periodística de la violencia en el diario nacional La Opinión permite destacar la variedad de violencias que marcaron la sociedad argentina. La elección de este diario se relaciona con el público lector que tenía. El periódico era uno de los cuatro diarios nacionales con amplia difusión —los otros diarios del mismo tipo son La Nación, Clarín, La Prensa. Por consiguiente, se puede considerar que este diario da a ver las elecciones de un equipo editorial que no escribía para una minoría. Sin embargo, queremos subrayar que César Díaz en La cuenta regresiva indica que La Opinión no tenía un público lector tan amplio como otros diarios nacionales. Es decir que los argentinos que leían el diario eran sobre todo universitarios, intelectuales y políticos. Y César Díaz precisa que Jacobo Timerman —fundador del diario y director hasta su secuestro en abril de 1977— tenía conciencia de que su diario no se dirigía a la « inmensa mayoría ». Así el diario elegido, era paradójicamente un diario con difusión nacional pero también el diario nacional con más reducido lectorado. Entonces se trata de plantear cómo los periodistas mostraron a sus lectores esas violencias múltiples durante los primeros meses de la dictadura.
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Los niños perdidos de Laila Ripoll : la religion sous le franquisme par Adelina Laurence, publié le 24/11/2021
Laila Ripoll, dramaturge reconnue, notamment pour son travail sur le devoir de mémoire, explore une facette peu connue de l’Histoire de l’Espagne au lendemain de la guerre civile : les enfants perdus du franquisme. En s’inspirant du documentaire Els nens perduts del franquisme, elle écrit en 2005 Los niños perdidos. Dans cette pièce, à travers le récit de quatre enfants arrachés aux bras de leurs parents républicains afin d’être rééduqués, elle met en exergue les mauvais traitements dont ils sont victimes, au nom de l’État et de la nation, ainsi que la place de l’Église dans leur éducation, celle-ci étant la colonne vertébrale du nouveau régime.
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Formas de (decir) la violencia en Sangre en el Sur. El fascismo es uno solo par Raúl Caplan, publié le 08/12/2020
Cet article s'intéresse à Snagre en el sur de Saúl Ibargoyen. Ce roman occupe une place à part dans la littérature de témoignage sur la violence dictatorial dans le cône sud, car il s'agit à la fois d'un roman, d'un essai, d'un témoignage.
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Las Trece Rosas, unas representantes de la violencia ejercida por el régimen franquista sobre las mujeres “rojas” par Alice Tusa, publié le 04/11/2020
Cet article se propose d'étudier la violence exercée sur les femmes républicaines à l'époque franquiste en Espagne à travers l'exemple des "treize roses", treize jeunes femmes exécutées pendant la dictature.
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La dépolitisation du torero El Cordobés comme reflet d’une génération sous le franquisme par Justine Guitard, publié le 18/10/2017
Le franquisme, régime dictatorial sous l’égide du général Franco, s’étend de 1939 à 1975. En trente-six années, l’évolution du système, qui desserre progressivement son étau, se répercute sur l’ensemble des citoyens. Néanmoins, la guerre civile et la forte répression laissent des séquelles importantes. De nombreux Espagnols se tiennent à distance raisonnable de la politique pour ne se préoccuper que de leur bien-être matériel, à l’instar du célèbre torero des années 1960. La dépolitisation del Cordobés, personnage dont les médias récupèrent l’image, semble être le reflet de toute une génération sous le franquisme.
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"Le crime des crimes" : les mécanismes de la disparition forcée sous la dictature civico-militaire argentine par Amandine Cerutti, publié le 09/05/2016
Tout au long des années de plomb en Argentine (1976-1983), une violence souterraine, clandestine et silencieuse règne dans le pays, par le biais de la généralisation de la « disparition forcée ». Cette méthodologie criminelle se cristallise en une multitude de stratégies mises en œuvre par la junte militaire au pouvoir. Le présent travail s'efforcera de mettre en lumière ces mécanismes silencieux.
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Entrevista a Macarena Gelman par Macarena Gelman, publié le 08/04/2016
Con ocasión de la conmemoración de los 40 años del golpe de estado militar en la Argentina la asociación Sol-Ar (Solidaridad con Argentina) organizó un encuentro con víctimas de la represión. Aprovechamos la ocasión para pedirle una entrevista a Macarena Gelman que muy amablemente accedió. La entrevista tuvo lugar el 4 de abril de 2016 en un bar cerca del IEP de Lyon donde Macarena Gelman había dado una charla.
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Le sort des enfants des opposants sous la dictature en Argentine par Viviane Petit, publié le 23/05/2014
La dictature militaire argentine, de 1976 à 1983, est tristement célèbre pour l’énorme répression qui a été mise en place durant cette période, dans l’objectif d’une « réorganisation nationale » qui ne peut se faire qu’en luttant « contre la subversion ». Des milliers de personnes en ont été les victimes : la torture, les exécutions et les disparitions deviennent quelque chose de quotidien dans le pays. De nombreux centres clandestins de détention et de torture sont ouverts et une grande partie des prisonniers n’en est jamais revenue. Parmi ces personnes, il y avait des femmes avec des enfants ou des femmes enceintes. Cet article, comprenant des témoignages traitant du sujet de ces enfants disparus, détaille le contexte historique.
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Le Mexique en armes par Laura Castellanos, ENS Lyon La Clé des Langues, publié le 20/04/2010
Présentation de "Le Mexique en armes, Guérilla et contre-insurrection 1943-1981", de Laura Castellanos, suivie d'un large extrait du chapitre 4 de l'ouvrage (p. 205-224).
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Histoire de la révolution mexicaine par Jesús Silva Herzog , ENS Lyon La Clé des Langues, publié le 16/03/2010
Au fil des pages de ce classique de la littérature mexicaine, Jesús Silva Herzog raconte, dans un style vif et enlevant, les principaux événements de la Révolution mexicaine (1910-1917), la première révolution sociale du xxe siècle. Oeuvre trépidante faisant une large part aux intrigues et aux retournements qui l'ont ponctué, Histoire de la Révolution mexicaine retrace les faits et gestes des grands personnages de l'époque que sont les dictateurs Porfirio Díaz et Victoriano Huerta et les chefs révolutionnaires Francisco I. Madero, Venustiano Carranza, Álvaro Obregón, Pancho Villa et Emiliano Zapata. L'historien porte une attention particulière aux problèmes économiques et sociaux, notamment le partage des terres et la répression des grèves, qui ont poussé des millions de paysans et d'ouvriers mexicains à la révolte.
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Un lugar llamado Oreja de Perro par Clémence Oriol, publié le 19/06/2009
Pour son quatrième roman, Iván Thays nous fait partager l'histoire à la première personne d'un journaliste tourmenté. Sa femme, Mónica, l'a abandonné, et le souvenir de leur petit garçon, mort subitement quelques mois plus tôt, le poursuit. Il reçoit une lettre de Mónica. Le jour même, il est envoyé en reportage dans un village nommé Oreja de Perro, dans la province d'Ayacucho. Dans cette région durement frappée depuis vingt ans par le terrorisme et l'intervention des militaires, on attend la visite du président Toledo, qui lance un programme de pacification et d'assistance aux victimes. Le narrateur couvre l'événement, accompagné d'un photographe cynique appelé Scamarone. C'est alors qu'il fait la rencontre d'une femme enceinte extralucide, Jazmín.
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