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Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 7 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Maternité et propagande : Kati Horna et le photo-journalisme dans la revue Umbral par Gaëlle Guillets Sariols, publié le 16/06/2022
Cet article propose une analyse comparée entre une photographie d’archive offerte par Kati Horna au gouvernement espagnol et la page de la revue dans laquelle cette photographie a d’abord été publiée. À l’issue de cette analyse, il s’agira de montrer comment le motif de la mater dolorosa (et toute l’intericonicité sous-jacente à cette image) est utilisée dans le contexte de la revue à des fins de propagande de la part du gouvernement républicain. Nous verrons ainsi comment l’image, par la façon dont elle est découpée et mise en page oriente l’interprétation politique du lecteur-spectateur.
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L'école Isidro Burgos d'Ayotzinapa, construction narrative de la marge et du centre par Claire Delacourt, publié le 15/03/2022
Podcast d'une communication sur deux textes de journalisme narratif contemporain qui abordent le drame d'Ayotzinapa. Cette étude rappelle les événements survenus au Mexique en 2014 et analyse l'écriture de l'immersion.
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Mario Vargas Llosa, conversation avec Rubén Gallo par Zoé Noël, publié le 07/09/2020
Présentation du recueil d'entretiens entre l'écrivain péruvien Mario Vargas Llosa et le professeur Rubén Gallo.
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Colloque "Gare de France" par Marine Knoll, Marie Dupont, Adrian Guyot, publié le 24/10/2013
Les 17 et 18 octobre 2013 a eu lieu à l’École Normale Supérieure de Lyon un colloque international intitulé « Gare de France : lire le journalisme littéraire entre la France et la Catalogne », organisé par Ester Pino Estivill et Antoni Martí Monterde. Au rythme d’un dynamique va-et-vient entre Paris et Barcelone, les notions de journaliste et d’écrivain ont été interrogées suivant des approches très variées, allant de l’écriture du moi au journalisme culturel, en passant par l’analyse de la figure du lecteur de presse.
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Elena Poniatowska, la "princesa roja" par Caroline Bojarski, publié le 26/04/2012
Nacida en 1932 en París, Elena Poniatowska viene de una familia cuyos orígenes son múltiples. Su madre, Dolores Amor era hija de una familia porfiriana, exiliada tras la revolución, que se casó en París con el heredero de la corona polaca, Jean Evremont Poniatowski Sperry. Nacen Elena y su hermana Sofia y viven en Francia hasta 1941 cuando emigran con su madre a México, huyendo la secunda guerra mondial. Su padre les seguirá más tarde. En México Elena aprende a hablar español con su nana Magdalena Castillo. En 1949, a los diecisiete años, es enviada a Estados Unidos en un convento de monjas. De regreso, en 1952, decide dedicarse a su primera vocación que hoy en día sigue ejerciendo : el periodismo.
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Elena Poniatowska, Querido Diego, te abraza Quiela par Caroline Bojarski, publié le 26/04/2012
Elena Poniatowska est une écrivaine mexicaine d'origine polonaise de renommée internationale. Journaliste de formation, ses romans sont souvent le fruit d'un savant mélange entre réalité et fiction, déconstruction et dénonciation. Repoussant les limites des genres littéraires en ayant recours au témoignage, à l'essai, au roman ou à la photographie sans s'y enfermer, ses romans sont à la fois des instantanés d'une époque et une plongée au cœur de l'intimité. Dans Cher Diego, Quiela t'embrasse, elle met en scène une femme oubliée, effacée, qui partagea la vie du célèbre peintre mexicain Diego Rivera pendant dix ans. Dans ce roman épistolaire, la frontière entre la fiction et la réalité n'est encore une fois pas hermétique, à la manière des tableaux du Paris des années 1920.
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La figure féminine chez Arturo Pérez Reverte par Emmanuelle Zolesio, publié le 12/06/2008
Dans un article sur Georges Simenon, Benard Lahire invitait à analyser dans les œuvres littéraires la « sociologie implicite » de leurs auteurs et à mettre en lien celle-ci avec leur trajectoire personnelle et leurs expériences socialisatrices passées. L'interrogation sur les liens entre la « vie » et « l'œuvre » à partir des romans d'Arturo Pérez-Reverte apparaît tout à fait légitime. Dans Le peintre de batailles, qu'il considère comme la pièce angulaire de toute son œuvre, l'écrivain espagnol revient sur ses 21 ans passés comme reporter puis correspondant de guerre, s'interrogeant sur sa responsabilité morale. Il explique avoir pendant longtemps « scindé sa vie en deux » (journalisme d'un côté, littérature de l'autre), le temps était venu pour lui de la rassembler. Ce livre est en partie un témoignage (il explique qu'il n'avait jamais véritablement parlé auparavant de ces années professionnelles à son épouse, sa fille ou ses amis sinon de façon allusive), qu'il a « composé, la tête froide, prenant dans [s]on sac à dos ce qu'il [lui] fallait, juste ce qu'il fallait - en faisant le tri et en tentant de mettre chaque chose précisément à sa place ». Mais l'auteur n'avait pas attendu ce roman pour mettre de lui-même dans sa fiction...
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