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Recherche multi-critères

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La Déclaration d’indépendance de Palestine de Mahmoud Darwich et sa traduction par Elias Sanbar. Du souffle poétique à la raison diplomatique par Sylvie Chraibi, publié le 23/03/2022
La Déclaration d’indépendance de l'Etat de Palestine a été rédigée en langue arabe le 15 novembre 1988 à Alger par le grand poète palestinien Mahmoud Darwich, à la demande de Yasser Arafat qui était alors chef de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) (Avnery 2008 : 162). Dans la foulée de la proclamation de la Déclaration, le texte fut traduit en français par Elias Sanbar, écrivain franco-palestinien et diplomate, traducteur de nombreux recueils de Mahmoud Darwich, et en anglais par Edward Saïd, professeur de littérature comparée palestino-américain à l’université Columbia (États-Unis). Dans une perspective d’analyse de discours, mise au service d’une étude traductologique comparative arabe-français, cet article tente de mettre en lumière les différentes stratégies linguistiques et littéraires adoptées par chacun des deux auteurs-traducteurs pour marquer la portée idéologique du texte. À un niveau proprement traductologique, nous avons voulu montrer en quoi les textes produits, empreints des « visions du monde » personnelles des deux intellectuels engagés, laissent toutefois entendre une « polyphonie harmonique », résultant d’une conviction globale partagée.
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La métrique d'al-Khalîl par Georges Bohas, publié le 02/11/2009
Dans une communication donnée au mois d'octobre 2009 au Laboratoire d'histoire linguistique, Georges Bohas présente pour non spécialistes le fonctionnement ingénieux de la théorie métrique d'al-Khalil ainsi que ses principaux défauts.
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La revue Al-Machriq et les belles-lettres arabes par Ahyaf Sinno, publié le 04/05/2009
Cette étude est consacrée à un domaine majeur cultivé par la revue al-Machriq, depuis sa parution en 1889 jusqu'à son arrêt provisoire en 1970. Elle se propose de présenter au lecteur un tableau de la contribution de cette revue à l'étude des belles-lettres arabes, depuis la période préislamique jusqu'à la première guerre mondiale : elle voudrait, d'une part, préciser le rôle d'al-Machriq dans le développement des études littéraires arabes et, d'autre part, fournir au chercheur une bibliographie analytique et raisonnée, à partir des questions traitées. Ainsi, on passe en revue, à travers les grandes époques de la littérature arabe, les différents domaines auxquels al-Machriq a consacré des études (histoire littéraire, études de genres ou d'auteurs déterminés, recherches historiques, sociales, religieuses et linguistiques afférentes, publications de manuscrits, apport chrétien particulier...), sans oublier les principaux collaborateurs qui ont participé pendant de longues années à l'exécution de cette lourde tâche. De la sorte, on arrive à cerner, de plus près, le rôle fondamental joué par al-Machriq comme élément stimulateur de la renaissance arabe, et son grand intérêt, comme instrument de travail indispensable aux chercheurs, dans le vaste champ des études littéraires arabes en particulier.
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Questions fréquemment posées sur la langue arabe par Djamel E. Kouloughli, publié le 06/06/2008
Quelle a été la situation linguistique au moment de la révélation de l'Islam? Quel rôle le coran a-t-il joué dans la fixation de la langue classique ? Qu'en est-il réellement de la diglossie ? Directeur de recherche au CNRS, M. Djamel Kouloughli, dans un entretien en version écrite, répond à dix questions et discute de quelques idées reçues sur la langue arabe.
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Moyen arabe et questions connexes par Djamel E. Kouloughli, publié le 23/11/2007
Un linguiste non-arabisant qui rencontrait pour la première fois l'expression « Moyen Arabe » (en anglais : « Middle Arabic ») penserait certainement que cette expression désigne une variété historique de l'arabe, intermédiaire entre les formes les plus anciennement attestées de la langue, désignées comme « Ancien Arabe » (en anglais : «Old Arabic »), et les formes plus contemporaines de la langue appelées « Arabe moderne » (en anglais : « Modern Arabic »). On serait là en face d'une nomenclature cohérente, conforme aux usages de la linguistique historique pour d'autres langues, et confortant le vieil adage selon lequel une discipline scientifique c'est d'abord une terminologie bien faite.
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La théorie des matrices et des étymons par Georges Bohas, Abderrahim Saguer, publié le 29/09/2007
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La racine en question par Georges Bohas, publié le 22/05/2007
Mise en évidence naïve de la nécessité d'un niveau plus explicatif que celui de la racine. Pour les savants du XIXe siècle, il était évident que la racine triconsonantique n'était pas le constituant ultime dans l'organisation du lexique. On trouvera dans mon livre [BOHAS, G., 2000, Matrices et étymons, développements de la théorie, Lausanne, éditions du Zèbre] une traduction d'un passage de la grammaire de Gesenius particulièrement pertinent à ce sujet.
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Argumentation en faveur d'un niveau plus abstrait que la racine par Georges Bohas, publié le 21/05/2007
La tâche du linguiste est de repérer des faits concernant la langue ou le langage, de formuler des généralisations à leur sujet et de tenter de les expliquer dans le cadre d'une théorie. Celui qui s'intéresse au lexique procédera ainsi dans ce domaine ; en d'autres termes, il ne saurait se contenter de faire une liste des items lexicaux, mais il lui faut rendre compte des phénomènes de synonymie, polysémie, homonymie, énantiosémie que manifestent les termes du lexique.
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L'identification de la racine par Georges Bohas, Salam Diab-Duranton, publié le 16/05/2007
L'identification de la racine est le préliminaire à toute étude morphologique et phonologique, que ce soit dans le cadre des grammairiens arabes ou dans celui des linguistes structuralistes ou générativistes. Beaucoup de gens aimeraient à croire que cette identification est facile ; certains considèrent même que la racine n'est pas un concept ou un outil grammatical mais posent qu'il s'agit d'une réalité présente dans le cerveau des Sémites en général et des Arabes en particulier, et qui régirait leur comportement linguistique et dont ils seraient conscients.
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