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Recherche multi-critères

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Il y a 30 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
إميل حبيبي الباقي في حيفا - Revue littéraire par Fatiha Jelloul, publié le 19/12/2023
تتناول هذه الورقة ﺧﺼﻮﺻﻴﺔ اﻟﺘﺠﺮﺑﺔ اﻟﺮواﺋﻴﺔ للأديب الفلسطيني إميل حبيبي الذي يُعتبر من أبرز الروائيين الفلسطينيين والعرب بحيث مثل تيارا أساسيا في الرواية العربية المعاصرة، وأسس رؤية روائية حديثة من خلال تهجين الشكل الروائي الأوروبي بعناصر سردية مستثمرة الموروث الثقافي العربي. شكل إميل حبيبي حالة نضالية من أجل وطنه فلسطين من خلال كتاباته كمخزون ثقافي يقاوم الاندثار ويحافظ على هوية وطنه الذي تشبث بالبقاء فيه، فقال : " وأنا أحلم أن من يريد أن يراجع حيفا، أو عكا، أو حتى يافا، قبل عام 1948، يستطيع أن يعتمد على كتاباتي. مرة أخرى أقول لكم: هذا أستطيعه أنا بفضل أنني بقيت، وبعد عمر طويل تركت من ورائي وصية أن يكتب على قبري فقط جملة واحدة: "باق في حيفا"، وأن أدفن في حيفا."
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Le mondain et le religieux dans le système culturel de l’adab classique par Moulay Mustapha Tesrif, publié le 27/05/2022
L’adab est un concept très utilisé dans l’histoire littéraire de l’arabe classique. Objet de nombreuses interprétations, le mot va devenir un « fourre-tout » pour désigner tour à tour festin, coutumes, normes, règles de conduite, art de vivre, codes éthiques, règles morales, éducation, pratiques sociales, culture, etc. Au IIIe/IXe siècle, l’usage du concept de l’adab se réorganise en amont des changements politiques, sociaux et religieux. Les meilleurs représentants de l’adīb de l’époque sont al-Ǧāḥiẓ et Ibn Qutayba. Ils sont considérés comme les principaux rénovateurs de l’adab. Ils en ont fait une conception du savoir et du savoir-être essentiels pour discipliner l’esprit et l’ancrer dans son cadre islamique. Leurs chefs-d’œuvre ont formé le noyau dur sur lequel, entre autres, les lettres et humanités arabes se sont fondées.
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La Déclaration d’indépendance de Palestine de Mahmoud Darwich et sa traduction par Elias Sanbar. Du souffle poétique à la raison diplomatique par Sylvie Chraibi, publié le 23/03/2022
La Déclaration d’indépendance de l'Etat de Palestine a été rédigée en langue arabe le 15 novembre 1988 à Alger par le grand poète palestinien Mahmoud Darwich, à la demande de Yasser Arafat qui était alors chef de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) (Avnery 2008 : 162). Dans la foulée de la proclamation de la Déclaration, le texte fut traduit en français par Elias Sanbar, écrivain franco-palestinien et diplomate, traducteur de nombreux recueils de Mahmoud Darwich, et en anglais par Edward Saïd, professeur de littérature comparée palestino-américain à l’université Columbia (États-Unis). Dans une perspective d’analyse de discours, mise au service d’une étude traductologique comparative arabe-français, cet article tente de mettre en lumière les différentes stratégies linguistiques et littéraires adoptées par chacun des deux auteurs-traducteurs pour marquer la portée idéologique du texte. À un niveau proprement traductologique, nous avons voulu montrer en quoi les textes produits, empreints des « visions du monde » personnelles des deux intellectuels engagés, laissent toutefois entendre une « polyphonie harmonique », résultant d’une conviction globale partagée.
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Le prince humaniste arabo-persan au temps des Seldjoukides (XIe-mi XIIe siècles)
L’historiographie, surtout persanophone, a longtemps retenu la grille de lecture suivante quand il s’agissait de comprendre les Miroirs des princes persans : ils étaient le reflet d’une culture persane multiséculaire travestie sous des habits islamiques. Pourtant l’étude de deux Miroirs des princes du XIe siècle, ceux de Keykāvus et de Nizām al-Mulk, montre que le phénomène est plus complexe et que le rôle de la culture du conquérant arabe ne saurait se résumer à l’apport de l’islam. Cela doit être néanmoins mis en relation avec la création d’un fond culturel authentiquement persan qui s’affirme toujours plus au XIe siècle.
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Ecrire l'inattendu. Les printemps arabes entre fiction et histoire. par Elena Chiti, Touriya Fili- Tullon, Blandine Valfort, publié le 21/01/2016
L'ouvrage collectif Ecrire l'inattendu. Les "Printemps arabes" entre fiction et histoire est sorti en décembre 2015 aux éditions Académia. A cette occasion, nous avons rassemblé dans cette page les titres des différents chapitres du livre en les mettant en lien avec ce que nous avons publié du colloque international L'inattendu dans la création littéraire et artistique à la lumière des printemps arabes, qui a eu lieu en novembre 2013 à l'université Lyon 2 Lumière, et auquel la Clé des langues a été cordialement conviée.
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Le monolinguisme de l’arabe classique et les défis de la traduction littéraire par Ghada Mourad, Narimane Abd Alrahman, publié le 02/09/2015
Si, dans l’optique de Derrida, on ne peut s’approprier une langue et que la pureté de celle-ci est chimérique, comment des théoriciens tels que Frantz Fanon ou Ng?g? wa Thiong'o peuvent-ils discuter du rôle que joue la langue maternelle dans l’émancipation des gens, alors que Derrida met en question la validité du terme lui-même ? Et que signifie cette discussion pour les traducteurs littéraires exerçant à partir de l’arabe ou en direction de lui ?
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السد par Mohamed Alwane, publié le 05/07/2015
Le "mot clé" qui a inspiré à l'auteur ce texte dont vous trouverez la traduction dans le Lexique Nomade de cette 9ème édition des AIR.
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Désir - رغبة par Ali Bader, Narimane Abd Alrahman, publié le 14/06/2014
Mot clé de l'auteur lors des Assises internationales du roman.
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الاستعادة - Reconstitution par Ali Bader, Narimane Abd Alrahman, publié le 14/06/2014
Le cinéma a donné la preuve de sa puissance pour mettre en scène des pans de l’histoire, à grands frais de décors et d’inventivité. Mais quelle est la démarche spécifique de l’écrivain ? Au prix de quelles recherches historiques, et par quels moyens peut-il donner à voir la coloration particulière d’une époque passée ? Faut-il s’en tenir aux données établies ou privilégier la vraisemblance ? Quelle place pour le savoir attesté, quelle place pour l’hypothèse et l’imaginaire ?
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Les jeunes face aux problèmes d'emploi dans le contexte tunisien et maghrébin actuel par Imed Melliti, publié le 28/02/2014
Dans le cadre du séminaire "Ecrire les modernités arabes", Imed Melliti a abordé la question de l’emploi des jeunes en Tunisie. Dans cette première partie de son intervention, il aborde une réflexion objectiviste du sujet, et traite de l’emploi des jeunes tel qu’il se présente actuellement en Tunisie, ainsi que des politiques publiques liées à l’insertion professionnelle des jeunes.
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Comment raconter le conflit ? par Hoda Barakat, Narimane Abd Alrahman, publié le 20/09/2013
C’est parce qu’un conflit ne peut être que la conséquence d’une tension, due logiquement à une proximité, que nous nous sentons aussi proches dans nos désamours.
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L'avenir du roman arabe par Hayfa Bitar, publié le 04/04/2011
La romancière syrienne, Hayfa Bitar, rédige un compte rendu du "Forum international de la créativité romancière arabe" qui s'est tenu au Caire, au mois de décembre 2010. Dans sa cinquième édition, le Forum exprime les inquiétudes des intellectuels et romanciers arabes sur l'avenir du roman arabe à l'ère de la mondialisation et de la révolution informatique.
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Hospitalité et art du recevoir : Un ambassadeur du Khan Argun en Occident par Claire Fauchon, publié le 02/06/2009
Au Moyen Âge, les voyageurs d'Occident en Orient sont relativement bien connus. Marco Polo a ainsi laissé un récit vif et coloré des contrées orientales. En revanche, les voyageurs d'Orient en Occident sont plus rarement connus, car leurs ouvrages et leurs langues nous sont moins familiers. Néanmoins, ils offrent matière à étude comme le montre l'ouvrage italien de P. G. Borbone récemment paru en France dans une traduction en français d'E. Alexandre et une mise à jour de l'auteur. Cet article n'est pas un compte rendu exhaustif de l'ouvrage mais se propose d'étudier trois thèmes : le voyage comme structure du récit, les types d'hospitalités, les biais et les silences du récit. Il espère ainsi proposer quelques pistes de réflexion sur l'art du recevoir en Orient et en Occident, sur l'organisation de l'Église d'Orient au XIIIe siècle et sur un pan méconnu de l'histoire mongole.
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Fouad Ephrem Boustany à travers la revue Al-Machriq par Ahyaf Sinno, publié le 02/06/2009
Cet article étudie la contribution de Fouad Ephrem al-Boustany (1906-1994) à la revue Al-Machriq, pendant trente ans (1923 - 1952), à travers les articles, les comptes rendus, les notes... qu'il y a publiés, afin d'éclairer d'un jour nouveau son itinéraire intellectuel, ses centres d'intérêts et sa méthode. C'est ainsi que l'on se rend compte de l'étendue de l'encyclopédisme de cet auteur qui - pour l'effort qu'il a déployé dans le rajeunissement des études littéraires arabes - occupe une place prépondérante dans la période de transition entre traditionalisme et modernité.
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La revue Al-Machriq et les belles-lettres arabes par Ahyaf Sinno, publié le 04/05/2009
Cette étude est consacrée à un domaine majeur cultivé par la revue al-Machriq, depuis sa parution en 1889 jusqu'à son arrêt provisoire en 1970. Elle se propose de présenter au lecteur un tableau de la contribution de cette revue à l'étude des belles-lettres arabes, depuis la période préislamique jusqu'à la première guerre mondiale : elle voudrait, d'une part, préciser le rôle d'al-Machriq dans le développement des études littéraires arabes et, d'autre part, fournir au chercheur une bibliographie analytique et raisonnée, à partir des questions traitées. Ainsi, on passe en revue, à travers les grandes époques de la littérature arabe, les différents domaines auxquels al-Machriq a consacré des études (histoire littéraire, études de genres ou d'auteurs déterminés, recherches historiques, sociales, religieuses et linguistiques afférentes, publications de manuscrits, apport chrétien particulier...), sans oublier les principaux collaborateurs qui ont participé pendant de longues années à l'exécution de cette lourde tâche. De la sorte, on arrive à cerner, de plus près, le rôle fondamental joué par al-Machriq comme élément stimulateur de la renaissance arabe, et son grand intérêt, comme instrument de travail indispensable aux chercheurs, dans le vaste champ des études littéraires arabes en particulier.
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La danse populaire : la Dabké par Youakim Moubarac, publié le 17/03/2009
Extrait du tome II de la Pentalogie antiochienne du Père Youakim Moubarac, le texte présente la danse populaire du Liban (la Dabké) ainsi que ses différentes variantes.
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Youakim Moubarak : un visionnaire du dialogue monothéiste: La structure d'une pensée totalement investie dans l'ouverture à l'autre par Georges Corm , publié le 05/03/2009
Yoakim Moubarac (1924-1995), prêtre maronite, éminent islamologue, auteur d'une œuvre abondante et riche de diverses significations, est aujourd'hui tombé dans l'oubli. Décédé en 1995, cet homme a été pourtant une cheville ouvrière du dialogue islamo-chrétien, un pacificateur de la scène libanaise durant les années sombres de violence, un défenseur inlassable des droits des Palestiniens. Ce fut une personnalité à la pensée élégante et humaniste, qui unissait harmonieusement, dans ses écrits, la théologie, l'histoire politique et religieuse, les principes d'éthique et de morale humaniste les plus élevés.
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Déferlement des séries arabes durant le mois de Ramadan par Fuâd al-Qaisi, publié le 04/11/2008
On ne peut qu'être interloqué par le nombre vertigineux des séries arabes sur toutes les chaînes satellitaires arabes durant le mois de Ramadan. Pour comprendre ce phénomène, nous étudions le lien entre ces séries et cette période à travers la presse et les médias arabes.
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Qu’est-ce que le «retour du religieux» ? par Georges Corm , publié le 23/10/2008
Il est vraiment bien curieux que l'expression « retour du religieux » ait acquis tant de vogue, sans même que l'on s'interroge sur sa signification et sa fonction. Aussi est-il nécessaire de poser un certain nombre de questions préalables avant de tenter de cerner la réalité de ce phénomène peut-être plus imaginaire que réel.
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Manières de table dans l'empire ottoman à l'orée du XVIIIe siècle par Henri Duranton, publié le 08/09/2008
Extraits du voyage du Sieur Paul Lucas dans le Levant. Paul Lucas est d'abord un commerçant, faisant trafic de pierres précieuses. Pour les besoins de son activité professionnelle il sillonne l'empire ottoman de Constantinople à Tunis, du Caire à Jérusalem, parcourant à maintes reprises la Turquie, l'Asie mineure, l'Egypte, la Palestine, l'actuel Maghreb, sans compter toutes les îles de la Méditerranée, et, à l'occasion, la Perse et l'Arménie.
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L'hospitalité et les rites alimentaires en milieu monastique. L'exemple de la Syrie aux Vème et VIème siècles par Claire Fauchon, publié le 08/09/2008
En 2002, à l'initiative du Ministère de l'Éducation nationale, du Conseil régional du Centre et de l'Université François Rabelais de Tours a été créé l'Institut Européen d'Histoire et des Cultures de l'Alimentation (IEHCA), dirigé actuellement par Maurice Sartre. Il est destiné à favoriser, dans une optique pluridisciplinaire, les recherches autour de l'histoire de l'alimentation. Cet institut a organisé, en collaboration avec l'Institut de France, un colloque à la villa Kérylos, les 5 et 6 octobre 2007, autour du thème « Pratiques et discours alimentaires des élites en Méditerranée de l'Antiquité à la Renaissance ». À cette occasion, il est apparu que le renouveau de l'histoire de l'alimentation repose sur un important renouvellement et une diversification des sources, comme en témoignent, par exemple, l'intérêt porté aux recettes et aux traités culinaires de la Renaissance par B. Laurioux, à la comptabilité des monastères byzantins par B. Caseau, et à celle des hôpitaux par C.-M. de la Roncière. Il sera ici question de présenter quelques points sur les rites alimentaires dans la Syrie des Ve et VIe siècles, dans le cadre de l'hospitalité pratiquée dans les milieux monastiques.
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Cuisines et évolution des pratiques alimentaires à Alep en Syrie par Sophie-Anne Sauvegrain, publié le 08/09/2008
Dans le cadre des transformations rapides des modes de vie, les modes alimentaires évoluent, à l'image des sociétés. La génération des jeunes est particulièrement sensible à la modernisation véhiculée par la mondialisation. Elle s'adapte et adopte avec rapidité les nouveaux modes de vie ainsi que de nouvelles habitudes alimentaires.
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Mohammed Harbi : Une citoyenneté, une histoire nationale et mondiale par Gilbert Meynier , publié le 28/05/2008
Mohammed Harbi (né en 1933 à El-Harrouch (Algérie, Nord-Constantinois) a été, à la fois, un militant et un cadre brillant du FLN algérien de 1955 à 1962, et il est aussi le plus considérable des historiens du nationalisme algérien et du FLN. A ce double titre, il a réalisé la synthèse qui était chère au coeur du regretté Pierre Vidal-Naquet : il fut autant citoyen - et pas seulement le citoyen algérien qui s'éleva contre le coup d'état militaire du 19 juin 1965, ce dont il paya lourdement le prix - qu'historien : ses engagements internationalistes ont fait de lui un véritable citoyen du monde. Par son refus de toutes les langues de bois et de tous les conformismes de toutes les histoires officielles, cette figure-clé de l'historiographie contemporaine fut et demeure un militant inlassable des libertés, ici et là.
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Les Gnawa par Zineb Majdouli, publié le 18/01/2008
Depuis une dizaine d'années, les musiciens gnawa, issus de la confrérie religieuse des Gnawa, connaissent un succès considérable au Maroc et en Europe. Ils sont invités régulièrement à se produire dans les festivals internationaux de musiques du monde. Nous allons voir tout au long de cet article comment l'existence de cette communauté et de ses pratiques rituelles ainsi que le développement récent de ses activités dans la sphère publique matérialise les tensions entre les catégories : religion des élites/religion populaire ainsi que tradition et modernité.
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Moyen arabe et questions connexes par Djamel E. Kouloughli, publié le 23/11/2007
Un linguiste non-arabisant qui rencontrait pour la première fois l'expression « Moyen Arabe » (en anglais : « Middle Arabic ») penserait certainement que cette expression désigne une variété historique de l'arabe, intermédiaire entre les formes les plus anciennement attestées de la langue, désignées comme « Ancien Arabe » (en anglais : «Old Arabic »), et les formes plus contemporaines de la langue appelées « Arabe moderne » (en anglais : « Modern Arabic »). On serait là en face d'une nomenclature cohérente, conforme aux usages de la linguistique historique pour d'autres langues, et confortant le vieil adage selon lequel une discipline scientifique c'est d'abord une terminologie bien faite.
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La conjugaison des verbes creux et défectueux par Georges Bohas, publié le 02/06/2007
Le but de cet article n'est pas de proposer une nouvelle approche de la phonologie de l'arabe, c'est plutôt de mettre à la disposition des professeurs un certain nombre de généralisations qui pourraient les aider à enseigner ce qui constitue le point essentiel de la phonologie de l'arabe.
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L'accord du verbe avec son sujet dans la conception des grammairiens arabes par Georges Bohas, publié le 02/06/2007
On sera étonné à quel point la tradition arabe est, sur ce point, «permissive». Pour les grammairiens arabes, il faut distinguer entre la phrase verbale et la phrase nominale ; dans la phrase verbale le verbe est toujours au singulier. Il est des cas où le masculin est obligatoire, des cas où le féminin est obligatoire. Les autres cas sont libres. Dans la phrase nominale, il n'y a pas de problème d'accord du sujet, le problème est celui de la forme du pronom de rappel du mubtada', qui est un problème plus général.
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La racine en question par Georges Bohas, publié le 22/05/2007
Mise en évidence naïve de la nécessité d'un niveau plus explicatif que celui de la racine. Pour les savants du XIXe siècle, il était évident que la racine triconsonantique n'était pas le constituant ultime dans l'organisation du lexique. On trouvera dans mon livre [BOHAS, G., 2000, Matrices et étymons, développements de la théorie, Lausanne, éditions du Zèbre] une traduction d'un passage de la grammaire de Gesenius particulièrement pertinent à ce sujet.
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Argumentation en faveur d'un niveau plus abstrait que la racine par Georges Bohas, publié le 21/05/2007
La tâche du linguiste est de repérer des faits concernant la langue ou le langage, de formuler des généralisations à leur sujet et de tenter de les expliquer dans le cadre d'une théorie. Celui qui s'intéresse au lexique procédera ainsi dans ce domaine ; en d'autres termes, il ne saurait se contenter de faire une liste des items lexicaux, mais il lui faut rendre compte des phénomènes de synonymie, polysémie, homonymie, énantiosémie que manifestent les termes du lexique.
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L'identification de la racine par Georges Bohas, Salam Diab-Duranton, publié le 16/05/2007
L'identification de la racine est le préliminaire à toute étude morphologique et phonologique, que ce soit dans le cadre des grammairiens arabes ou dans celui des linguistes structuralistes ou générativistes. Beaucoup de gens aimeraient à croire que cette identification est facile ; certains considèrent même que la racine n'est pas un concept ou un outil grammatical mais posent qu'il s'agit d'une réalité présente dans le cerveau des Sémites en général et des Arabes en particulier, et qui régirait leur comportement linguistique et dont ils seraient conscients.
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