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Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 31 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Voice to Parliament referendum in Australia par Marion Coste, publié le 30/12/2020
[Question d'actualité] On the 14th of October 2023, Australian voters will be called upon to participate in the Voice to Parliament referendum, which proposes to enshrine in the Constitution an Indigenous voice to parliament. La Clé des langues has selected a number of articles, videos and fact sheets in order to better understand this historic national vote.
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"The novel gives voice to individuals" : Entretien avec Jane Smiley par Jane Smiley, Jillian Bruns, publié le 09/10/2018
À l'occasion des Assises Internationales du Roman, Jane Smiley, lauréate du Prix Pulitzer 1992 pour son roman L'exploitation, a accepté de répondre aux questions de Jillian Bruns, lectrice à l'ENS de Lyon, pour la Clé des langues. Jane Smiley revient ici sur la genèse des trois romans qui constituent la trilogie The Last Hundred Years.
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The Trap: American prisons' deadly sex trafficking cycle
Ce documentaire de 32 minutes montre comment les prisons américaines sont devenues les cibles des proxénètes, qui contactent les détenues et les recrutent à leur sortie de prison. Ce film permet de s'interroger sur le système pénitencier américain et peut nourrir une réflexion sur la notion "Lieux et formes de pouvoir", au programme du cycle Terminal.
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Violent Saturday / Les inconnus dans la ville (Richard Fleischer – 1955) par Lionel Gerin, publié le 15/03/2017
Trois hommes débarquent dans une petite ville américaine. Ils sont venus pour dévaliser la banque, un samedi, à la fermeture. Le hold-up va impliquer nombre d'habitants et révéler leurs secrets et les zones d'ombre de la ville en question. Le film, à l'instar du hold-up, est une mécanique de précision. En 90 minutes, savoir-faire oblige, Fleischer dresse un certain portrait de l'Amérique, à travers une galerie de personnages, tous crédibles, servis sur un pied d'égalité, sans moralisme bon marché.
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Laura (Otto Preminger – 1944) par Lionel Gerin, publié le 15/03/2017
L'histoire, c'est celle de Pygmalion, revisitée par Hollywood, sous la direction d'Otto Preminger. Waldo Lydecker, chroniqueur aristocrate mondain, prend sous son aile une jeune publiciste, Laura. Il en fait sa "chose" et la conduit au succès. Elle rencontre Shelby, gigolo charmeur, et s'en éprend au point de vouloir l'épouser. Elle est assassinée. L'inspecteur Mark McPherson mène l'enquête. Film sur le pouvoir de la création et du désir, Laura marque une date dans l'histoire alors naissante du film noir, et lui donne une dimension autre.
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Ghost Dog: The Way of the Samourai / Ghost dog : la voie du samouraï (Jim Jarmusch – 1999) par Lionel Gerin, publié le 15/03/2017
Avec Ghost Dog, Jarmusch s'attaque à un autre genre, le film noir, pour lequel il revient paradoxalement à la couleur. Un tueur à gages, Forest Whitaker, adepte du code d'honneur des samouraïs de l'époque médiévale, vit simplement, connu seulement sous le nom de Ghost Dog. Il considère comme son maître un mafieux qui lui a autrefois sauvé la vie. À cause d'un témoin gênant, au cours de l'exécution d'un contrat, il devient lui-même la cible de la mafia. Film sur la transmission, sur la confrontation des anciens et des modernes, sur la conscience de l'histoire, cette œuvre ravira les cinéphiles et enchantera les autres.
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To Kill a Mockingbird / Du silence et des ombres (Robert Mulligan - 1962) par Lionel Gerin, publié le 06/03/2017
La voix d'un enfant chantonne pendant que sa main ouvre une boîte. Contre-plongée. Nous découvrons un crayon, des fusains, des pastels, des billes, une clé, des pièces, un petit couteau, une montre, et deux figurines de bois. Puis la main se saisit d'un fusain, commence à écrire, à dessiner. Le titre et les noms défilent, toujours sur fond de chansonnette insouciante, bientôt couverte par une belle musique. La montre, pourtant sans aiguilles, laisse entendre un tictac imaginaire. Le temps, l'histoire peut commencer.
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Two for the Road / Voyage à deux (Stanley Donen - 1967) par Lionel Gerin, publié le 16/02/2017
Tout le monde connait le Stanley Donen de Singing in the Rain (Chantons sous la pluie, 1952), ou de On the Town (Un jour à New York, 1949), comédies musicales brillantes et hautement toniques, à revoir évidemment. On connaît moins le Stanley Donen de Charade (1963), et pas davantage celui de Two for the Road (Voyage à deux, 1967). Le film raconte une quinzaine d'années de la vie d'un couple, en l'occurence Albert Finney et Audrey Hepburn. Thème simple, banal même. Pourtant, il pose d'emblée le problème de la forme. Faut-il opter pour la linéarité et user de stratagèmes pour évoquer le passage du temps, ou bien recourir aux bons vieux flash-backs ?
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Little Fugitive / Le petit fugitif (Morris Engel, Ray Ashley and Ruth Orkin - 1953) par Lionel Gerin, publié le 25/11/2016
En regardant les anciens reportages de Life, les photos de Vivian Maier et de Saul Leiter, on se prend parfois à rêver. C'était comment New York, Brooklyn, dans les années 50 ? Pour le savoir, on peut rechercher les articles et les photos susmentionnés, relire quelques romans. On peut également voir Little Fugitive. En cette décennie où Hollywood dominait, Le petit fugitif, film de photographes, en partie autofinancé, avait toutes les chances de passer inaperçu, et de finir aux oubliettes. Heureusement pour nous, il n'en fut rien.
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12 Angry Men / Douze hommes en colère (Sidney Lumet - 1957) par Lionel Gerin, publié le 25/11/2016
En 1957 sort 12 Angry Men, premier film de Sidney Lumet, qui connait un succès commercial très modeste, mais remporte l'Ours d'or au festival de Berlin, le prix spécial à Locarno, est nommé aux Oscars, et voit Henri Fonda remporter le prix du meilleur acteur aux British Awards. Il s'agit d'un "film de procès", genre qui a donné de grands classiques, de The Paradine case (Le procès Paradine, 1947) d'Alfred Hitchcock, à Anatomy of a Murder (Autopsie d'un meurtre, 1959) d'Otto Preminger, en passant par Witness for the Prosecution (Témoin à charge, 1957) de Billy Wilder. Mais alors que tous ces films se concentrent sur les débats, le défilé des témoins et les plaidoiries, jusqu'au suspense du verdict, 12 Angry Men se déroule entièrement en salle de délibération. C'est donc un huis clos, pari de mise en scène intéressant.
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Days of Heaven / Les moissons du ciel (Terrence Malick - 1978) par Lionel Gerin, publié le 06/06/2016
En 1974 sortait le premier long-métrage de Terrence Malick, Badlands (La balade sauvage), sur la dérive meurtrière de deux amants juvéniles dans une Amérique rurale et désertique. Un très beau premier film où l'on voit rétrospectivement les germes des œuvres à venir. Quatre ans plus tard, Days of Heaven arrivait sur les écrans. Les germes avaient mûri puis éclos. La moisson était magnifique. Terrence Malick filme le temps. Celui qu'il fait, car ses films sont météorologiques. Celui qui passe, ou qui justement a du mal à passer.
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Hillary Clinton and Donald Trump's campaign ads par Marion Coste, publié le 18/03/2016
La comparaison de ces deux spots publicitaires pour les campagnes de Hillary Clinton et de Donald Trump peut s'inscrire dans une séquence sur les thèmes "Visions d'avenir: créations et adaptations" ou "Lieux et formes de pouvoir". Une analyse des stratégies de communication de ces deux candidats peut être l'occasion de faire un point sur les élections américaines.
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Buster Keaton (Sherlock, Jr. - 1924; The Navigator - 1924; Seven Chances - 1925; The General - 1926; Steamboat Bill Jr. - 1928) par Lionel Gerin, publié le 25/01/2016
Buster Keaton est un génie ! Sur scène, dès l’âge de cinq ans avec ses parents, il sait tout faire. D'abord tomber (son père lui attache une poignée dans le dos et le jette dans le public), ensuite (et avant tout), faire rire. À 22 ans, il a déjà 17 ans d'expérience du spectacle derrière lui. Il rentre "en cinéma" et passe en premier lieu par l'école des courts-métrages burlesques, avec Fatty Arbuckle, puis commence à réaliser ses propres "bandes" (à voir, bien évidemment). Cops est, par exemple, une merveille. Dès 1923, il passe au long-métrage. Je traite ici de cinq d'entre eux, mais les autres sont tout aussi indispensables.
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Apocalypse Now Redux (Francis Ford Coppola - 1979) par Lionel Gerin, publié le 25/01/2016
230 jours de tournage, presque deux ans de montage, un budget colossal pour l'époque. Apocalypse Now est "trop", comme l'on dit en français "moderne". Trop long pour les uns, trop baroque ou boursouflé pour les autres, ou encore trop violent. C'est un opéra, une fresque, un film initiatique, un reportage sur une époque, un road ou plutôt un river-movie. C'est avant tout un très grand moment de cinéma et de mise en scène. Fort du succès de The Godfather (Le parrain - 1972: à voir ou revoir, évidemment), Coppola a pu se lancer dans cette aventure, et cela en fut précisément une.
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Distant Voices, Still Lives (Terence Davis - 1988) par Lionel Gerin, publié le 18/06/2015
Voix distantes parce que lointaines. Et vies bien vivantes (à l'opposé des natures mortes que suggérerait une traduction littérale). Instantanés plutôt, qui prennent/reprennent vie. Photos. Photos de famille. Mariages, baptêmes, décès. Liverpool, années 40 et 50. Une famille ouvrière. Un père violent. Une mère aimante. Premier long-métrage de Terence Davis, Distant Voices, Still Lives est un coup d'essai de maître. L'enfance, l'adolescence revisitées, on connaît. Pourtant ici une magie opère. Travellings avants pour rapprocher le temps retrouvé, un temps désarticulé par la mémoire. La chronologie est cahotique. Qu'importe! Voici une fresque intime et modeste, des lumières chaudes, des intérieurs, des visages.
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Loin de la foule déchaînée (Far from the Madding Crowd) par Clifford Armion, publié le 21/05/2015
Dans la campagne anglaise de l’époque victorienne, une jeune héritière, Bathsheba Everdeene doit diriger la ferme léguée par son oncle. Femme belle et libre, elle veut s’assumer seule et sans mari, ce qui n’est pas au goût de tous à commencer par ses ouvriers. Bathsheba ne se mariera qu’une fois amoureuse. Qu’à cela ne tienne, elle se fait courtiser par trois hommes, le berger Gabriel Oake, le riche voisin Mr Boldwood et le Sergent Troy. Parenthèse Cinéma nous permet de partager avec vous un très beau dossier pédagogique pour les enseignants qui souhaiteraient aborder cette adaptation du roman de Thomas Hardy avec leurs classes.
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The Man Who Shot Liberty Valance / L'Homme qui tua Liberty Valance (John Ford -1962) par Lionel Gerin, publié le 26/02/2015
John Ford est l'un des plus grands, sans contestation possible. Citons Orson Welles, interviewé sur les cinéastes importants à ses yeux, qui répondait:"Les vieux maîtres, c'est à dire John Ford, John Ford et John Ford." L'Homme qui tua Liberty Valance est l'avant-dernier western de John Ford est l'un de ses derniers films. Ford a contribué, et comment!, à forger la légende de l'ouest, il en est l'un des "inventeurs". Il est donc passionnant de voir son regard vieillissant sur le genre et les thèmes qu'il affectionne: la loi et son avènement, opposée au "wild west", la vieillesse, la fidélité, la vérité et la légende, la "naissance d'une nation", d'une communauté, la violence et son usage.
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Heaven's Gate / La porte du paradis (Michael Cimino -1980) par Lionel Gerin, publié le 12/12/2014
1978. Deer Hunter / Voyage au bout de l'enfer. Bien qu'avare du mot, je l'ose ici: chef d'œuvre absolu. N'en déplaise aux détracteurs, à ceux qui y voient, à grand tort, un film (de plus) sur le Vietnam. Deer Hunter est un immense film, profondément américain. Faut-il être aveugle pour y lire un message impérialiste, malgré cette dernière scène poignante, si souvent incomprise. Chef d'oeuvre, donc. Presque trois ans plus tard, sort Heaven's Gate, le plus grand désastre financier du cinéma américain, mais qu'importe! Combien de tableaux Van Gogh a-t-il vendu? Combien d'exemplaires Rimbaud a-t-il écoulé?
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Fractions et infractions dans The Heart of Whiteness de Rehad Desai : les stigmates de l’apartheid par Stéphane Sitayeb, publié le 06/11/2014
Stéphane Sitayeb propose une analyse de The Heart of Whiteness (2005), un road movie documentaire de Rehad Desai qui interroge l’identité des blancs en Afrique du Sud. L’Afrikaner est-il un étranger en Afrique ou un autochtone ? Desai étudie les stigmates de l’Apartheid sur la société sud-africaine contemporaine en observant les clivages qui opposent encore aujourd’hui les noirs et les blancs dont certains s’estiment victimes d’une ségrégation inversée, une vengeance de la population noire. Le réalisateur cultive une double stratégie de camouflage et d’exposition, ainsi que la technique du contrepoint : c’est uniquement dans la superposition entre discours et image, dans la lecture connexe du monologue en voix-off et de l’esthétique audio-visuelle que se révèle la corrélation entre fractions raciales et infractions juridiques.
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Présentation de Come Back Africa (Lionel Rogosin, 1959, US 82 minutes) par Monique Peyriere, publié le 05/11/2014
Après avoir réalisé un film sur les sans-abris aux Etats-Unis, Lionel Rogosin part avec une équipe de tournage en Afrique du Sud en déclarant aux autorités locales qu’il veut produire un documentaire sur la musique. Filmé clandestinement par un réalisateur américain blanc dans Sophiatown, un township noir de Johannesburg, Come Back Africa nous montre la vie des communautés noires sous l’apartheid. Entres brimades et défiance, le film de Lionel Rogosin expose les relations blancs/noirs dans l’Afrique du Sud des années 50. Les militants y jouent leur propre rôle dans un scénario de fiction qui nous invite à découvrir le ghetto au travers du regard d’un nouvel arrivant, Zacharia. Les images ont pu sortir d'Afrique du Sud pour être montées aux Etats-Unis puis diffusées dans le monde entier ; c’est un film politique, le premier à dénoncer l’Apartheid.
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Swim Little Fish Swim (Lola Bessis et Ruben Amar) par Clifford Armion, publié le 13/05/2014
Après Frances Ha (Noah Baumbach, 2013), voici une nouvelle comédie New Yorkaise rafraîchissante. Production franco-américaine de Ruben Amar et Lola Bessis, Swim Little Fish Swim nous plonge dans l’univers de la colocation assumée. Une jeune artiste française, Lilas, squatte le canapé d’un couple que tout semble séparer. Leeward, musicien qui n’a jamais enregistré un disque, croit en l’idéologie contestataire des années 60 et refuse de compromettre son ‘intégrité artistique’ pour gagner de l’argent. Mary, infirmière fatiguée, rêve d’une petite maison de banlieue avec des meubles IKEA et un arbre devant...
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Disruptive Kinship par Judith Butler, Hélène Cixous, Avital Ronell, publié le 20/01/2012
Que se passe-t-il lorsque les relations et les communautés ne dépendent plus, pour se développer, d'une formation naturelle ou de certains réseaux préexistants, mais créent leurs propres mouvements, souvent difficilement contrôlables ? Les affinités ont peu à voir avec les liens familiaux et les structures codifiées socialement. Elles ne jaillissent pas d'une source commune, ni d'une quelconque communauté. Au contraire, elles conduisent à des assemblages inattendus, à des agrégats de personnes et d'êtres qui défient les arrangements prétendument naturels. What happens when relations and community do not depend on natural formations or grids for their unfolding but create their own, often untrackable movements? Affinities have little to do with family ties or socially codified structures. They do not well up from a common spring or identified community. Rather, they lead to unexpected pairings and conglomerates of people and beings that defy supposedly natural arrangements.
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The Need to See and the Will not to Know - How we deal with catastrophes par Craig Calhoun, Jean-Pierre Dupuy, Eric Klinenberg, Michel Lussault, Nicholas Mirzoeff, publié le 20/01/2012
Au cours de l'année écoulée, un groupe d'éminents sociologues français et américains se sont rencontrés à Lyon et à New York à plusieurs reprises. Il s'agissait d'explorer notre intérêt culturel pour les catastrophes récentes et l'émergence de certaines menaces sur notre climat, nos villes et nos communautés ; de sonder notre désir d'en savoir plus ou, au contraire, de rester dans l'ignorance. Les cinq chercheurs présenteront le résultat de leur réflexion à l'occasion de cette soirée à l'IPK. During one year leading French and American social scientists met several times in Lyon and New York to explore our cultural interest in knowing and not knowing about recent catastrophes and emerging threats to our climate, cities, and communities. They will share the result of their reflection.
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The Actual Lives of Catherine Millet and Robert Storr par Catherine Millet, Robert Storr, publié le 19/01/2012
De part et d'autre de l'Atlantique, Catherine Millet et Robert Storr ont joué un rôle clef, comme témoins et acteurs, dans la transformation du monde de l'art. Catherine Millet, auteur des best-sellers La Vie sexuelle de Catherine M. et Jalousie et rédactrice en chef du magazine Art Press, rencontrera Robert Storr, ancien conservateur du MoMa de New York et doyen de la Faculté des Beaux-arts de l'université de Yale, pour discuter de leurs nombreux intérêts communs, de leurs carrières parfois entremêlées et de la scène artistique contemporaine. Le dialogue entre ces deux collègues et amis apportera un éclairage sur le monde toujours changeant et surprenant de l'art contemporain et dévoilera l'itinéraire artistique et intellectuel de deux de ses acteurs les plus éloquents. On both sides of the Atlantic, Catherine Millet and Robert Storr have played key rolesas witnesses and actorsin the transformations of the art world. Catherine Millet, author of bestsellers The Sexual Life of Catherine M and Jealousy and editor-in-chief of Art Press magazine, will join Robert Storr, former curator of MoMA and the dean of the School of Art at Yale University, to discuss their wide-ranging interests, their intermingled careers, and the current art scene.
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William Echikson évoque la culture Google et les grands projets de la firme de Mountain View par William Echikson, Gérard Wormser, publié le 13/12/2011
William Echikson est actuellement Directeur de Communication Europe de Google, après avoir été pendant 25 ans le correspondant européen du Christian Science Monitor, du Wall Street Journal et du Businessweek. Il répond aux questions de Gérard Wormser, professeur de philosopie à l'ENS de Lyon et directeur de la revue web Sens public, en passant en revue les innovations récentes et les grands projets de Google tels que Google Phones, Google Translator, Google Books, les voitures sans conducteur, ou encore le Google transparency report.
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Paysage théâtral anglais contemporain par Elisabeth Angel-Perez, publié le 04/07/2011
Cette communication, après avoir fait un tour d'horizon du paysage théâtral anglais contemporain, entreprendra de montrer comment la scène anglaise contemporaine oscille entre un théâtre de la violence frontale et un théâtre qui, en creux du In-Yer-Face initié par Sarah Kane, spectralise les corps et ne laisse plus entendre que la voix. Quel que soit le parti-pris choisi, une des tendances résolument nouvelles de ce théâtre tient à ce qu'il réhabilite l'affect, et propose le choc empathique là où les avant-gardes dépathétisaient et proposaient la distance.
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"People tried to figure if they were offended and why" : L'intertextualité dans le roman américain contemporain ou la lecture en procès par Françoise Sammarcelli, publié le 09/10/2009
L’objet de ce travail est de problématiser la notion d’intertexte en prenant appui sur le court roman de Louise Welsh : Tamburlaine Must Die. Dans le sillage des études du généticien Louis Hay qui proposait dès 1985 que le texte n’existe pas, l’introduction propose d’argumenter que l’intertexte n’existe pas, il n’existe que des modalités d’intertextualité dont le point commun est le fantasme originaire : l’illusion que l’on pourrait identifier un point d’origine fixe et stable à l’écriture. En lieu et place de l’intertexte est alors postulée l’existence de ce qu’on pourrait appeler la voix textuelle, distincte de la voix auctoriale de l’autorité de l’auteur, qui serait en partie fondée sur la co-présence de multiples modalités d’intertextualité mais qui dépasse largement ce cadre si on la relie à la problématique analytique de l’objet-voix lacanien.
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Du protocole de lecture à la relation dialogique : le modernisme revisité dans The Light of Day de Graham Swift par Béatrice Berna, publié le 09/10/2009
Le propos de cette communication est de montrer comment les échos intertextuels modernistes sont des éléments structurants essentiels dans l’écriture de The Light of Day, qui permettent à Graham Swift de faire entendre sa propre voix, spécifiquement contemporaine.
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Intertextualité et interculturalité par Redouane Abouddahab, publié le 09/10/2009
La parodie des Mille et une nuits par Poe dans « The Thousand-And-Second Tale Of Scheherazade » est bien plus qu’un exercice littéraire ludique comme on l’a souvent souligné. Cette parodie a été écrite pendant la grande période de développement du nationalisme américain dans un contexte particulièrement marqué par le populisme. C’est pendant cette période que la volonté d’avoir une littérature et une langue « purement américaines » commencent à s’imposer. Triomphe aussi de l’idéologie puritaine bien implantée, qui assujettit les nouveaux arrivants à sa propre vision et à ses propres mythes fondateurs.
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La mort de l'intertexte : Les voies tortueuses de la voix textuelle dans Tamburlaine Must Die de Louise Welsh par Claude Maisonnat, publié le 09/10/2009
L’objet de ce travail est de problématiser la notion d’intertexte en prenant appui sur le court roman de Louise Welsh : Tamburlaine Must Die. Dans le sillage des études du généticien Louis Hay qui proposait dès 1985 que le texte n’existe pas, l’introduction propose d’argumenter que l’intertexte n’existe pas, il n’existe que des modalités d’intertextualité dont le point commun est le fantasme originaire : l’illusion que l’on pourrait identifier un point d’origine fixe et stable à l’écriture. En lieu et place de l’intertexte est alors postulée l’existence de ce qu’on pourrait appeler la voix textuelle, distincte de la voix auctoriale de l’autorité de l’auteur, qui serait en partie fondée sur la co-présence de multiples modalités d’intertextualité mais qui dépasse largement ce cadre si on la relie à la problématique analytique de l’objet-voix lacanien.
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Proche de l'indigestion intertextuelle : "Des Hottentotes" de Paul Di Filippo par Jérôme Dutel, publié le 09/10/2009
Prenant comme champ d’étude la novella trépidante "Hottentots", tirée de The Steampunk Trilogy (1995), de l’auteur américain Paul Di Filippo (1954-…), cette communication cherche à montrer comment l’auteur, en virtuose reconnu du pastiche et de la parodie littéraire mais aussi scientifique, démonte, à travers un récit brouillé et comme parfois étouffé par différents niveaux d’intertextualité, les mécanismes de création littéraire à l’œuvre dans la littérature fantastique et la science-fiction des XIXème et XXème siècles pour peut-être mieux révéler les idéologies qui pourraient avoir contribué à leur élaboration.
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