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Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 56 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Olive Kitterdige (2014), Lisa Cholodenko par France McDormand, Nathalie De Biasi, publié le 23/01/2020
Frances McDormand est l’une des invitées d’honneur de la dixième édition du Festival Lumière : comédienne américaine née en 1957, elle a été primée deux fois aux Oscars pour ses rôles dans Fargo des frères Coen (1996) et 3 Billboards de Martin McDonagh (2017). Suite à la Masterclass donnée à la Comédie Odéon le 14 octobre 2019, elle est venue présenter les deux premiers épisodes de la série Olive Kitteridge réalisée par Lisa Cholodenko (2014) au Pathé Bellecour, série qu’elle a produite et dont elle tient le rôle éponyme. Ce texte est une transcription de son introduction lors de cette séance.
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Some Like It Hot (1959), Billy Wilder par James Thierrée, Nathalie De Biasi, publié le 11/02/2019
James Thierrée est comédien, metteur en scène, acrobate, danseur et musicien, petit-fils de Charlie Chaplin à l’honneur en 2018 au festival à travers une exposition photographique. Il est venu présenter le film Certains l’aiment chaud de Billy Wilder le 17 octobre 2018 au Cinéma Gérard Philipe de Vénissieux dans le cadre du Festival Lumière et du cycle Nouvelles Restaurations, une programmation de films restaurés récemment pour une nouvelle sortie en salles [meilleure qualité que les restaurations pour une diffusion en DVD, nda]. Ce texte est une retranscription de sa présentation, qui a été par endroits modifiée pour l'adapter au format écrit.
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Broken Arrow / La flèche brisée (Delmer Daves - 1950) et Devil's Doorway / La porte du diable (Anthony Mann – 1950) par Lionel Gerin, publié le 09/10/2017
En juillet 1950 sort Broken Arrow, premier western de Delmer Daves. En septembre de la même année sort Devil's Doorway, premier western d'Anthony Mann. Coïncidence ? Quelque chose semble être dans l'air et le genre est peut-être mûr pour une nouvelle approche de la représentation des amérindiens.
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Elephant* (Alan Clarke - 1989 / Gus Van Sant - 2003) par Lionel Gerin, publié le 15/06/2017
Au début des années 2000, on propose à Gus Van Sant, metteur en scène américain, de réaliser un long-métrage à partir de la tuerie de Columbine, alors le dernier "school shooting" qui a choqué l'Amérique.
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Churchill (2017) - Dossier pédagogique par Marion Coste, publié le 11/05/2017
Le film traite des derniers instants de la Seconde Guerre mondiale, peu de temps avant le débarquement de juin 1944. En ce sens, il s’agit du traitement du temps court. Toutefois, grâce au montage, le spectateur et les élèves sont amenés à revenir sur les grands instants de la Première et de la Seconde Guerre mondiale. Ils abordent ainsi les grandes transformations, militaires, politiques et diplomatiques du premier XXe siècle.
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Laura (Otto Preminger – 1944) par Lionel Gerin, publié le 15/03/2017
L'histoire, c'est celle de Pygmalion, revisitée par Hollywood, sous la direction d'Otto Preminger. Waldo Lydecker, chroniqueur aristocrate mondain, prend sous son aile une jeune publiciste, Laura. Il en fait sa "chose" et la conduit au succès. Elle rencontre Shelby, gigolo charmeur, et s'en éprend au point de vouloir l'épouser. Elle est assassinée. L'inspecteur Mark McPherson mène l'enquête. Film sur le pouvoir de la création et du désir, Laura marque une date dans l'histoire alors naissante du film noir, et lui donne une dimension autre.
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Violent Saturday / Les inconnus dans la ville (Richard Fleischer – 1955) par Lionel Gerin, publié le 15/03/2017
Trois hommes débarquent dans une petite ville américaine. Ils sont venus pour dévaliser la banque, un samedi, à la fermeture. Le hold-up va impliquer nombre d'habitants et révéler leurs secrets et les zones d'ombre de la ville en question. Le film, à l'instar du hold-up, est une mécanique de précision. En 90 minutes, savoir-faire oblige, Fleischer dresse un certain portrait de l'Amérique, à travers une galerie de personnages, tous crédibles, servis sur un pied d'égalité, sans moralisme bon marché.
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Ghost Dog: The Way of the Samourai / Ghost dog : la voie du samouraï (Jim Jarmusch – 1999) par Lionel Gerin, publié le 15/03/2017
Avec Ghost Dog, Jarmusch s'attaque à un autre genre, le film noir, pour lequel il revient paradoxalement à la couleur. Un tueur à gages, Forest Whitaker, adepte du code d'honneur des samouraïs de l'époque médiévale, vit simplement, connu seulement sous le nom de Ghost Dog. Il considère comme son maître un mafieux qui lui a autrefois sauvé la vie. À cause d'un témoin gênant, au cours de l'exécution d'un contrat, il devient lui-même la cible de la mafia. Film sur la transmission, sur la confrontation des anciens et des modernes, sur la conscience de l'histoire, cette œuvre ravira les cinéphiles et enchantera les autres.
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To Kill a Mockingbird / Du silence et des ombres (Robert Mulligan - 1962) par Lionel Gerin, publié le 06/03/2017
La voix d'un enfant chantonne pendant que sa main ouvre une boîte. Contre-plongée. Nous découvrons un crayon, des fusains, des pastels, des billes, une clé, des pièces, un petit couteau, une montre, et deux figurines de bois. Puis la main se saisit d'un fusain, commence à écrire, à dessiner. Le titre et les noms défilent, toujours sur fond de chansonnette insouciante, bientôt couverte par une belle musique. La montre, pourtant sans aiguilles, laisse entendre un tictac imaginaire. Le temps, l'histoire peut commencer.
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Two for the Road / Voyage à deux (Stanley Donen - 1967) par Lionel Gerin, publié le 16/02/2017
Tout le monde connait le Stanley Donen de Singing in the Rain (Chantons sous la pluie, 1952), ou de On the Town (Un jour à New York, 1949), comédies musicales brillantes et hautement toniques, à revoir évidemment. On connaît moins le Stanley Donen de Charade (1963), et pas davantage celui de Two for the Road (Voyage à deux, 1967). Le film raconte une quinzaine d'années de la vie d'un couple, en l'occurence Albert Finney et Audrey Hepburn. Thème simple, banal même. Pourtant, il pose d'emblée le problème de la forme. Faut-il opter pour la linéarité et user de stratagèmes pour évoquer le passage du temps, ou bien recourir aux bons vieux flash-backs ?
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12 Angry Men / Douze hommes en colère (Sidney Lumet - 1957) par Lionel Gerin, publié le 25/11/2016
En 1957 sort 12 Angry Men, premier film de Sidney Lumet, qui connait un succès commercial très modeste, mais remporte l'Ours d'or au festival de Berlin, le prix spécial à Locarno, est nommé aux Oscars, et voit Henri Fonda remporter le prix du meilleur acteur aux British Awards. Il s'agit d'un "film de procès", genre qui a donné de grands classiques, de The Paradine case (Le procès Paradine, 1947) d'Alfred Hitchcock, à Anatomy of a Murder (Autopsie d'un meurtre, 1959) d'Otto Preminger, en passant par Witness for the Prosecution (Témoin à charge, 1957) de Billy Wilder. Mais alors que tous ces films se concentrent sur les débats, le défilé des témoins et les plaidoiries, jusqu'au suspense du verdict, 12 Angry Men se déroule entièrement en salle de délibération. C'est donc un huis clos, pari de mise en scène intéressant.
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Little Fugitive / Le petit fugitif (Morris Engel, Ray Ashley and Ruth Orkin - 1953) par Lionel Gerin, publié le 25/11/2016
En regardant les anciens reportages de Life, les photos de Vivian Maier et de Saul Leiter, on se prend parfois à rêver. C'était comment New York, Brooklyn, dans les années 50 ? Pour le savoir, on peut rechercher les articles et les photos susmentionnés, relire quelques romans. On peut également voir Little Fugitive. En cette décennie où Hollywood dominait, Le petit fugitif, film de photographes, en partie autofinancé, avait toutes les chances de passer inaperçu, et de finir aux oubliettes. Heureusement pour nous, il n'en fut rien.
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Wild River / Le fleuve sauvage (Elia Kazan - 1960) par Lionel Gerin, publié le 10/11/2016
Une Amérique tiraillée entre deux temps, un monde qui laisse place à un autre, avec son cortège de peur de l'avenir et de l'inconnu, son repli sur soi, tout cela sonne éminemment actuel, en cette période d'élections. C'est, entre autres, de cela que parle Wild River. En 1933, dans l'Amérique du New Deal, l'ingénieur Chuck Glover (Montgomery Cliff) est chargé de convaincre quelques propriétaires d'une petite ville du Tennessee de vendre leurs terres au gouvernement, qui va construire un barrage censé réguler le cours meurtrier de la rivière Tennessee. Parmi les derniers à résister, Ella Garth (Jo Van Fleet), grand mère revêche, refuse et s'accroche à son bien.
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Jerry Schatzberg présente The Panic in Needle Park (Jerry Schatzberg - 1971) par Jerry Schatzberg, publié le 19/10/2016
Jerry Schatzberg est venu le 12 octobre 2016 à Lyon pour présenter son film The Panic in Needle Park dans le cadre du Festival Lumière. Écrit par Joan Didion et John Gregory Dunne (d’après le roman du même nom de James Mill), le film dépeint la descente aux enfers d'Helen, tombée amoureuse de Bobby, un jeune héroïnomane qui l'entraîne dans la dépendance au moment de la grande pénurie d'héroïne qui frappe New York à la fin des années 60.
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Antoine Sire présente L'héritière (William Wyler - 1949) par Antoine Sire, publié le 18/10/2016
Antoine Sire est l'auteur de Hollywood, la Cité des femmes, premier ouvrage à retracer avec précision la trajectoire des femmes qui ont construit le mythe hollywoodien. Il est venu présenter le film L'héritière de William Wyler le 11 octobre 2016 au Comoedia dans le cadre du Festival Lumière et de la rétrospective consacrée aux actrices de l'âge d'or d'Hollywood.
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Imitation of Life / Mirage de la vie (Douglas Sirk - 1959) par Lionel Gerin, publié le 07/10/2016
Le film raconte l'ascension et le succès de Lora (Lana Turner) qui, partie de rien, sacrifie sa vie amoureuse pour sa carrière d'actrice. Elle est aidée par Annie, une femme noire qu'elle héberge, et qui est tout à la fois femme de ménage, nounou, secrétaire, dame de compagnie. Toutes deux sont veuves et ont une fille. Il s'agit donc, entre autres, d'une histoire de réussite, mais c'est d'une self-made woman dont il est véritablement question ici, d'une incarnation féminine du rêve américain et des problèmes spécifiques que cela pose. Le film joue sur des couples: mère/fille, noire/blanche, riche/pauvre.
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Vanishing Point / Point limite zéro (Richard Sarafian - 1971) par Lionel Gerin, publié le 13/09/2016
Quand sort Vanishing Point, en 1971, le Nouvel Hollywood bat son plein. Initié dès les années 60 par des films comme The Graduate (Le lauréat) de Mike Nichols, ou Bonnie and Clyde d'Arthur Penn, ce "nouveau cinéma" a ouvert le champ à une autre Amérique, à ses laissés pour compte, ses losers. Longtemps tus, sinon interdits sur les écrans, beaucoup de problèmes commencent alors à être abordés: la sexualité sous tous ses aspects, les drogues, les violences conjugales et parentales, l'univers carcéral, la maladie mentale, le traitement des minorités, toutes les hypocrisies d'une société bourgeoise polissée, les mensonges de l'American Dream. La guerre même n'est plus héroïque, le Vietnam occupe toute l'actualité.
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Days of Heaven / Les moissons du ciel (Terrence Malick - 1978) par Lionel Gerin, publié le 06/06/2016
En 1974 sortait le premier long-métrage de Terrence Malick, Badlands (La balade sauvage), sur la dérive meurtrière de deux amants juvéniles dans une Amérique rurale et désertique. Un très beau premier film où l'on voit rétrospectivement les germes des œuvres à venir. Quatre ans plus tard, Days of Heaven arrivait sur les écrans. Les germes avaient mûri puis éclos. La moisson était magnifique. Terrence Malick filme le temps. Celui qu'il fait, car ses films sont météorologiques. Celui qui passe, ou qui justement a du mal à passer.
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Mud / Sur les rives du Mississippi (Jeff Nichols - 2012) par Lionel Gerin, publié le 17/03/2016
Peut-on, doit-on être fidèle? À ce que l'on est, à ceux que l'on hait, à ceux que l'on aime? À l'enfant que l'on est, que l'on a été? Vivre, est-ce renoncer? Par lâcheté, par manque de foi? Que se passe-t-il quand le cristal de l'enfance rencontre la boue des fleuves ? Comme le Mississippi, fleuve-mère et fleuve-père, ces questions irriguent le troisième long-métrage de Jeff Nichols, jeune et talentueux metteur en scène du Sud, né en Arkansas.
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Apocalypse Now Redux (Francis Ford Coppola - 1979) par Lionel Gerin, publié le 25/01/2016
230 jours de tournage, presque deux ans de montage, un budget colossal pour l'époque. Apocalypse Now est "trop", comme l'on dit en français "moderne". Trop long pour les uns, trop baroque ou boursouflé pour les autres, ou encore trop violent. C'est un opéra, une fresque, un film initiatique, un reportage sur une époque, un road ou plutôt un river-movie. C'est avant tout un très grand moment de cinéma et de mise en scène. Fort du succès de The Godfather (Le parrain - 1972: à voir ou revoir, évidemment), Coppola a pu se lancer dans cette aventure, et cela en fut précisément une.
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Buster Keaton (Sherlock, Jr. - 1924; The Navigator - 1924; Seven Chances - 1925; The General - 1926; Steamboat Bill Jr. - 1928) par Lionel Gerin, publié le 25/01/2016
Buster Keaton est un génie ! Sur scène, dès l’âge de cinq ans avec ses parents, il sait tout faire. D'abord tomber (son père lui attache une poignée dans le dos et le jette dans le public), ensuite (et avant tout), faire rire. À 22 ans, il a déjà 17 ans d'expérience du spectacle derrière lui. Il rentre "en cinéma" et passe en premier lieu par l'école des courts-métrages burlesques, avec Fatty Arbuckle, puis commence à réaliser ses propres "bandes" (à voir, bien évidemment). Cops est, par exemple, une merveille. Dès 1923, il passe au long-métrage. Je traite ici de cinq d'entre eux, mais les autres sont tout aussi indispensables.
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Brigitte Gauthier : Pina Bausch et la mémoire corporelle par Brigitte Gauthier, publié le 07/12/2015
Brigitte Gauthier envisage la mémoire corporelle comme un outil pour repenser la fabrication d’un spectacle, au-delà de l’analyse universitaire. Elle l’applique aux spectacles de Pina Bausch, qui se fait l’ambassadrice des cultures à travers ses chorégraphies, et dont la contemporanéité se situe dans la création d’outils d’écriture et de procédés dramatiques.
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Brigitte Gauthier : Stanley Kubrick par Brigitte Gauthier, publié le 02/12/2015
A son arrivée à l’Université d’Evry, Brigitte Gauthier a voulu définir une ligne éditoriale afin de développer l’analyse de scénario et de textes engagés multi-supports. La décision de mener une étude collective sur Stanley Kubrick a permis de fédérer diverses disciplines autour d’un des plus grands novateurs contemporains, dont la spécificité est de faire entrer en résonance son et image.
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Pina Bausch, photographe de l'émotion par Brigitte Gauthier, publié le 02/12/2015
Brigitte Gauthier revient sur les raisons pour lesquelles elle a choisi d'étudier Pina Bausch: le rapport de la société aux femmes, la déconstruction de la vie quotidienne et l'utilisation du corps pour rechercher une autre forme d'écriture sont autant de thématiques qui contribuent à la construction du langage chorégraphique de cette "photographe de l'émotion".
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Vertigo / Sueurs froides (Alfred Hitchcock - 1958) par Lionel Gerin, publié le 30/11/2015
Alfred Hitchcock ou l'une des incarnations possibles du cinéma. Si, comme le dit Capra, "le film est une maladie", alors le grand Alfred a vraiment soigné le mal par le mal. L'un de ses grands films malades (pour reprendre une expression de Truffaut) est Vertigo. Nous sommes en 1958. Entre 1954 et 1955, il a tourné trois films avec Grace Kelly : Dial M for Murder, Rear Window, To Catch a Thief. Elle représente son idéal féminin, comme il le définit: "le feu sous la glace". Elle est, comme on le sait, partie sous d'autres cieux. Fait unique dans la filmographie d'Hitchcock, il tourne alors trois films sans héroïne digne de ce nom, c'est-à-dire désirable: Trouble with Harry, The Man Who Knew Too Much (remake de sa version anglaise de 1934) et The Wrong Man. Puis vient Vertigo.
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Touch of Evil / La soif du mal (Orson Welles - 1958) par Lionel Gerin, publié le 24/11/2015
Un motel perdu tenu par un personnage dérangé. Janet Leigh seule dans une chambre, plutôt dévêtue. Cela vous dit quelque chose ? Cette scène, Alfred Hitchcock en fut d'abord le spectateur. Il s'en inspira et en tira un chef-d'œuvre, Psycho. Mais le film dont nous parlons n'est pas de lui. C'est Touch of Evil, d'un autre génie du cinéma: Orson Welles. En 1958, il a déjà réalisé dix films, dont deux inachevés. D'abord metteur en scène de théâtre et acteur précoce, il a travaillé pour la radio et adapté des romans ou pièces plus ou moins célèbres. Le 30 octobre 1938, il adapte La Guerre des mondes, d'H.G Wells.
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Macbeth (2015 - Justin Kurzel) par Justin Kurzel, publié le 03/11/2015
Le nouveau film Macbeth propose une lecture intense de l’une des tragédies les plus célèbres et captivantes de Shakespeare, celle d’un vaillant guerrier, autant que chef charismatique, se déroulant sur les champs de bataille au milieu des paysages de l’Écosse médiévale. Macbeth est avant tout l’histoire d’un homme abîmé par la guerre qui tente de reconstruire sa relation avec son épouse bien-aimée, tous deux aux prises avec les forces de l’ambition et du désir. Parenthèse Cinéma nous permet de partager avec vous un beau dossier pédagogique pour les enseignants qui souhaiteraient aborder cette adaptation de la pièce de Shakespeare avec leurs classes.
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Kiss Me Deadly / En quatrième vitesse (Robert Aldrich - 1955) par Lionel Gerin, publié le 21/10/2015
Lionel Gerin, professeur d'anglais au lycée Ampère de Lyon et cinéphile averti, nous donne ici son point de vue sur quelques films représentatifs du patrimoine cinématographique du monde anglophone.
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Scorsese presents Goodfellas (1990) par Martin Scorsese, publié le 20/10/2015
Lorsqu’il découvre le roman Wiseguy de Nicholas Pileggi, Scorsese est séduit. Mais il veut arrêter les films de gangsters. Il en a déjà fait beaucoup. C’est Michael Powell qui le fait changer d’avis : le scénario est drôle et finalement, personne n’a montré à l’écran comment vivent ces truands. Les Affranchis est une sorte de plongée anthropologique documentaire dans le quotidien des malfrats expédiant leurs affaires courantes : boulot, amitié, déjeuners chez leurs mères, sorties au Copacabana, femmes, enfants… A l'occasion de la cérémonie de clôture du Festival Lumière 2015, Martin Scrosese présente l'un de ses films majeurs, Goodfelllas.
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Brigitte Gauthier : Les écoles de cinéma américaines par Brigitte Gauthier, publié le 08/10/2015
Professeur à l’Université d’Evry, Brigitte Gauthier dirige le laboratoire de recherche SLAM (Synergies Langues Arts Musique), l’axe SCRIPT et le Master Langues et Image. Elle nous parle de son ouvrage L'enseignement du cinéma aux Etats-Unis, dans lequel elle détaille l'historique des formations proposées par les grandes écoles de cinéma américaines, ainsi que les spécificités de leurs cultures cinématographiques.
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Paris, Texas (Wim Wenders - 1984) par Lionel Gerin, publié le 01/10/2015
Lionel Gerin, professeur d'anglais au lycée Ampère de Lyon et cinéphile averti, nous donne ici son point de vue sur Paris, Texas, le dixième long métrage de Wim Wenders.
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Brigitte Gauthier : Le scénario à l'américaine par Brigitte Gauthier, publié le 29/06/2015
Brigitte Gauthier nous offre un parcours de formation accéléré en écriture de scénario, reprenant les grands principes des ouvrages américains qui font aujourd’hui l’unanimité chez les scénaristes, comme le célèbre Story de Robert McKee dont elle a assuré la traduction française…
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Distant Voices, Still Lives (Terence Davis - 1988) par Lionel Gerin, publié le 18/06/2015
Voix distantes parce que lointaines. Et vies bien vivantes (à l'opposé des natures mortes que suggérerait une traduction littérale). Instantanés plutôt, qui prennent/reprennent vie. Photos. Photos de famille. Mariages, baptêmes, décès. Liverpool, années 40 et 50. Une famille ouvrière. Un père violent. Une mère aimante. Premier long-métrage de Terence Davis, Distant Voices, Still Lives est un coup d'essai de maître. L'enfance, l'adolescence revisitées, on connaît. Pourtant ici une magie opère. Travellings avants pour rapprocher le temps retrouvé, un temps désarticulé par la mémoire. La chronologie est cahotique. Qu'importe! Voici une fresque intime et modeste, des lumières chaudes, des intérieurs, des visages.
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Under the Skin (Jonathan Glazer - 2013) par Lionel Gerin, publié le 03/06/2015
Quel est cette lumière inaugurale? Un début (naissance)? Une fin (Near Death Experience)? Quel est cette langue? Inhumaine? Préhumaine? C'est peu dire que les premiers instants d'Under the Skin sont étranges et immédiatement prenants. Quelque chose se passe, sur l'écran. Une vingtaine de minutes mutiques, répétitives, hypnotiques, comme l'est en définitive tout le film.L'argument semble mince: des extra-terrestres sont en chasse. Le gibier? les hommes. L'appât? une créature. Scarlett Johansson, brune pour l'occasion. Le film est dérive, divagation, traque, ballet.
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Loin de la foule déchaînée (Far from the Madding Crowd) par Clifford Armion, publié le 21/05/2015
Dans la campagne anglaise de l’époque victorienne, une jeune héritière, Bathsheba Everdeene doit diriger la ferme léguée par son oncle. Femme belle et libre, elle veut s’assumer seule et sans mari, ce qui n’est pas au goût de tous à commencer par ses ouvriers. Bathsheba ne se mariera qu’une fois amoureuse. Qu’à cela ne tienne, elle se fait courtiser par trois hommes, le berger Gabriel Oake, le riche voisin Mr Boldwood et le Sergent Troy. Parenthèse Cinéma nous permet de partager avec vous un très beau dossier pédagogique pour les enseignants qui souhaiteraient aborder cette adaptation du roman de Thomas Hardy avec leurs classes.
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To Be or Not to Be / Jeux Dangereux (Ernst Lubitsch - 1942) par Lionel Gerin, publié le 26/03/2015
Connaissez-vous Lubitsch? On lui doit quelques unes des meilleures comédies des années 1930-40. Connaissez-vous la Lubitsch's touch? Si vous répondez non, de grands plaisirs de cinéma vous attendent. Élégance et finesse. Commençons donc par un sommet, un chef d'oeuvre: To Be or Not to Be. Mais pour mieux en apprécier le sel, un peu d'histoire. Juif Berlinois, Lubitsch, amoureux fou de théâtre, rejoint le cinéma comme homme à tout faire, puis acteur. Dés 1913, il est l'égal de Max Linder, et le plus grand comique allemand...
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The Man Who Shot Liberty Valance / L'Homme qui tua Liberty Valance (John Ford -1962) par Lionel Gerin, publié le 26/02/2015
John Ford est l'un des plus grands, sans contestation possible. Citons Orson Welles, interviewé sur les cinéastes importants à ses yeux, qui répondait:"Les vieux maîtres, c'est à dire John Ford, John Ford et John Ford." L'Homme qui tua Liberty Valance est l'avant-dernier western de John Ford est l'un de ses derniers films. Ford a contribué, et comment!, à forger la légende de l'ouest, il en est l'un des "inventeurs". Il est donc passionnant de voir son regard vieillissant sur le genre et les thèmes qu'il affectionne: la loi et son avènement, opposée au "wild west", la vieillesse, la fidélité, la vérité et la légende, la "naissance d'une nation", d'une communauté, la violence et son usage.
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Bill Douglas Trilogy / La trilogie Bill Douglas My Childhood - My Ain Folk - My Way Home (Bill Douglas 1972 -1973 -1978) par Lionel Gerin, publié le 15/01/2015
Écosse. Un village minier près d'Édimbourg. 1945. Un enfant, son frère, leur grand-mère maternelle. Un prisonnier allemand.Mort de la grand-mère. Orphelinat. Grand mère paternelle. Un oncle. L'orphelinat encore. L'adolescence. La mine. Service militaire en Égypte. Rencontre de Robert. Ouverture. Les dialogues? Presque aucun. La musique? Aucune. L'action? Survivre. Le résultat? Au-delà des mots. Saisissement total. Comment en effet parler d'une telle œuvre? C'est un coup à l'estomac, un vent du Nord, une nuit charbonneuse.
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Heaven's Gate / La porte du paradis (Michael Cimino -1980) par Lionel Gerin, publié le 12/12/2014
1978. Deer Hunter / Voyage au bout de l'enfer. Bien qu'avare du mot, je l'ose ici: chef d'œuvre absolu. N'en déplaise aux détracteurs, à ceux qui y voient, à grand tort, un film (de plus) sur le Vietnam. Deer Hunter est un immense film, profondément américain. Faut-il être aveugle pour y lire un message impérialiste, malgré cette dernière scène poignante, si souvent incomprise. Chef d'oeuvre, donc. Presque trois ans plus tard, sort Heaven's Gate, le plus grand désastre financier du cinéma américain, mais qu'importe! Combien de tableaux Van Gogh a-t-il vendu? Combien d'exemplaires Rimbaud a-t-il écoulé?
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The Night of the Hunter / La nuit du chasseur (Charles Laughton - 1955) par Lionel Gerin, publié le 28/11/2014
Pour inaugurer cette rubrique, je ne pouvais choisir aucun autre film. C'est une œuvre qui m'est chère, unique, dans tous les sens du terme, un diamant noir dans la cinéphilie mondiale, une pierre noire dans la nuit de l'enfance. Charles Laughton, immense acteur (de Mutiny on the Bounty à Quasimodo, de Hobson's Choice à Spartacus, passant de la comédie au drame, du film noir au péplum) réalise là son seul film, qui est depuis une des références absolues des cinéphiles. Les films uniques ont toujours une saveur particulière (que l'on se souvienne de Honeymoon Killers de Leonard Kastle, ou d'Electra Glide in Blue de James William Guercio, par exemple) et cette Nuit du chasseur ne fait pas exception.
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Jeux vidéo et cinéma à rebours du mouvement transhumaniste : le cas de District 9 par Julien Buseyne, publié le 07/11/2014
District 9 de Neil Blomkamp (2009) projette la structure de l’Apartheid dans un univers de science-fiction où les extraterrestres dont le vaisseau s’est échoué au dessus de Johannesburg sont victimes d’une forme de ségrégation. En marge de son thème principal, c’est à dire la projection de la mécanique d’oppression entre humains sur le canevas de la science-fiction, District 9 illustre aussi un procédé technique qui constitue le ressort principal du jeu vidéo : la projection des sens et du corps dans un système technique. Cinéma, télévision et jeux vidéo partageant les mêmes schèmes de la pratique audiovisuelle, les convergences entre ces domaines ne sont pas rares. Par la mise en scène de la technologie extra-terrestre, Disctrict 9 expose une grammaire de la captation de l’être sensible dans un système technique qui étend ses sens et ses potentialités, trait qu’il partage avec le jeu vidéo. Il s’agit là d’un acte politique qui s’oppose à la pensée transhumaniste, et affiche une convergence frappante avec les systèmes d’immersion dans les univers numériques actuellement à l’étude. Cette prise de position est cohérente avec le discours humaniste déroulé par cette œuvre, et s’inscrit dans la continuité de celles qui explorent la relation entre l’humain et la machine.
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La Princesse et la Grenouille, une vision de l'Afrique en Amérique par Ethel Montagnani, publié le 06/11/2014
Spécialiste de Walt Disney et de la langue produite par Disney pour ses films d’animation, Ethel Montagnani nous parle de la vision de la communauté noire par Disney et particulièrement dans La Princesse et la Grenouille. Au fil des années, les studios Disney, fidèles à leur idéologie, et se présentant comme les heureux promoteurs des civilisations du monde, nous ont entraîné partout autour du globe. Ou plus exactement, partout, tout autour de leur vision du globe. On peut ainsi penser que la Chine, vue par les Studios, se résume à Mulan. L'Afrique a plus de chance puisqu'elle est représentée dans plusieurs films comme Le Roi Lion ou encore Tarzan. Toutefois, si ces deux films montrent des images saisissantes de la beauté des paysages africains, ils ne montrent rien de la complexité des rapports humains qui ont prévalu en Afrique du Sud pendant l'Apartheid. Pour s'en faire une idée, il faudra attendre la première princesse noire de l'histoire des Studios Disney, Tiana et son film La Princesse et la Grenouille, qui lui se déroule... en Louisiane, Mississippi, aux Etats-Unis.
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Fractions et infractions dans The Heart of Whiteness de Rehad Desai : les stigmates de l’apartheid par Stéphane Sitayeb, publié le 06/11/2014
Stéphane Sitayeb propose une analyse de The Heart of Whiteness (2005), un road movie documentaire de Rehad Desai qui interroge l’identité des blancs en Afrique du Sud. L’Afrikaner est-il un étranger en Afrique ou un autochtone ? Desai étudie les stigmates de l’Apartheid sur la société sud-africaine contemporaine en observant les clivages qui opposent encore aujourd’hui les noirs et les blancs dont certains s’estiment victimes d’une ségrégation inversée, une vengeance de la population noire. Le réalisateur cultive une double stratégie de camouflage et d’exposition, ainsi que la technique du contrepoint : c’est uniquement dans la superposition entre discours et image, dans la lecture connexe du monologue en voix-off et de l’esthétique audio-visuelle que se révèle la corrélation entre fractions raciales et infractions juridiques.
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Présentation de Come Back Africa (Lionel Rogosin, 1959, US 82 minutes) par Monique Peyriere, publié le 05/11/2014
Après avoir réalisé un film sur les sans-abris aux Etats-Unis, Lionel Rogosin part avec une équipe de tournage en Afrique du Sud en déclarant aux autorités locales qu’il veut produire un documentaire sur la musique. Filmé clandestinement par un réalisateur américain blanc dans Sophiatown, un township noir de Johannesburg, Come Back Africa nous montre la vie des communautés noires sous l’apartheid. Entres brimades et défiance, le film de Lionel Rogosin expose les relations blancs/noirs dans l’Afrique du Sud des années 50. Les militants y jouent leur propre rôle dans un scénario de fiction qui nous invite à découvrir le ghetto au travers du regard d’un nouvel arrivant, Zacharia. Les images ont pu sortir d'Afrique du Sud pour être montées aux Etats-Unis puis diffusées dans le monde entier ; c’est un film politique, le premier à dénoncer l’Apartheid.
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Bertrand Tavernier sur le cinéma américain par Bertrand Tavernier, Clifford Armion, publié le 20/10/2014
Dans le cadre du Festival Lumière 2014, Bertrand Tavernier évoque certaines grandes étapes de l’histoire du cinéma américain depuis les années 20 jusqu’aux années 60. Ancien critique, celui que l’on connait surtout pour ses films (L'Horloger de Saint-Paul, Un Dimanche à la campagne, Dans la brume électrique…) est aussi l’auteur de plusieurs livres sur le cinéma, notamment Amis Américains, un important ouvrage d’entretiens avec les grands auteurs d’Hollywood (Institut Lumière/Actes Sud, 2008).
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Charulata (la femme solitaire) : Tagore / Ray par Giovanni Robbiano, publié le 16/09/2014
Charulata (1964) est également connu sous son titre anglais : The Lonely Wife (La femme solitaire). Ce film est une adaptation du roman Nastanirh (Le nid brisé) de Rabindranath Tagore, publié en 1901. Les acteurs principaux sont Madhabi Mukherjee, Sailen Mukjerjee et Soumitra Chatterjee dans les rôles principaux de Chârulatâ, son mari Bhupati et son cousin Amal. Comme la plupart des films de Ray, ce film est en noir et blanc et dure 117 minutes. Il en a également composé la musique. Il a été produit par R. D. Banshai, et le directeur de la photo était Subrata Mitra. Celui-ci a fait la photo de la plupart des films de Ray et en particulier de ses premiers chefs-d'œuvre : la Trilogie d'Apu : Pather Panchali (La complainte du sentier, 1955), Apu Sansar (Le monde d’Apu, 1959) et Aparajito (L’Invaincu, 1956).
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Qui est Tagore ? par Azarie Aroulandom, publié le 16/09/2014
Au vingtième siècle, la culture fut dominée par un immense génie Rabindranath Tagore, l’un des plus grands philosophes et poètes de l’histoire du monde. On a dit de Rabindranath Tagore (7 mai 1861-7 août 1941) qu’il fut le Léonard de Vinci de la Renaissance bengali. Tagore naît le 7 mai 1861 au Bengale, à Calcutta, la plus importante ville de l’Inde à cette époque. Il est le quatorzième enfant d’une famille aisée, il grandit dans l’ombre d’un père savant et réformateur religieux. Dans une vision prophétique, son père lui donna le prénom « Robindra » qui signifie le soleil « car plus tard comme lui, il ira par le monde et le monde sera éclairé ».
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The Salvation (Kristian Levring) par Clifford Armion, publié le 25/08/2014
Nous sommes dans les années 1870, quelque part dans le Far West américain. Jon (Mads Mikkelsen), un pionnier danois, vient de retrouver sa famille fraîchement immigrée après plusieurs années de séparation. Mais le fermier, qui se trouve être un ancien soldat, est brutalement tiré de sa vie laborieuse et tranquille par le frère d’un violent chef de gang… Avec Mads Mikkelsen, Eva Green, Jeffrey Dean Morgan, Mikael Persbrandt et les participations d'Eric Cantona et Jonathan Pryce.
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Swim Little Fish Swim (Lola Bessis et Ruben Amar) par Clifford Armion, publié le 13/05/2014
Après Frances Ha (Noah Baumbach, 2013), voici une nouvelle comédie New Yorkaise rafraîchissante. Production franco-américaine de Ruben Amar et Lola Bessis, Swim Little Fish Swim nous plonge dans l’univers de la colocation assumée. Une jeune artiste française, Lilas, squatte le canapé d’un couple que tout semble séparer. Leeward, musicien qui n’a jamais enregistré un disque, croit en l’idéologie contestataire des années 60 et refuse de compromettre son ‘intégrité artistique’ pour gagner de l’argent. Mary, infirmière fatiguée, rêve d’une petite maison de banlieue avec des meubles IKEA et un arbre devant...
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Much Ado About Nothing (Joss Whedon) par Clifford Armion, publié le 20/01/2014
En adaptant cette comédie de Shakespeare, Joss Whedon marche dans les pas de l’illustre Kenneth Branagh qui avait fait de Much Ado un film remarqué en 1993. Le pari pouvait sembler ambitieux, même prétentieux, et pourtant le résultat est une comédie de mœurs toute en finesse qui respecte et met en valeur l’œuvre du dramaturge élisabéthain.
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Reportage sur Martin Parr par ENS Média, publié le 20/11/2012
Un reportage réalisé par ENS Média à l'occasion de l'exposition "Life's a beach" à la Bibliothèque municipale de Lyon.
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'Mr Neville says No' par ENS Lyon La Clé des Langues, publié le 17/02/2012
"Rabbit-proof fence" est un film dramatique australien réalisé par Phillip Noyce en 2002, à partir du roman de Doris Pilkington Garimara "Follow the Rabbit-proof fence". A partir d'un court extrait du film, cette page propose des exercices de compréhension et de phonétique.
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Screening Identities - Danny Glover in conversation with Manthia Diawara par Manthia Diawara, Danny Glover, Avital Ronell, publié le 20/01/2012
Manthia Diawara et Danny Glover exploreront, d'un point de vue thématique et existentiel, comment les relations se forment et s'exportent au cinéma. Comment les relations sont-elles représentées et selon quels codes d'acquiescement ou de révolte, de désir ou de dégoût, de nécessité ou de chance les rencontres sont-elles thématisées dans les films africains ou africains américains ? Quels sont les dessous de l'histoire et les affinités secrètes qui ont encouragé ou freiné l'émergence de l'art cinématographique noir africain et américain ? Messrs Diawara and Glover will be exploring, on a thematic and existential register, the way relations are formed and uprooted in cinema. How are relations depicted, and according to what codes of presumed compliance or revolt, desire or disgust, necessity or chance, in the encounters that are thematized in African and African-American film? What are some of the back-stories and unrecorded affinities that have enabled or disturbed the emergence of the Black cinematic art?
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The Actual Lives of Catherine Millet and Robert Storr par Catherine Millet, Robert Storr, publié le 19/01/2012
De part et d'autre de l'Atlantique, Catherine Millet et Robert Storr ont joué un rôle clef, comme témoins et acteurs, dans la transformation du monde de l'art. Catherine Millet, auteur des best-sellers La Vie sexuelle de Catherine M. et Jalousie et rédactrice en chef du magazine Art Press, rencontrera Robert Storr, ancien conservateur du MoMa de New York et doyen de la Faculté des Beaux-arts de l'université de Yale, pour discuter de leurs nombreux intérêts communs, de leurs carrières parfois entremêlées et de la scène artistique contemporaine. Le dialogue entre ces deux collègues et amis apportera un éclairage sur le monde toujours changeant et surprenant de l'art contemporain et dévoilera l'itinéraire artistique et intellectuel de deux de ses acteurs les plus éloquents. On both sides of the Atlantic, Catherine Millet and Robert Storr have played key rolesas witnesses and actorsin the transformations of the art world. Catherine Millet, author of bestsellers The Sexual Life of Catherine M and Jealousy and editor-in-chief of Art Press magazine, will join Robert Storr, former curator of MoMA and the dean of the School of Art at Yale University, to discuss their wide-ranging interests, their intermingled careers, and the current art scene.
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An interview with Jerry Schatzberg par Jerry Schatzberg, Clifford Armion, publié le 18/10/2011
Jerry Schatzberg started his career as a photographer and made his debut as a film director with Puzzle of a Downfall Child in 1970. Three years later he won the Cannes Film Festival Grand Prix for Scarecrow with Gene Hackman and Al Pacino. He was invited by the Festival Lumière to present a restored copy of his first film and was kind enough to answer a few questions on his work as a photographer and director.
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Ken Loach, Ae Fond Kiss par ENS Lyon La Clé des Langues, publié le 01/07/2011
Cette page propose un court extrait du film "Ae Fond Kiss" de Ken Loach (avec l'aimable autorisation de Sixteen Films) . Ce document est accompagné d'exercices de compréhension générale et détaillée, ainsi que de phonétique.
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