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Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 10 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Brigitte Gauthier : Pina Bausch et la mémoire corporelle par Brigitte Gauthier, publié le 07/12/2015
Brigitte Gauthier envisage la mémoire corporelle comme un outil pour repenser la fabrication d’un spectacle, au-delà de l’analyse universitaire. Elle l’applique aux spectacles de Pina Bausch, qui se fait l’ambassadrice des cultures à travers ses chorégraphies, et dont la contemporanéité se situe dans la création d’outils d’écriture et de procédés dramatiques.
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Pina Bausch, photographe de l'émotion par Brigitte Gauthier, publié le 02/12/2015
Brigitte Gauthier revient sur les raisons pour lesquelles elle a choisi d'étudier Pina Bausch: le rapport de la société aux femmes, la déconstruction de la vie quotidienne et l'utilisation du corps pour rechercher une autre forme d'écriture sont autant de thématiques qui contribuent à la construction du langage chorégraphique de cette "photographe de l'émotion".
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Qu'est-ce qu'un acte d'écriture ? Analyse d'un cas : les promesses de mémoire adressées aux morts du 11/9 par Béatrice Fraenkel, publié le 29/01/2015
Dans le cadre de la construction d'une anthropologie pragmatique de l'écriture, Béatrice Fraenkel, anthropologue et directrice d'étude à l'EHESS, interrogera cette notion, à partir d'une analyse de cas : celui des "promesses de mémoire" (ex. "we will never forget you") recueillies à New York après le 11/9. Il s'agira à la fois de proposer une analyse des énoncés comme actes de langage (Austin), comme acte d'écriture, en prenant appui sur leur matérialité (affichage, autographie, signature etc) et la situation dans laquelle ils sont produits, et de proposer une interprétation concernant la mémoire promise par ces actes d'écriture, en prenant appui sur les travaux d'Arendt, d'Halbwachs et de Ricoeur.
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La mort de l'intertexte : Les voies tortueuses de la voix textuelle dans Tamburlaine Must Die de Louise Welsh par Claude Maisonnat, publié le 09/10/2009
L’objet de ce travail est de problématiser la notion d’intertexte en prenant appui sur le court roman de Louise Welsh : Tamburlaine Must Die. Dans le sillage des études du généticien Louis Hay qui proposait dès 1985 que le texte n’existe pas, l’introduction propose d’argumenter que l’intertexte n’existe pas, il n’existe que des modalités d’intertextualité dont le point commun est le fantasme originaire : l’illusion que l’on pourrait identifier un point d’origine fixe et stable à l’écriture. En lieu et place de l’intertexte est alors postulée l’existence de ce qu’on pourrait appeler la voix textuelle, distincte de la voix auctoriale de l’autorité de l’auteur, qui serait en partie fondée sur la co-présence de multiples modalités d’intertextualité mais qui dépasse largement ce cadre si on la relie à la problématique analytique de l’objet-voix lacanien.
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En attendant les barbares de Coetzee : réécrire la mort du Christ, refuser la Croix par Maxime Decout, publié le 09/10/2009
Ecrivain du XXIe siècle, Coetzee propose dans Waiting for the Barbarians une réécriture de la Passion du Christ qui interroge le rôle de la souffrance individuelle ou collective. L’homme chargé de vivre ce nouveau Calvaire découvre la vanité de la souffrance dans un monde privé de Dieu ainsi que l’impossibilité de toute rédemption. Cette communication tente de dépasser une lecture politique du texte en s’intéressant au fonctionnement de l’intertexte biblique.
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Entre raillerie et révérence : A Suitable Boy ou le pastiche renouvelé par Mélanie Heydari, publié le 09/10/2009
Pastiche de la grande tradition littéraire victorienne, A Suitable Boy, de Vikram Seth, se situe de manière éminemment originale dans le renouveau de la production littéraire postcoloniale. Entre raillerie et révérence, désir d’imitation et volonté de changement, ce roman-fleuve révèle l’affiliation de l’auteur aux canons victoriens : cette écriture délibérément lisse, sans aspérités, aux antipodes de celle d’un Rushdie, ne trahit en effet nulle autre appartenance, nulle généalogie.
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Une réécriture gourmande du roman de langue anglaise : celle du pasticheur par François Gallix, publié le 09/10/2009
Cette communication a deux axes. Quelques considérations théoriques sur la technique du pastiche littéraire comme écriture imitative intertextuelle sont suivies d’ exemples extraits de la littérature de langue anglaise contemporaine (notamment Peter Ackroyd, David Lodge et Mark Crick), soulignant ce qu’A.S. Byatt appelle “greedy rewriting“, cette réécriture gourmande des textes canoniques qui fait littéralement revivre les récits des écrivains du passé proche ou lointain.
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Intertextualité et interculturalité par Redouane Abouddahab, publié le 09/10/2009
La parodie des Mille et une nuits par Poe dans « The Thousand-And-Second Tale Of Scheherazade » est bien plus qu’un exercice littéraire ludique comme on l’a souvent souligné. Cette parodie a été écrite pendant la grande période de développement du nationalisme américain dans un contexte particulièrement marqué par le populisme. C’est pendant cette période que la volonté d’avoir une littérature et une langue « purement américaines » commencent à s’imposer. Triomphe aussi de l’idéologie puritaine bien implantée, qui assujettit les nouveaux arrivants à sa propre vision et à ses propres mythes fondateurs.
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Du protocole de lecture à la relation dialogique : le modernisme revisité dans The Light of Day de Graham Swift par Béatrice Berna, publié le 09/10/2009
Le propos de cette communication est de montrer comment les échos intertextuels modernistes sont des éléments structurants essentiels dans l’écriture de The Light of Day, qui permettent à Graham Swift de faire entendre sa propre voix, spécifiquement contemporaine.
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"People tried to figure if they were offended and why" : L'intertextualité dans le roman américain contemporain ou la lecture en procès par Françoise Sammarcelli, publié le 09/10/2009
L’objet de ce travail est de problématiser la notion d’intertexte en prenant appui sur le court roman de Louise Welsh : Tamburlaine Must Die. Dans le sillage des études du généticien Louis Hay qui proposait dès 1985 que le texte n’existe pas, l’introduction propose d’argumenter que l’intertexte n’existe pas, il n’existe que des modalités d’intertextualité dont le point commun est le fantasme originaire : l’illusion que l’on pourrait identifier un point d’origine fixe et stable à l’écriture. En lieu et place de l’intertexte est alors postulée l’existence de ce qu’on pourrait appeler la voix textuelle, distincte de la voix auctoriale de l’autorité de l’auteur, qui serait en partie fondée sur la co-présence de multiples modalités d’intertextualité mais qui dépasse largement ce cadre si on la relie à la problématique analytique de l’objet-voix lacanien.
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