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Recherche multi-critères

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Il y a 8 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
The Man Who Shot Liberty Valance / L'Homme qui tua Liberty Valance (John Ford -1962) par Lionel Gerin, publié le 26/02/2015
John Ford est l'un des plus grands, sans contestation possible. Citons Orson Welles, interviewé sur les cinéastes importants à ses yeux, qui répondait:"Les vieux maîtres, c'est à dire John Ford, John Ford et John Ford." L'Homme qui tua Liberty Valance est l'avant-dernier western de John Ford est l'un de ses derniers films. Ford a contribué, et comment!, à forger la légende de l'ouest, il en est l'un des "inventeurs". Il est donc passionnant de voir son regard vieillissant sur le genre et les thèmes qu'il affectionne: la loi et son avènement, opposée au "wild west", la vieillesse, la fidélité, la vérité et la légende, la "naissance d'une nation", d'une communauté, la violence et son usage.
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1965-1970: Nouvelle Gauche et révolution par Frédéric Robert, publié le 03/01/2011
Après cinq années passées à tenter de réformer la société américaine (entre 1960 et 1965) sans obtenir de véritables résultats probants, la Nouvelle Gauche américaine, particulièrement sa branche étudiante, le Students for a Democratic Society (SDS) changea radicalement de cap, renonçant ainsi à ses principes originels. Elle s'engagea ouvertement dans la révolution entre 1965 et 1970, car il s'agissait, à ses yeux, de la seule manière d'ébranler la société américaine. Malgré ce réajustement stratégique, elle ne put durer sur la scène politique américaine. L'action révolutionnaire eut raison d'elle et de ses sympathisants.
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1960-1965: une Nouvelle Gauche américaine contestataire et réformatrice par Frédéric Robert, publié le 03/01/2011
Lorsqu'elle émergea sur la scène politique américaine en 1960, la Nouvelle Gauche, et plus particulièrement le Students for a Democratic Society (SDS), son porte-drapeau, décida de se démarquer de la « vieille » gauche marxiste idéologique et doctrinaire. Entre 1960 et 1965, elle adopta une stratégie résolument réformatrice reposant sur un idéalisme convaincu, une spontanéité à toute épreuve et une prédilection pour les actions directes dont les résultats étaient tangibles, repérables et par conséquent particulièrement valorisants et motivants pour les participants et les bénéficiaires. De la sorte, n'avait-elle pas adopté des principes d'anarchisme existentiel ?
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Héritage de la Nouvelle Gauche Américaine des années soixante par Frédéric Robert, publié le 03/01/2011
La Nouvelle Gauche américaine occupa le devant de la scène politique américaine entre 1960 et 1970. D'abord adepte de la réforme stricto sensu, entre 1960 et 1965, elle dut se résoudre à s'engager dans la révolution (1965-1970), ce qui précipita sa désintégration. Malgré un passage relativement court dans le paysage politique américain, il est frappant de constater qu'elle a contribué, peu ou prou, à transformer la société américaine et qu'elle a servi d'inspiration, voire de modèle à d'autres mouvements contestataires, aussi bien américains qu'européens.
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Nouvelle Gauche américaine dans les années soixante : de la radicalisation à la désintégration par Frédéric Robert, publié le 18/11/2010
La Nouvelle Gauche américaine est une mosaïque rassemblant différents mouvements contestataires. Elle vit le jour en 1960. Pendant ses cinq premières années d'existence, son approche fut essentiellement contestataire et réformatrice. En 1965, jugeant que ces actions n'étaient pas couronnées de succès, elle décida de s'engager ouvertement dans la désobéissance civile et la révolution, profitant de l'émoi suscité par la guerre au Vietnam. Ses principales actions révolutionnaires furent le soulèvement de l'université de Columbia en avril 1968 et les émeutes de Chicago en août. Une telle radicalisation entraîna inexorablement sa désintégration au début des années soixante-dix.
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L'Activisme de la Nouvelle Gauche étudiante : l'Université de Berkeley comme exemple de transformation sociale ? par Frédéric Robert, publié le 18/11/2010
Sous la houlette du Students for a Democratic Society (SDS), la Nouvelle Gauche étudiante des années soixante souhaita à la fois transformer le microcosme universitaire et la société américaine dans son ensemble. L'activisme étudiant se propagea comme une traînée de poudre : les campus se soulevèrent les uns après les autres. Celui de Berkeley, en Californie, en 1964, en fut un exemple majeur. Les étudiants californiens s'opposèrent à leur université, véritable « multiversité » ou usine du savoir qui, d'après eux, aliénait la communauté étudiante. L'université allait-elle servir de point de départ à la transformation de la société ?
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Le « Port Huron Statement » du Students for a Democratic Society (SDS) : entre idéalisme démocratique et programme politique novateur par Frédéric Robert, publié le 04/10/2010
Le Students for a Democratic Society (SDS), mouvement-phare des étudiants appartenant à la Nouvelle Gauche contestataire des années soixante, était le successeur de l'Intercollegiate Socialist Society (ISS), organisation d'étudiants fondée en 1905 par Upton Sinclair, Clarence Darrow et Jack London...
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Différences idéologiques entre « New Left » idéaliste et « Old Left » socialiste et marxiste aux Etats-Unis dans les années soixante par Frédéric Robert, publié le 04/10/2010
Comment la Nouvelle Gauche américaine, courant contestataire aux facettes multiples qui a animé la scène politique américaine entre 1960 et 1972, a-t-elle vu le jour ? Quelles sont les différentes étapes qui ont conduit à son éclosion sur la scène politique américaine ? S'inscrit-elle dans une certaine tradition politico-philosophique de progrès ? En quoi se différencie-t-elle de la « vieille » gauche et en quoi incarne-t-elle une « nouvelle » politique ?
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