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Recherche multi-critères

Liste des résultats

Il y a 16 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
L'écriture d'Emine Sevgi Özdamar: un extrait représentatif de "Mutterzunge" par Odile Schneider-Mizony, Maryse Staiber, publié le 30/10/2019
La contribution est une double lecture ou lecture interdisciplinaire d’un extrait de trois pages de l'œuvre d'Emine Sevgi Özdamar intitulée "Mutterzunge". Elle comporte deux volets : le premier est proposé par une linguiste, Odile Schneider-Mizony, rédigé en français, et éclaire l’utilisation spécifique du langage par Özdamar, tandis que le second, rédigé en allemand par une littéraire, Maryse Staiber, propose une explication de texte du type attendu au concours de l’agrégation. La forme dialoguée entre deux disciplines et deux langues a paru particulièrement susceptible de rendre compte d’un extrait représentatif de l'écriture plurilingue et pluriculturelle de l'auteure, sur l’interprétation de laquelle les deux rédactrices se rejoignent grandement. Le commentaire à la fois linéaire et thématique de la fin de l’un des récits qui composent "Mutterzunge" envisage l’incidence de l’interculturalité de l’auteure sur ce texte précis, s’intéresse aux formes idiosyncrasiques et distanciées de sa prose et remet en perspective le récit dans la quête identitaire, artistique et innovante de l’écrivaine.
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Quand la littérature est une histoire contemporaine: Stephan Wackwitz "Die Bilder meiner Mutter" par Emmanuelle Aurenche-Beau, publié le 27/09/2017
Dans cet article, Emmanuelle Aurenche-Beau s'intéresse à l'ouvrage de Stephan Wackwitz "Die Bilder meiner Mutter" (2015), dans lequel l'auteur part sur les traces de sa mère, une artiste à la carrière tronquée. "Die Bilder meiner Mutter" n'est pas une biographie comme une autre, elle louvoie entre le genre biographique et l'essai, entre la littérature et les sciences sociales. C'est cette approche originale qu'Emmanuelle Aurenche-Beau se propose d'étudier en s'appuyant sur les travaux d'Ivan Jablonka, qui récusent la frontière traditionnelle entre science et fiction, et en montrant comment Stephan Wackwitz, grâce à une analyse des facteurs socio-historiques à l'oeuvre dans l'échec de cette carrière, parvient à dépasser le caractère proprement individuel de la vie de cette mère artiste.
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Rencontre avec Rebekka Kricheldorf par Rebekka Kricheldorf, Mathieu Bertholet, Nicole Colin, publié le 17/02/2017
Peu connue en France, Rebekka Kricheldorf est reconnue en Allemagne comme l'une des plus talentueuses dramaturges de notre époque. Auteure d'une trentaine de pièces, elle explore la manière dont les classiques du répertoire occidental ou encore le matériau ancestral des contes et des mythes trouvent un écho dans notre monde moderne, tout en renouvelant le genre de la comédie allemande. Dans le cadre d'une soirée organisée par le Goethe-Institut de Lyon le 20 mai 2016, la Clé allemande a eu le plaisir de filmer une rencontre avec Rebekka Kricheldorf, Mathieu Bertholet, traducteur et directeur du théâtre Poche à Genève, Nicole Colin, professeur d'études germaniques et Joachim Umlauf, directeur de l'Institut, où il fut question du travail de l'auteure, des difficultés de traduction de son oeuvre, et plus généralement de la place du genre comique en Allemagne et de la réception du théâtre allemand en France. Rebekka Kricheldorf et Joachim Umlauf ont également lu un passage de la pièce "Villa Dolorosa".
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Das Erbe des Roten Wiens: Licht, Luft und Sonne für die Arbeiterschaft par Roman Kaiser-Mühlecker, publié le 24/06/2016
Dans cet article, Roman Kaiser-Mühlecker part du constat du prix peu élevé des loyers pratiqués à Vienne. Cette situation puise ses racines dans l'expérience fascinante que constitua la construction de logements sociaux dans la Vienne socialiste des années 1919 à 1934. L'auteur revient sur cette histoire en expliquant les fondements de cette expérience politique, architecturale et sociale à la fois très progressiste et unique en Europe. Il détaille ensuite les idées austromarxistes qui donnèrent naissance à un tel projet avant d'exposer les attaques virulentes dont Vienne la Rouge fut l'objet à l'époque et de rappeler les conditions dans lesquelles cette expérience inédite prit fin en février 1934.
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Les Assises Internationales du Roman - Villa Gillet par ENS Lyon La Clé des Langues, publié le 30/06/2015
La Clé des Langues est née en 2007, comme les Assises Internationales du Roman organisées par la Villa Gillet. C'est avec grand plaisir que nous suivons année après année cet événement de dimension internationale, qui réunit des écrivains, journalistes, artistes, chercheurs, scientifiques et penseurs pendant une semaine de débats et de créations intenses. Vous trouverez sur ces pages les ressources publiées par La Clé des Langues en partenariat avec la Villa Gillet, notamment des entretiens et des textes rédigés par des auteurs germanophones à l'occasion des AIRs.
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Rafael Horzon im Interview par Rafael Horzon, Tanja Schonborn, Sinje Passura, publié le 09/03/2014
Rafael Horzon est un auteur atypique berlinois qui se définit lui-même comme un entrepreneur. Son parcours, retracé dans son autobiographie Das weiße Buch (2010), en dit long sur l’éclectisme de l’artiste. Das weiße Buch erschien 2010 und beschreibt Horzons Werdegang vom gescheiterten Studenten und Paketfahrer hin zum Unternehmer, dessen Projekte ebenso absurd wie genial sind.
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"Das siebte Kreuz" von Anna Seghers als Bestandteil des literarischen Erbes der DDR par Aurélie Cachera, publié le 04/10/2013
Le roman d’Anna Seghers, Das siebte Kreuz, paru en 1942 pendant l’exil de l’auteur, raconte la fuite de sept prisonniers d’un camp de concentration. Des sept platanes qui doivent leur servir de croix une fois rattrapés, un seul restera vide. Le roman, dédié aux antifascistes, témoigne du combat d’Anna Seghers contre le national-socialisme et fait partie de l’héritage laissé par la littérature de RDA. Das siebte Kreuz wurde in der DDr zur Pflichtlektüre. Das Buch erzählt die Flucht von sieben Häftlingen aus dem Konzentrationslager Westhofen in der Provinz Rheinhessen im Herbst 1937. Von den sieben aufgestellten Baümen, an denen die Flüchtlinge aufgehängt werden sollten, bleib nur einer leer.
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Alain Claude Sulzer über das Geheimnis par Alain Claude Sulzer, publié le 21/06/2013
In fast jedem Roman steckt ein Geheimnis, es ist mal größer, mal kleiner, mal über-zeugend, mal weniger, mal überraschend neu, mal alles andere als das. Aber natürlich ist das Geheimnis nicht das Privileg des Romans, es ist keine literarische Erfindung wie das Gedicht oder die Novelle. Es gehört zum Leben. Vor allem ist es etwas, worüber hartnä-ckig geschwiegen werden muß, will es seinen Namen verdienen. Ohne Geheimnisträger kein Geheimnis. Zwei sind mindestens nötig, die darüber nicht sprechen, weil das für sie gefährlich werden könnte. Einer allein genügt den Anforderungen an das Geheimnis nicht. Geheimnisse sind zutiefst menschlich. Tiere, die voreinander Geheimnisse haben, sind mir nicht bekannt.
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« West-östlicher Divan / Divan d'Orient et d'Occident » de J. W. von Goethe par Laurent Cassagnau, Charles-Henri de Fouchécour, publié le 06/05/2013
Le Divan d’Orient et d’Occident est typique d’un trait culturel allemand qui veut que la culture allemande se définisse par le rapport à l’autre. L’identité allemande s’inspire de l’altérité, de la culture de l’autre, pour se définir elle-même. Laurent Cassagnau, maître de conférences à l’ENS de Lyon et auteur d’une nouvelle traduction du Divan parue en 2012 aux Belles Lettres, explique le détour de Goethe par la culture orientaliste, passage qui nourrit une réflexion sur le temps : quel rapport entretenir avec le passé ? Comment recevoir les œuvres anciennes ? La discussion entre Laurent Cassagnau et Charles-Henri de Fouchécour, spécialiste de la littérature persane classique, illustre l’idéal du dialogue entre l’Orient et l’Occident.
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Comment finir ? La fin et l’après-la-fin dans les récits de fictionWie soll man schließen ? Über das Ende und das “Nach-dem-Ende” im fiktionalen Erzählen par Emmanuelle Prak-Derrington , publié le 31/08/2012
Le récit est lié à la successivité temporelle ; parler de la fin, cela veut donc dire parler aussi de l'après-la-fin, et tous les récits inscrivent leur explicit dans un entre-deux, entre le visible (les derniers mots, le point final) et l'invisible (le blanc terminal). C'est le choix de l'auteur d'inclure ou d'exclure la dimension du re-commencement et de l'après-la-fin, qui ferme ou au contraire ouvre le récit, lui donne une tonalité dysphorique ou euphorique. L'article se penche sur deux types de conventions clausulaires qui semblent être les réponses universelles à la question "comment finir" que pose tout récit : la fin comme fin ultime, avec la mort du personnage, fin mimétique par excellence qui fait coïncider la disparition du récit et sa "saturation", et la fin comme "happy end", défini non pas comme "tout est bien qui finit bien" mais comme "tout est bien qui augure bien". La dernière partie, consacrée à la répétition, évoque ensuite le procédé, qui, en unissant incipit et explicit, fin et commencement, s’affranchit du temps linéaire et crée un hors-le-temps, où le passé côtoie le présent. La boucle réflexive de la répétition, parce qu’elle touche forme et/ou fond apparaît alors comme le procédé de clôture ou d’ouverture suprême. Die Wahlverwandtschaft von Zeit und Erzählen soll hier anhand verschiedener Formen der Schlußgebung untersucht werden. Jeder Romanschluß schwebt zwischen dem Geschriebenen und dem Nichtgeschriebenen, dem Sichtbaren (den letzten Wörtern, dem Schlußpunkt) und dem Unsichtbaren (der endgültigen Leerstelle). Es ist die Wahl des Autors, die Dimension des Nach-dem-Ende ein­‑ oder auszuschließen, seiner Erzählung eine offene oder geschlossene Form, eine euphorische oder dysphorische Stimmung zu geben. Unter den zahlreichen Romanschlüssen werden zwei der konventionellsten Typen vorgestellt: das Ende als letztes Ende mit dem Tod der Hauptfigur, in dem sich erzählte Zeit und Erzählzeit überschneiden, und das Ende als Zwischenende, in der Form des happy ends, das nicht als “Ende gut, alles gut” sondern als “Alles ist gut, was Gutes verspricht” aufgefasst werden soll. Der dritte und letzte Schlußtyp, der hier erwähnt wird, die Wiederholung, vereinigt Anfang und Ende, Willkommen und Abschied. Der reflexive Kreis der Wiederholung (der Form und/oder des Inhalts) befreit die Erzählung von der linearen Zeit, schafft eine Zeit-außerhalb-der-Zeit, wo Vergangenheit und Gegenwart ineinanderfließen, und erweist sich als äußerst kuntsvolles Verfahren, um den Roman abzuschließen oder neu zu eröffnen.
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Das Nachkriegstheater als Sprachrohr der deutschen Widerstandsbewegung par Marie-Christine Gay, publié le 23/12/2009
Dans l’immédiat après-guerre, des pièces de théâtre d’auteurs étrangers mais aussi allemands ont vu le jour, en particulier à Berlin, qui thématisaient la résistance allemande. Unmittelbar nach Mai 1945 wurden auf den Bühnen des deutschsprachigen Raums – insbesondere in Berliner Theatern – Stücke aufgeführt, die dem Publikum die Existenz eines deutschen Widerstands vor Augen führten. Neben ausländischen Werken befassten sich auch deutsche Autoren (Carl Zuckmayer, Friedrich Wolf, Günther Weisenborn) mit der Widerstandsthematik. Ziel dieses Beitrags ist es zu zeigen, wie umgehend nach dem Ende des Zweiten Weltkrieges das deutsche Theater eine Vielfältigkeit an Handlungsentwürfen anbot, die über Widerstandsbewegungen aufklären wollte.
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Andrea Maria Schenkel : "dunkle Geschichten" par Evelyn Wiesinger, publié le 09/04/2009
Andrea Maria Schenkel est déjà un auteur reconnu qui a obtenu à deux reprises le Prix du Polar allemand pour ses « petites histoires sombres », ((Tannöd)) (2006) et ((Kalteis)) (2007). Son dernier roman, Bunker, vient de paraître. Entretien avec Andrea Maria Schenkel autour de l’écriture, du genre policier et de la place des femmes. Andrea Maria Schenkel hat zweimal den Deutschen Krimi Preis erhalten für ihre dunkle Geschichten. Ihr dritter Roman, ((Bunker)), ist gerade erschienen. Eine Diskussion mit Schenkel über das Schreiben, das Genre Krimi, das Frauenbild in Deutschland.
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Andrea Maria Schenkel : "dunkle Geschichten" par Evelyn Wiesinger, publié le 09/04/2009
Andrea Maria Schenkel est déjà un auteur reconnu qui a obtenu à deux reprises le Prix du Polar allemand pour ses « petites histoires sombres », ((Tannöd)) (2006) et ((Kalteis)) (2007). Son dernier roman, Bunker, vient de paraître. Entretien avec Andrea Maria Schenkel autour de l’écriture, du genre policier et de la place des femmes. Andrea Maria Schenkel hat zweimal den Deutschen Krimi Preis erhalten für ihre dunkle Geschichten. Ihr dritter Roman, ((Bunker)), ist gerade erschienen. Eine Diskussion mit Schenkel über das Schreiben, das Genre Krimi, das Frauenbild in Deutschland.
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Machtverhältnisse und -beziehungen im deutschen Film anhand von vier ausgewählten Filmen par Sabine Kremser-Dubois , publié le 04/07/2008
Cette contribution correspond au texte de la conférence qu'a tenue l'auteure le 24 janvier 2007 au CRDP de Montpellier lors de la Journée des professeurs d'allemand. Ce texte a été publié dans le bulletin de l'ADEAF n°96. Nous le reproduisons avec l'aimable autorisation de l'ADEAF.
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La composante réaliste, entre rupture et fidélité : Grit Poppe, Annett Gröschner, Jana Simon, trois jeunes auteures des nouveaux Bundesländer par Anne Lemonnier-Lemieux, publié le 05/05/2008
Anne Lemonnier-Lemieux s'interroge sur le rapport des auteurs de la jeune génération au réalisme socialiste tel qu'il a été énoncé en 1934 par Maxime Gorki et théorisé par Georg Lukács, et surtout à la tradition réaliste de RDA, telle que l'ont pratiquée les auteurs est-allemands qui dérogeaient déjà aux principes officiellement prescrits (Christa Wolf, Franz Fühmann, Günter Kunert...). La réflexion s'appuie sur trois romans de jeunes auteures nées en Allemagne de l'Est (Andere Umstände de Grit Poppe (2000), Moskauer Eis d'Annett Gröschner (2002) et Denn wir sind anders de Jana Simon (2002)) ayant tous trois pour toile de fond l'ex-RDA. Bien que le ton diffère, ils ont en commun de décrire le parcours de « personnages jeunes et déjà à bout de souffle », en quête de repères politiques, moraux, sociaux, familiaux, et dont l'histoire personnelle est intimement liée à la fin du régime est-allemand. S'il semble évident que les trois romans s'éloignent des préceptes du réalisme socialiste tant dans la représentation - ou l'absence signifiante - des idéologies politiques que dans les choix esthétiques, dans quelle mesure s'inscrivent-ils dans le courant réaliste né en RDA à la fin des années 60 ?
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Le monde littéraire par Elisabeth Malick, publié le 27/04/2007
Après avoir brièvement dépeint le milieu littéraire au tournant du siècle, gravitant essentiellement autour d'Hermann Bahr et de Karl Kraus, cet article présente les divers courants littéraires (« décadence », Jugendstil, expressionnisme) ainsi que les principaux auteurs viennois de la période (Hofmannsthal, Schnitzler, Kraus, Musil, Trakl).
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